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Turkish Airlines, compagnie basée à Istanbul, a signé un protocole d’accord portant sur l'acquisition de 25 A350-900 assortie de cinq options, réaffirmant ainsi son entière confiance dans le dynamisme et la croissance du marché mondial.
« Alors que Turkish Airlines dessert plus de destinations que toute autre compagnie dans le monde, nous sommes particulièrement heureux de bâtir notre avenir sur le tout nouvel A350 XWB d'Airbus et contribuer ainsi au développement de notre réseau de lignes internationales au départ de nos hubs d'Istanbul et d'Ankara », a déclaré M. Ilker Ayci, Chairman de Turkish Airlines.
« Chez Airbus, nous sommes extrêmement fiers de compter Turkish Airlines parmi les nouveaux opérateurs de l'A350, l'appareil gros-porteur le plus moderne et efficient au monde », a indiqué pour sa part Eric Schulz, Directeur commercial d’Airbus, soulignant que cette commande vient développer et renforcer le partenariat bâti de longue date entre Airbus, Turkish Airlines et la Turquie dans son ensemble.
Turkish Airlines exploite actuellement une flotte de 167 avions Airbus, et son carnet de commandes comprend 92 A321neo supplémentaires. La Turquie est membre à part entière de la chaîne d'approvisionnement d'Airbus depuis près de 20 ans, et participe à tous les programmes avions d'Airbus, notamment le prestigieux A350 XWB.
L’A350 XWB est une toute nouvelle famille de gros-porteurs long-courriers de moyenne capacité qui contribue à façonner l'avenir du transport aérien. Cet appareil bénéficie d'une conception aérodynamique innovante, d'un fuselage et d'une voilure en fibre de carbone, ainsi que de nouveaux moteurs Trent XWB de Rolls-Royce à faible consommation de carburant. Ensemble, ces toutes dernières technologies se traduisent par des niveaux d'efficience opérationnelle incomparables, notamment une réduction de 25 % de la consommation de carburant et des émissions, et des coûts de maintenance significativement réduits. Outre un aménagement spacieux et calme, la cabine Airspace offre une ambiance, un design et des services supérieurs qui contribuent à de meilleurs niveaux de confort et de bien-être et définissent de nouveaux standards en termes d'expérience de vol pour l'ensemble des passagers, toutes classes confondues.
A la fin février 2018, Airbus a enregistré un total de 854 commandes fermes pour l'A350 XWB, émanant de 45 clients dans le monde.
Daniel Coulibaly
La sprinteuse ivoirienne, Murielle Yvonne Ahouré, est arrivée mardi, à Abidjan, après sa belle performance aux derniers championnats du monde en salle d’athlétisme, en Angleterre, où elle a remporté la médaillée d’or des 60 mètres, raporte l'AIP.
Elle a été accueillie aux environs de 17h30, à l’aéroport international de Port-Bouët, par un petit public dans lequel l’on distinguait les personnalités du monde sportif dont le ministre des Sports et des Loisirs, François Albert Amichia et les membres de la Fédération ivoirienne d’athlétisme.
« C’est beaucoup d’émotion qui m’anime. Je suis très contente d’être ici. La dernière fois où j’étais là, c’était pour l’enterrement de mon père. C’était un moment très difficile pour moi. Je ne pensais pas que j’allais revenir de si tôt mais c’est important de venir présenter ma médaille au pays parce que j’ai travaillé dur pour ça. Je suis venue présenter ma médaille au président de la République qui m’a beaucoup soutenue », a-t-elle déclaré, lors d’un point de presse.
L’agenda de son séjour en terre ivoirienne prévoit une audience au palais présidentiel du Plateau et une participation à l’inauguration vendredi, de l’hôpital mère-enfant de la Fondation Children of Africa, de la Première dame, Dominique Ouattara, à Bingerville.
Avec un chrono de 6 s 97, Murielle Ahouré a remporté vendredi, à Birmingham, en Angleterre, la médaille d’or du championnat du monde en salle devant sa compatriote, Marie-Josée Ta Lou, qui a décroché la médaille d’argent.
Mamadou Touré, le Secrétaire général délégué du Rassemblement des républicains (RDR, parti présidentiel en Côte d'Ivoire) était l’invité de RFI ce mercredi 14 mars 2018. Le secrétaire d'Etat à l'Enseignement techenique et à la Formation professionelle s'est notamment exprimé sur les remous au sein du RHDP, la coalition au pouvoir, sur fonds de guerre ambitions pour la présidentielle de 2020. Interview.
