Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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 Application mobile conçue par le ministère du Tourisme, à travers le Fonds de Développement touristique, en partenariat avec les entreprises Ivoire Cartes Systèmes, Visa et Ecobank pour permettre la découverte de la richesse touristique de la Côte d’Ivoire à moindre coût, le Pass touristique sera mis sur le marché à compter du 1er août 2023.

L’annonce a été faite par le président du Comité de gestion du Fonds de Développement touristique, Marcel Kouadio N’Guettia, qui intervenait, le mardi 25 juillet 2023 à Abidjan-Plateau, à la conférence de presse hebdomadaire du Centre d’Information et de Communication gouvernementale (CICG) dénommée ’’Tout Savoir Sur’’ retransmise en direct sur les pages officielles Facebook, Twitter et YouTube du gouvernement et en présence des journalistes.

Téléchargeable sur Playstore et Applestore, le Pass touristique, a poursuivi Monsieur N’Guettia, comprend deux types de cartes. Notamment le Pass premium qui coûte 6 000 FCFA pour un mois et 15 000 FCFA pour un trimestre et le Pass ordinaire coûtant 2 000 FCFA pour un mois et 5 000 FCFA pour un trimestre.

Lancé le 09 février 2023, le Pass touristique est actuellement numérique et payable par mobile money. Il sera disponible par carte Visa à compter du 1er octobre 2023, a annoncé Marcel Kouadio N’Guettia.

À cet effet, il a lancé un appel à tous les opérateurs du secteur touristique (hôtellerie, restaurants, etc.) à adhérer au Pass touristique afin de les aider à commercialiser leurs produits. ’’Lorsqu’on est sur les Pass touristiques, on est visible partout dans le monde. Les retombées de ces Pass touristiques permettront de rénover tous les sites au niveau étatique’’, a-t-il assuré.

Des partenariats sont en vue avec les acteurs du secteur des transports, les agences de voyages, etc. Et le Pass touristique sera affiché dans tous les secteurs concernés au profit des bénéficiaires.

km

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Le Groupe de la Banque africaine de développement a reçu une reconnaissance mondiale pour sa première émission de capital hybride, positionnant la Banque comme un pionnier du financement durable innovant.

S&P Global Ratings a attribué la note AA à la première transaction, la note la plus élevée pour un capital hybride. L’émission proposée serait la première jamais réalisée par une banque multilatérale de développement.

Le capital hybride aura un effet multiplicateur sur le financement de la Banque et permettra l’émission d’obligations vertes, sociales et durables supplémentaires pour financer des projets ciblant certains des défis de développement les plus critiques du continent, notamment la sécurité alimentaire, l’accès à l’eau et aux services de santé, ainsi que les changements climatiques.

Selon le président du Groupe de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina, les banques multilatérales de développement mondiales et régionales sont appelées à modifier leurs modèles d’entreprise pour mobiliser davantage de financements à grande échelle, afin de lutter contre les changements climatiques et d’accélérer le développement. « La Banque africaine de développement est pionnière en matière d’innovations financières. Notre décision d’émettre du capital hybride nous permettra de mobiliser davantage de financements sur les marchés de capitaux afin de renforcer l’accélération de la croissance et du développement de l’Afrique », a déclaré M. Adesina.

Selon S&P, « la Banque africaine de développement serait, à notre connaissance, la première institution multilatérale de financement à incorporer du capital hybride dans sa structure de capital ». L’initiative de la Banque en matière de capital hybride a attiré l’attention du monde entier, notamment celle du groupe d’experts du G20 sur l’adéquation des fonds propres, qui a recommandé que d’autres banques multilatérales de développement explorent également les instruments de capital hybride.

Le capital hybride est une combinaison de dette et de capitaux propres, qui complète plutôt qu’elle ne remplace ces deux sources de financement. Il s’agit d’un instrument de financement bien établi, largement utilisé par les entreprises, les institutions financières, les compagnies d’assurance et les agences, mais qui n’a pas encore été utilisé par les banques multilatérales de développement.