A Yamoussoukro, Jean louis Billon, porteur de la voix d’Henri Konan Bédié a été très clair, en 2020, le PDCI ne se sabordera pas et présentera à la présidentielle son candidat. C’est de moins ce qu’a dit Jean Louis Billon
Je ne sais pas si à Yamoussoukro, Jean Louis Billon était porteur de la voix d’Henri Konan Bédié. Mais cette position totalement contraire à celle exprimée par le porte-parole officiel du PDCI, le ministre Adjoumani qui considère que cette position est une position personnelle de M. Jean Louis Billon qui n’engage pas le PDCI.
N’êtes-vous pas un peu coincé par le chantage actuel de votre allié avec ou sans guillemet. Qu’est ce qui se passe aujourd’hui, c’est une guerre de chefs ? Pensez-vous que le PDCI fait monter les enchères ?
Je pense qu’il faut relativiser et nuancer. Depuis 2010, j’irai même un peu avant, différents partis politique en Côte d’Ivoire sont traversés par des courants. Vous prenez le FPI, le PDCI, vous prenez même au sein du RDR. Avant le congrès de notre parti, il y a eu des sensibilités qui se sont exprimées. Ces courants ne peuvent pas être la voix officielle de notre parti. Il faut s’en tenir aux voix officielles du Parti. Toutes les déclarations officielles du Président Bédié sont allées dans le sens de la consolidation de notre alliance. Il l’a répété à Daoukro sa volonté de voir le parti unifié se mettre en place. Toutes les communications officielles, les communiqués officiels de nos portis politiques vont dans ce sens. D’ailleurs vous verrez que pour les élections sénatoriales qui auront lieu dans deux semaines, au-delà des polémiques qui naissent et qui peuvent être aussi le reflet des débats démocratiques en nos seins, l’essentiel est que nous avons acté d’aller à ces élections sénatoriales en RHDP. Je pense qu’il faut regarder l’essentiel.
Il y a des listes uniques pour ces élections du 24 mars
Ce qui matérialise notre volonté commune de renforcer notre alliance et donc de garantir la paix et la stabilité à notre pays pour un long terme.
Je reviens à ces sénatoriales, le RHDP va rafler tous les sièges, les deux FPI, l’opposition a annoncé ne présenter aucune liste, après ce succès annoncés, peut-on s’attendre à des embrassades entre Henri Konan Bédié et Alassane Ouattara ?
Le président Alassane Ouattara et le Président Henri Konan Bédié ne se sont jamais séparés. Il y ‘a des ambitions personnelles qui s’expriment fait de cadres issus de nos différents partis politiques mais cela ne peut pas l’emporter sur la volonté commune de ces deux présidents de garantir la paix et la stabilité à ce pays.
Il y aura effectivement un parti unifié avant l’élection présidentielle de 2020 ?
Il y aura un parti unifié, il faut juste être un peu patient.
L’accord dit secret de Daoukro sera-t-il respecté ?
Il n’y a pas d’accord secret de Daoukro. L’appel de Daoukro si nous devons le résumer est un appel à la paix, la stabilité, un appel au développement de la Côte d’Ivoire.
En clair, ce parti unifié constitué avant 2020 peut-il porter à la présidentielle, un ancien Pdci ou pas ?
Nous estimons que ce débat est prématuré. Ce qui intéresse nos concitoyens, ce n’est pas qui sera présidents en 2020. Ceci étant, nous avons estimé au niveau de nos partis politiques que ce débat relevait des prérogatives des deux Chefs.
Le Rhdp peut-il porter à la présidentielle, un ancien cadre du Pdci, oui ou non ?
Le président Alassane Ouattara a souhaité que pour la suite, le meilleur cadre du Rhdp puisse lui succéder un jour à la tête de ce pays. Ce meilleur cadre du Rhdp peut-être issu de l’Udpci, du MFA, du PIT, du Pdci ou du RDR.
Alassane Ouattara peut se représenter en 2020, le fera-t-il ?
Alassane Ouattara est aujourd’hui préoccupé par le quotidien de ces concitoyens ; Alassane Ouattara est à la tête d’un gouvernement Rhdp, travaille pour régler les défis sécuritaires, les défis économiques. Alassane Ouattara pour l’heure a beaucoup à faire. Ce qui le préoccupe aujourd’hui, ce sont ces concitoyens.
Si son bilan est positif aujourd’hui, il se représente ?