« C’est une autre manière de renforcer l’assise financière d’une banque multilatérale de développement et d’optimiser son bilan. La Banque africaine de développement lance une nouvelle classe d’actifs, le capital hybride, émis par des banques multilatérales de développement notées AAA », a déclaré Hassatou N’Sele, vice-présidente chargée des Finances et directrice financière de la Banque.

M. Adesina s’est dit ravi de cette réalisation historique de la Banque africaine de développement. « Nous continuerons de répondre et de jouer un rôle de premier plan en matière d’innovations financières, face à la nécessité de mobiliser davantage de financements, conformément aux appels mondiaux à réformer l’architecture financière mondiale », a déclaré le président de la Banque.

hn

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Dans le cadre de la mise en œuvre des activités en soutien à la résilience des populations de l’espace du G5 Sahel et au développement humain, les points focaux des ministères clés concernés ont tenu vendredi 21 juillet 2023 la réunion de restitution et de validation du Rapport final rédigé par le consultant national.

La problématique de valorisation des filières porteuses s’appuyant sur les potentialités naturelles agricoles, pastorales halieutiques et sylvicoles figure dans les priorités d’intervention du G5 Sahel.

Celle-ci entre dans la stratégie de renforcement de la résilience face aux crises dont l’insécurité alimentaire mais également face aux changements climatiques.

Le G5 Sahel a entrepris de faire une étude diagnostic dont la finalité est d’établir les potentialités agricoles, animalières, halieutiques et sylvicoles et d’identifier des programmes et projets de développement durable en vue de leur valorisation.  Cette étude a été effectuée en 2018 dans les cinq pays (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger et Tchad).

C’est dans ce contexte que le G5 Sahel a entrepris d’actualiser les résultats de l’étude de 2018 afin d’aller vers la formulation d’un programme spécifique sur le sujet.

Le Tchad à l’instar des autres pays membre du G5 Sahel a tenu la réunion de restitution et de validation du Rapport final par le Consultant national en vue de « valider les rapports nationaux d’actualisation des études diagnostiques sur les potentialités agricoles, animalières, halieutiques et sylvicoles dans les pays du G5 Sahel ».

Au cours de la réunion, le consultant national Dr Patcha Kandje a détaillé de long en large les potentialités agro-sylvo-pastoles que regorge le Tchad, vaste d’une superficie de 1 284 000 km2.

hn

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Le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie, Mamadou Sangafowa Coulibaly, a procédé, le jeudi 20 juillet 2023, à Ayebo dans le département d’Aboisso, à la pose de la première pierre de la centrale de production d’énergie électrique à combustible biomasse de 46 MW.

« Avec ce projet, Ayébo accueillera la plus grande centrale à biomasse de Côte d’Ivoire et de la sous-région ouest africaine. Porté par EDF, Meridiam et Sifca, à travers la société Biovea Energie, le projet accroîtra notre offre d’énergie renouvelable de 46 MW. Ce sera la toute première centrale à biomasse sur le réseau électrique du pays », a révélé Sangafowa-Coulibaly, avant d’insister sur le respect de la date de livraison prévue en 2025.

Poursuivant, Le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie a indiqué que la centrale sera alimentée à partir de résidus agricoles du palmier à huile produits par 12 000 producteurs et répondra à terme aux besoins en électricité d’environ 1,7 million de personnes. C’est un projet structurant qui contribuera au développement d’une chaine d’approvisionnement agricole durable.

À en croire Mamadou Sangafowa-Coulibaly, plusieurs projets de même nature sont prévus dans d’autres localités. Il s’agit de la centrale de 73,6 MW à cacao à Divo, la centrale de 25 MW de tiges de coton à Boundiali et la centrale de 20 MW à cacao à Gagnoa. « Ces centrales sont toutes actuellement en phase d’études », a fait savoir le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie.

Tous ces projets, en phase de démarrage ou à l’étude, s’inscrivent dans la mise en œuvre d’un mix énergétique comprenant 45% d’énergie renouvelable à l’horizon 2030, a expliqué le ministre. Ils contribueront à l’atténuation des émissions de gaz à effet de serre de la Côte d’Ivoire dues à la production d’énergie électrique de source thermique.

En vue d’atteindre l’objectif national de réduction de CO2, la Côte d’Ivoire compte exploiter son potentiel en énergie renouvelable de sources diversifiées. Ces projets d’énergies renouvelables, qui ont été identifiés et qui sont au nombre de 24, sont à divers stades d’élaboration. Ils ont une puissance cumulée de 1535 MW et seront tous opérationnels à l’horizon 2030 selon les plannings de réalisation. Ils sont issus de centrales hydroélectriques, solaires et à biomasse.

La convention de concession pour la conception, la construction et l’exploitation de la centrale à biomasse d’Ayebo, a été paraphée en décembre 2019. Mamadou Sangafowa-Coulibaly a salué ses prédécesseurs qui ont porté ce projet.

La cérémonie de psoe de la première pierre de la future centrale à Biomasse d’Ayebo a enregistré la présence de plusieurs personnalités et autorités dont le Président du Conseil économique, social, environnemental et culturel, Dr Aka Aouélé, également Président du Conseil régional du Sud Comoé.  

km

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Accompagner tous les candidats désignés du RHDP pour les élections régionales et municipales de septembre prochain ; tel est l’engagement pris par Kalimou TRAORE ce samedi à l’occasion de la rentrée politique du mouvement Vision pour une Nouvelle Côte d’Ivoire (VNCI) à Mankono.

Comme les échéances électorales passées, il faut compter avec les membres de Vision pour une Nouvelle Côte d’Ivoire (VNCI) pour pousser le RHDP à la victoire finale aux prochaines échéances électorales en Côte d’Ivoire. Pour sa rentrée politique à Mankono, des délégations venues des quatre coins de la région du Béré ont effectué le déplacement pour marquer leur soutien à Moussa Dosso et Cissé Namory, respectivement candidats RHDP pour les élections régionales du Béré et municipales de Mankono.

« Nous allons nous mobiliser à travers des tournées de proximité pour pousser à la victoire les candidats choisis par le RHDP comme l’a demandé son Excellence le président Alassane Ouattara », a indiqué Kalimou TRAORE, Président du mouvement VNCI. A travers cette rentrée politique, ce sont tous les fils et filles du Béré qui sont invités à s’unir autour desdits candidats susnommés.

L’invité spéciale de cette cérémonie, l’Honorable Salimata Fofana, député de Mankono commune et sous-préfecture n’a pas manqué de saluer l’initiative du président de VNCI. Elle a invité les populations à s’unir autour du président Alassane Ouattara à travers le soutien des fils et filles désignés pour porter la vision du RHDP dans la région.

Zanga Coulibaly, Président de « Foce 2015 », n’a pas tari d’éloges pour les actions du président de la république dans la région. Dans son intervention, il s’est dit heureux d’avoir été choisi comme parrain de la cérémonie et a exhorté les populations à œuvrer à porter encore plus haut les couleurs du RHDP.

Le représentant du maire, Koné Drissa a dit la satisfaction du maire pour le soutien de taille à lui apporter par le président de VNCI, Kalimou Traoré, par ailleurs, 3e Adjoint au maire de la commune.

SerComVNCI/Ané-Ass

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Le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Adama Kamara, dans le cadre de la 5ème étape de la Ronde du social (RDS 5), a rencontré successivement à Daloa (capitale de la région du Haut-Sassandra), les fonctionnaires et agents de l’État à la résidence du préfet, les commerçants au marché Orly, les transporteurs à la gare routière et les artisans de la région à la mairie de Daloa. Il les a tous exhortés à souscrire à La Complémentaire, au Régime social des travailleurs indépendants (RSTI) et à la Couverture maladie universelle (CMU), qui sont des produits de protection sociale.