Le débat aujourd’hui n’est pas à ce qu’il se présente ou ne se présente pas. Je vous dit que pour l’heure ce qui préoccupe le président Ouattara c’est vraiment son bilan, ce qu’il laissera à la Côte d’Ivoire, une Côte d’Ivoire prospère, une Côte d’Ivoire où l’égalité des chances est une réalité, une Côte d’ivoire où en 10 ans il aura amélioré de façon substantielle les conditions de vie de ses concitoyens. C’est le plus gros challenge qu’il a aujourd’hui, et nous sommes une équipe soudée autour de lui au niveau gouvernemental, au niveau du Rhdp pour l’aider à réaliser cela.
Tout reste ouvert pour 2020 ?
2020 sera discuté par Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié. Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié se retrouveront au moment opportun et décideront du meilleur schéma possible pour 2020. Pour l’heure, nous agissons pour nos concitoyens .
Les parents de Keiba Athniel, âge de 12 ans, élève en classe de seconde C, au collège moderne Adama Sanogo d’Abobo, souffrant depuis janvier d’une thrombose veineuse, maladie grave qui cause des caillots de sang dans les veines, lancent un appel à l’aide pour le financement de soins de leur progéniture, annonce l'AIP.
Les soins du jeune Athniel ont déjà coûté plus de sept millions de francs CFA à ses parents, qui, à bout de souffre, se sont résignés à le sortir des hôpitaux et à le ramener à leur domicile. Ils espèrent tout de même le voir dans un centre hospitalier spécialisé à l’extérieur du pays ou en Côte d’Ivoire, où l’enfant pourrait suivre un traitement plus poussé mais onéreux.
Brillant élevé, Athniel a quitté les bancs de sa classe depuis janvier, quand il a été hospitalisé pour plus d’un mois en service de réanimation dans une polyclinique, à Abidjan et ensuite au service réanimation du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Treichville.
A ce jour, il est alité avec une canule de trachéotomie qui lui permet de respirer à travers un orifice créé au niveau du cou. Il souffre de contractures, de raideurs articulaires généralisées.
Durant son séjour en réanimation, il a contracté plusieurs infections nosocomiales ayant aggravé son tableau clinique, selon un rapport médical produit par Dr Bizala Bizala Cléophas, anesthésiste réanimation.
Très remontées! Les femmes de l’Association Benkadi, du village Kouroukounan, dans le département de Niakara, plaident pour l’équipement et la mise en fonction effective du centre de santé rural de cette localité, construit en 2017 par le Conseil régional du Hambol (Katiola), rapporte l'AIP.
» Il est inadmissible de ne pas pouvoir jouir des prestations de cette infrastructure de soins et d’être d’obligées de se rendre toujours à la SUCAF-CI 2 ou à Badikaha en cas d’urgence médicale », a déploré Gnougo Touré, la présidente de l’Association Benkadi de Kouroukounan, interrogé par l’AIP.
A l’instar de la quarantaine de femmes que compte le groupement, elle a souhaité l’équipement de cet établissement sanitaire et l’affectation d’un personnel soignant pour son fonctionnement.
Ce centre rural de santé Kouroukounan est composé d’un bâtiment abritant un dispensaire, une maternité et d’un autre bâtiment servant de logement.
Le trophée de la Coupe du monde de football 2018 a été présenté, mardi, au président Alassane Ouattara, dans le cadre d’une tournée initiée par la marque Coca-Cola dénommée « FIFA World Cup, Trophy Tour », au Palais présidentiel d’Abidjan-Plateau.
« Je suis heureux d’accueillir ce prestigieux trophée convoité par tous et qui mobilise chaque quatre ans, des millions de spectateurs et de téléspectateurs », s’est réjoui le président de la République, Alassane Ouattara, estimant que cette compétition est l’occasion de célébrer les valeurs sportives qui doivent inspirer la jeunesse.
Tout en regrettant l’absence des éléphants de Côte d’Ivoire à cette grande fête du football au mois de juin, en Russie, le chef de l’Etat a émis le vœu de voir les pachydermes remporter ce trophée en 2026.
« Les éléphants qualifiés ou pas, demeurent les éléphants », a lancé le directeur régional de Coca-cola, Don Dusse, justifiant que la Côte d’Ivoire malgré son absence à l’édition de 2018, reste une « terre » de football qui regorge de nombreux talents.