« Chers parents, chers amis, c’est aujourd’hui que demain se prépare. Allez-y vous faire enrôler. C’est pour votre propre bien », a lancé le ministre.

Les explications du ministre de la Protection sociale, à chacune des étapes, ont achevé de convaincre les participants les plus sceptiques. À la fin de chaque rencontre, ce sont plusieurs personnes qui ont afflué vers les différents sites d’enrôlement.

"Je tiens vraiment à remercier monsieur le ministre parce que, dans les premiers temps, nous ne comprenions pas bien l’importance de La Complémentaire. Mais avec ses explications, j’ai été convaincu. En effet, on ne sait pas ce que nous réserve l’avenir. Il est donc mieux de penser à notre retraite et d’être épanoui avec nos enfants et petits-enfants", a dit Raïssa Koffi épouse Salla, éducatrice préscolaire en service au Centre social du quartier Garage de Daloa.

Ténin Fofana, vendeuse de beignet au marché Orly, s’est engagée à se faire enrôler à la CMU. "Nous avons bien compris le message du gouvernement sur la CMU. Nous allons souscrire. C’est bon pour nous et nos familles. Dans la vie, si tu as la santé tu peux tout faire. Je dis merci au Président Alassane Ouattara".

Djibril Diakité, transporteur sur la ligne Bédiala-Daloa, est déjà inscrit à la RSTI. Il est dans le rang pour l’enrôlement à la CMU. "J’ai déjà souscrit au Régime des travailleurs indépendants. C’est une très bonne chose pour nous. Avec cette pension que nous aurons à notre retraite, on pourra continuer de nourrir nos familles sans inquiétude. Concernant la CMU, c’est maintenant que je vais m’enrôler. Ça va considérablement réduire nos dépenses en cas de maladie ou d’accident de route", a-t-il relaté.

Diarrassouba Issoufou, président régional de la Chambre des métiers du Haut-Sassandra, du Gôh et de la Marahoué, a invité ses collègues à s’inscrire à la CMU et à la RSTI. "Au sortir de cette rencontre avec monsieur le ministre, nous retenons que la CMU et la RSTI sont deux produits pour nous assurer une vie paisible. C’est une justice que le Chef de l’État vient de rattraper pour nous acteurs du secteur informel. Nous lui adressons nos sincères remerciements et invitons nos amis à se faire enrôler".

La Ronde du social, une campagne de sensibilisation de proximité, se tient dans le Haut-Sassandra du 17 au 23 juillet 2023. 

KM

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N’takpé Nicaise Ohouna, cadre dynamique et fils émérite de la région de l’Agneby-Tiassa, a officiellement lancé sa candidature aux élections municipales du 2 septembre prochain. Fort de ses expériences passées et de ses compétences avérées, il brigue la mairie de la circonscription d’Agboville en tant que candidat "indépendant".

Détenteur d'un brillant parcours académique, N’takpé Nicaise Ohouna a obtenu un master en communication ainsi qu'une maîtrise en histoire moderne et contemporaine. Depuis lors, il s'est distingué en tant qu'Expert commercial et marketing, spécialisé dans le domaine du ciment. Sa riche expérience professionnelle et son engagement sans faille pour le développement local font de lui un candidat crédible et compétent pour administrer la commune d’Agboville.

Bien que l'année 2021 ait été marquée par une défaite lors des élections législatives, où il s'est classé troisième sur sept candidats, N’takpé Nicaise Ohouna est déterminé à poursuivre son engagement politique et à servir sa communauté avec dévouement et abnégation.

Dans une déclaration passionnée lors de la remise de sa candidature à la Commission électorale indépendante (CEI), N’takpé Nicaise Ohouna a souligné son profond attachement à sa terre natale, l’Agneby-Tiassa, et sa volonté de contribuer activement à son développement et à son progrès. Il s'engage à mettre en place des projets concrets pour améliorer les conditions de vie des habitants d’Agboville, en œuvrant notamment pour le renforcement des infrastructures locales, l'accès à l'éducation et la création d'emplois.