Avant de présenter officiellement le trophée à son excellence, l’Ambassadeur de la Fédération internationale de football association (FIFA), Christian Karembeu, a expliqué l’enjeu de cette compétition qui est de valoriser le parcours, l’excellence et la passion.
Cette cérémonie a enregistré la présence du ministre des Sports et Loisirs, François Albert Amichia, de son homologue de la promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique, Sidi Touré et du Vice-président de la Fédération ivoirienne de football, Sory Diabaté.
La Côte d’Ivoire fait partie des 51 nations de football sur les 211 que compte la planète qui accueillent cette caravane, après celle de 2006.
AIP
La Côte d’Ivoire a récemment connu une période de surperformance telle qu’elle a pu rebondir brillamment malgré le fait qu’elle n’a pas su profiter du boom des marchés émergents qui a caractérisé l’économie mondiale de 2000 à 2010 en raison de la crise politique qui secouait le pays, selon la récente édition « The Report: Côte d’Ivoire 2018 », une étude publiée par le cabinet d’intelligence économique et de conseil, Oxford Business Group (OBG).
Souvent perçue comme étant la porte d’entrée commerciale de l’Afrique francophone, la Côte d’Ivoire doit sa vigueur économique principalement à sa stratégie de diversification ayant permis de contrecarrer la chute des prix du cacao. Le FMI prévoit une croissance du PIB de 7,6% en 2018 et les perspectives à moyen terme sont tout aussi positives avec une estimation moyenne de croissance de 7% pour les années à venir.
Un certain nombre de réformes et de projets de développement ont démarré en 2017 dans les secteurs de l’énergie, des transports, des services financiers, de la construction, des télécommunications et de l’agriculture. Plusieurs appels d’offres publics ont été publiés. Les secteurs public et privé ont aussi entrepris de remplacer ou d’améliorer les infrastructures dégradées ou détruites entre 2002 et 2011, indique l’étude qui brosse un portrait économique et politique complet de la république avec des analyses en profondeur des différents secteurs économiques.
« Malgré un bref bouleversement au cours des premiers mois de l’année dernière, les réformes et les politiques récemment mises en œuvre ont redonné confiance à l’économie ivoirienne, avec l’émission réussie d’une euro-obligation en juin », a expliqué le rédacteur en chef d’OBG, Oliver Cornock, en soulignant néanmoins que « les élections de 2020 ont déjà commencé à faire l’objet de discussions au sein des milieux d’affaires. Concrètement, un certain nombre de projets dans différents secteurs ont été lancés afin d’améliorer le niveau de vie de la population».
D’après le document, le secteur énergétique connaît une croissance fulgurante. Plusieurs projets sont en cours afin d’accroître la capacité thermique du pays. La Côte d’Ivoire prévoit de doubler sa capacité énergétique d’ici 2020 en misant également sur des solutions vertes. Un certain nombre de nouveaux projets d’énergies renouvelables sont en cours, dont la nouvelle usine de biomasse d’EDF, par exemple. La réfection et l’expansion des réseaux de distribution et de transmission ainsi que les nouvelles règlementations introduites ces dernières années contribuent à rendre le secteur plus compétitif et à attirer des investissements privés.
Au chapitre des transports, les nouveaux projets en cours devraient accroître l’offre et contribuer à repositionner la Côte d’Ivoire comme plaque tournante régionale. L’agrandissement des terminaux de passagers et de fret et l’aménagement d’une nouvelle piste d’atterrissage à l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny ainsi que la construction d’un deuxième terminal à conteneurs dans le port d’Abidjan sont au nombre de ces projets qui s’ajoutent au développement et à la réhabilitation de plusieurs infrastructures routières dans le pays.
Premier producteur mondial de cacao, la Côte d’Ivoire est aussi l’un des plus grands exportateurs de noix de cajou. Avec une large variété de cultures et un grand nombre de zones cultivables, l’agriculture demeure un atout précieux à l’économie ivoirienne. Les terres fertiles et le climat favorable contribuent à faire de l’agriculture une source importante de revenus. Malgré l’offre mondiale excédentaire qui fait baisser les prix des produits de base, le cacao demeure une culture importante pour le pays.
Selon la directrice éditoriale d’OBG pour l’Afrique, Souhir Mzali, même si la Côte d’Ivoire a encore du chemin à parcourir pour revendiquer le titre de centre manufacturier de l’Afrique de l’Ouest, les politiques gouvernementales prudentes et les investissements étrangers directs ont contribué à la croissance de ce secteur. « La hausse accélérée du PIB des cinq dernières années a permis à certaines industries de développer une clientèle locale et régionale et d’accroître les échanges avec les marchés internationaux ».