Le choix d'une candidature indépendante permet à N’takpé Nicaise Ohouna de rester fidèle à ses convictions et de travailler en toute indépendance, sans être assujetti à des intérêts partisans. Cette démarche a d'ores et déjà suscité un engouement au sein de la population locale, qui voit en lui un espoir pour l'avenir de leur commune.

À l'approche des élections municipales du 2 septembre, la candidature de N’takpé Nicaise Ohouna promet d'apporter une nouvelle dynamique à la politique locale d’Agboville. Son expérience, sa compétence et son dévouement en font un candidat sérieux, prêt à relever les défis et à œuvrer pour le bien-être de tous.

Les citoyens d’Agboville attendent désormais avec impatience de découvrir les projets concrets que N’takpé Nicaise Ohouna compte mettre en œuvre pour transformer positivement leur commune et amener un véritable changement. Le 2 septembre 2023 sera sans aucun doute un jour clé pour l'avenir d’Agboville, et le choix des électeurs aura un impact significatif sur son développement.
AT

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 Le nouveau Centre Hospitalier Régional (CHR) de Man (Région du Tonkpi), a été inauguré, le 22 décembre 2022, par le Premier Ministre Patrick Achi.

Bâti sur une superficie de 12 450 m2 et doté d’une capacité de 110 lits , ce centre hospitalier vient renforcer le réseau et le plateau sanitaire de la Région.

Equipé de matériels ultra-modernes de dernière génération, le CHR de Man comprend 15 services. Il s’agit, entre autres, de la consultation externe, des urgences, de trois blocs opératoires chirurgicaux, du centre de dialyse (10 postes), de deux cabinets dentaires, du laboratoire de microbiologie, etc.

La réalisation du projet s’inscrit dans le cadre du vaste programme hospitalier de plus de 1 000 milliards de F CFA consistant en la construction, la réhabilitation et l’équipement des établissements hospitaliers et dans le cadre de l’opérationnalisation de la Couverture maladie universelle sur l’ensemble du territoire national.

« La mise en service de cette infrastructure sanitaire contribue à l’amélioration de l’offre de soins, impactant ainsi positivement la vie des populations », témoigne Pythagore Bleu, agent commercial.

Cet établissement sanitaire est la matérialisation de la volonté du gouvernement d’offrir aux populations des soins de qualité. Ce Pôle régional de référence en matière de santé vient soulager une population estimée à plus de 1 387 0000 d’habitants.

« Ce projet vise à améliorer le niveau de l’accessibilité des structures de santé et bâtir un système de santé performant et résilient pour une bonne prise en charge des populations », souligne Sylla Yacouba, agent de santé.

La première pierre des travaux de construction a été posée le 24 octobre 2019. Le coût de réalisation de cet hôpital est estimé à 27,6 milliards de FCFA.  

OM

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Le ministre de la Communication et de l’Économie numérique, Amadou Coulibaly a procédé, ce mercredi 19 juillet 2023, au Sofitel Hôtel Ivoire d’Abidjan, au lancement du Salon international du contenu audiovisuel d’Abidjan (SICA), prévu du 20 au 22 novembre 2023.

"Le SICA, vient combler un vide. Il n’est pas normal que dans notre espace communautaire francophone, il n’y ait aucune initiative centrée sur la promotion du contenu audiovisuel. Le SICA est une réponse du Gouvernement pour la promotion de l’œuvre audiovisuel et sa valorisation’’, a justifié Amadou Coulibaly.

Il a, en outre, indiqué que le SICA est surtout l’aboutissement de la promesse faite par le Premier Ministre, Patrick ACHI le 16 septembre 2021, aux professionnels, entrepreneurs et acteurs de l’industrie audiovisuelle, au cours d’une rencontre à la Primature.