The Report: Côte d’Ivoire 2018 présente des analyses économiques et financières rigoureuses ainsi que des entrevues exclusives avec des acteurs clés du développement ivoirien, dont l’une avec le Premier ministre chargé du Budget et du Portefeuille de l’État, Amadou Gon Coulibaly, sur l’amélioration des conditions de vie et la poursuite de la diversification économique.
The Report: Côte d’Ivoire 2018 est réalisé en partenariat avec le Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), la Confédération Générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), Ernst & Young, Bilé-Aka, Brizoua-Bi et Associés ainsi que le Groupe Hudson.
Le ministre de la Fonction publique, Issa Coulibaly, a procédé mardi, à Abidjan, au lancement de 379 concours administratifs pour 9.644 postes budgétaires à pourvoir pour l’édition 2018, rapporte l'AIP.
Il s’agit des concours directs, de recrutement et de recrutement exceptionnels pour 2.523 places, des concours professionnels et professionnels exceptionnels pour 6.699 postes budgétaires et des concours directs et de recrutements du secteur de la santé pour 2.945 places.
Les recrutements dans le secteur de la santé intègrent de nouveaux emplois tels que celui d’ingénieur des services de santé, option économie de la santé.
Les inscriptions en ligne sur le site du ministère de la Fonction publique (fonctionpublique.gouv.ci) démarrent mercredi, pour prendre fin le vendredi 4 mai, les visites médicales, du 27 mars au 25 mai, dans les 11 villes retenues et le dépôt des dossiers de candidature du 10 avril au 1er juin.
Les compositions aux épreuves se dérouleront du 8 au 30 septembre et les résultats définitifs seront connus le 30 novembre.
Selon le ministre Issa Coulibaly, à l’instar des sessions précédentes, le chronogramme de l’organisation de ces concours administratifs comprend sept étapes notamment l’inscription, les cours de préparation, la gestion des dossiers de candidature, les compositions, la gestion des copies, les délibérations et résultats et les des activités post-résultats.
Pour la transparence du processus, le ministre s’est engagé à organiser un recrutement dépourvu de toute contestation pour mettre à la disposition des administrations publiques des ressources humaines de qualité.
Car, a -t-il ajouté, le crédo de son département ministériel est d’amener les ivoiriens à sortir de la logique des réseaux pour s’inscrire dans la logique du mérite.
« Je profite de cette tribune pour clamer haut et fort que les réseaux dans les concours administratifs, c’est fini. J’invite, à ce titre, la population à s’impliquer activement pour la bonne organisation des concours administratifs, en exhortant les candidats à s’inscrire dans une préparation efficiente », a-t-il lancé.
Après une bonne organisation des concours administratifs de l’édition de 2017, le ministre Issa Coulibaly s’est réjoui de l’introduction du numérique dans tout le processus, de l’inscription au traitement des résultats qui permet de juguler les comportements répréhensibles qui ternissent son département ministériel.
Pour l’édition 2017 des concours administratifs, au total, 70.129 candidats avaient pris part aux compositions pour 10.049 postes budgétaires à pourvoir, indique-t-on.
Le président du Zimbabwe, Emmerson Mnangagwa, est annoncé à Abidjan, pour prendre part à la 6e édition de l’Africa CEO Forum qui se tient les 26 et 27 mars dans la capitale économique ivorienne.
M. Mnangagwa, à cette occasion, « partagera sa vision pour la relance économique de son pays », devant un parterre de plus de 1 200 chefs d’entreprises, d’investisseurs internationaux et de décideurs publics, précise un communiqué transmis à l’AIP par l’African Media Agency (AMA).
Il présentera le potentiel économique du Zimbabwe à la communauté des investisseurs internationaux et chefs d’entreprise réunis à ce rendez-vous.
A l’occasion d’un panel présidentiel inédit, le chef de l’Etat zimbabwéen se prêtera également au jeu de l’interview croisée, avec l’ancien président du Nigéria, Olusegun Obasanjo.
En s’appuyant sur l’exemple du Nigéria, qui a su sortir d’une longue période d’isolement économique, les homologues échangeront sur les priorités stratégiques à mettre en place pour relancer l’économie du Zimbabwe et mettre un terme aux sanctions.
La 6e édition d’AFRICA CEO FORUM, verra également la participation du président du Libéria, George Weah.