À en croire le ministre de la Communication et de l’Économie numérique, le SICA s’inscrit dans le grand programme du Président de la République, Alassane Ouattara, qui veut donner à la Côte d’Ivoire une chance de développement intégral qui accorde une place de choix à l’industrie de création.

En Côte d’Ivoire, la libéralisation de l’espace télévisuel, intervenue ces dernières années, a impulsé un dynamisme du secteur audiovisuel avec l’avènement de 7 chaînes de Télévision qui diffusent sur la TNT, et qui sont reprises par les bouquets satellite diffusés ici et hors du pays, donnant ainsi de la visibilité à la culture ivoirienne et aux talents dans le pays.

Le SICA Abidjan 2023 se veut également un cadre de réflexion entre professionnels du contenu audiovisuel, et entre le secteur public et le secteur privé, avec pour objectif, d’engager éventuellement, sur la base des recommandations des échanges, des réformes nécessaires à l’épanouissement du secteur.

Organisé autour du thème : "Pour un écosystème audiovisuel et cinématographique africain, pourvoyeur d’emploi à l’ère du numérique", le SICA 2023 rassemblera à Abidjan des institutions gouvernementales, des producteurs, des distributeurs, des chaînes publiques et privées, des opérateurs du câble, de satellite, de mobile, et des services de vidéo à la demande.

Outre la conférence inaugurale axée sur la thématique principale, des panels seront consacrés aux perspectives économiques du secteur audiovisuel, ainsi qu’au financement de la création audiovisuelle par les chaînes de télévision.

Le lancement du SICA 2023 a enregistré la présence de la ministre de la Culture et de la Francophonie, Françoise Remarck co-organisatrice de l’évènement. 

OM

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Le Ministre de la Santé, de l’Hygiène Publique et de la Couverture Maladie Universelle, Pierre N’gou Dimba a officiellement lancé mardi 18 juillet 2023, le Bulletin de Santé Publique de Côte d’Ivoire (BSP-CI), à l’Institut National de Santé Publique (INSP) d’Abidjan-Adjamé.

Ce bulletin vise à diffuser des informations de santé fiables exactes, objectives et utiles à faire de la priorité la santé des populations, minimiser les menaces ainsi que d’éclairer les pratiques et les prises de décision en matière de santé publique.

Procédant au lancement de cette plateforme, le Ministre Pierre Dimba, premier patron de la santé, a indiqué que ce projet s’inscrit dans la vision de son département ministériel qui est de "garantir un accès équitable à des soins de santé de qualité pour tous", telle qu’exprimée dans son Plan National Sanitaire (PNS) 2021-2025.

Selon le Ministre Dimba, ce projet renferme deux symboles, notamment la poursuite avec succès de la mise en œuvre du pilier de l’inclusion sociale de l’ambitieuse politique « Côte d’Ivoire solidaire » du Président de la République SEM Alassane Ouattara, avec pour priorité le secteur de la santé mais aussi la célébration de la qualité de la coopération qui lie la Côte d’Ivoire et les États Unis, dans le secteur de la santé.

Prof. N’dindin Claude, Directeur Général de l’Institut National de Santé Publique, pour sa part, a affirmé ainsi « Ce projet vise à assurer le positionnement de l’INSP en tant que Centre National d’Excellence pour la Recherche en Santé Publique et à améliorer la qualité de la formation des personnels impliqués dans la riposte aux urgences de santé publique en Côte d’Ivoire »

Cette initiative est le fruit de l’intégration, depuis 2007, de l’Institut National de Santé Publique à l’International Association For African Public health Institut (IANPHI). Il a été mis en place grâce à l’appui financier du gouvernement Américain, à travers l’EMORY UNIVERSITY, Centre pour le Contrôle et la Prévention des catastrophes (CDC), Global Health Security Agenda (GHSA) et de l’IANPHI. 

km

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