Le président du Zimbabwe, Emmerson Mnangagwa, est annoncé à Abidjan, pour prendre part à la 6e édition de l’Africa CEO Forum qui se tient les 26 et 27 mars dans la capitale économique ivorienne.
M. Mnangagwa, à cette occasion, « partagera sa vision pour la relance économique de son pays », devant un parterre de plus de 1 200 chefs d’entreprises, d’investisseurs internationaux et de décideurs publics, précise un communiqué transmis à l’AIP par l’African Media Agency (AMA).
Il présentera le potentiel économique du Zimbabwe à la communauté des investisseurs internationaux et chefs d’entreprise réunis à ce rendez-vous.
A l’occasion d’un panel présidentiel inédit, le chef de l’Etat zimbabwéen se prêtera également au jeu de l’interview croisée, avec l’ancien président du Nigéria, Olusegun Obasanjo.
En s’appuyant sur l’exemple du Nigéria, qui a su sortir d’une longue période d’isolement économique, les homologues échangeront sur les priorités stratégiques à mettre en place pour relancer l’économie du Zimbabwe et mettre un terme aux sanctions.
La 6e édition d’AFRICA CEO FORUM, verra également la participation du président du Libéria, George Weah.
Le Secrétariat exécutif du Comité de Concertation Etat/Secteur privé (SE-CCESP), à travers la direction générale de l’Economie (DGE) a rendu public les points clés de la note de conjoncture sur la situation économique et financière à fin décembre 2017. Elle a été marquée par une hausse des principaux agrégats, comparativement à ceux de la période de 2016.
Le secteur primaire a été caractérisé par une hausse de 24,4% des productions du cacao, de 7,0% des productions du palmier à huile, de 28 ,0% des productions du caoutchouc naturel, de 9,5% des productions d’anacarde, de 6,1% des productions du coton, de 25,7% des productions de l’ananas, de 2,6% des productions de la banane dessert et par un repli de 68,2% de la production du café.
La production vivrière connait une progression de : 18,0% de la production des tubercules portée par le manioc ; 4,0% pour la banane plantain ; 3,7% pour l’igname ; 3,1%, pour la patate douce ; 2,9% pour le taro ; 4,6% pour les autres cultures vivrières.
Au niveau du secteur secondaire, on a enregistré une tendance haussière de 4,3%, attribuable à la dynamique du secteur manufacturier avec +9,0%, une stagnation de l’activité de la branche électricité gaz et eau à 01,0%, et une contraction des industries extractives à -17,3%, tandis que l’activité industrielle hors extraction connait une croissance de 8,2%.
En ce concerne le secteur tertiaire, il affiche une évolution de ses composantes, notamment l’indice du chiffre d’affaires du commerce de détail (+8%) en termes nominaux, le nombre de passagers du transport aérien (+ 12,1%), la consommation des carburants gasoil et super (+ 8,3%) du transport routier le volume global de marchandises du transport maritime (+2,8%), la chute du trafic global des marchandises du transport ferroviaire (-0,8%).
Les segments du marché des TIC (la téléphonie mobile, la téléphonie fixe et l’internet) affichent, quant à eux, une progression de 29,1%. Qui se traduit par l’emploi moderne avec une progression de + 6,5% correspondant à une création nette de 58 690 emplois avec une augmentation de 7,2% au niveau du secteur privé et 3,9% au niveau du secteur public; les finances publiques caractérisées par une plus-value des recouvrements (4 478,2 milliards contre un objectif de 4 573,4 milliards) et une sous consommation des dépenses notamment des dépenses en investissement ; les échanges extérieurs de marchandises en commerce spécial et hors biens exceptionnels sont marqués par un accroissement en glissement annuel des exportations (+8,8%) et des importations (+3,3%) avec un excédent commercial de 1 708,4 milliards en hausse de 29,7% (+391,4 milliards) par rapport à l’excédent de 2016 et la Situation monétaire et marché boursier avec d’une part, une progression de 19,7% de la masse monétaire qui atteint 10,143,4 milliards sous l’effet conjugué de la hausse des avoirs extérieurs nets (+44,9% ; +812,0 milliards) et des crédits intérieurs nets (+14,0% , +986,4 milliards), et d’autre part un repli du marché régional des valeurs mobilières qui connait un fléchissement de ses indices BRVM 10 et BRVM composite de 13,3% et de 13,1% respectivement.
Daniel Coulibaly