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Président de la fédération ivoirienne de Krav Maga,Alassane Kouakou est revenu, à l’issu de la première Assemblée Générale Ordinaire(AGO) du mois d’Avril 2018, sur son agenda et ses ambitions pour vulgariser cette technique d’auto-défense israélienne en Cote d’Ivoire.
Quel a été la résolution principale de l’Assemblée Générale Ordinaire qui vient de prendre fin ?
Nous avons décidé de faire la promotion du Krav Maga au plan national et international par une vulgarisation plus accrue de cette technique de défense israélienne à travers toute la Cote d’Ivoire. Il faut aussi noter que, lors de cette Assemblée Générale Ordinaire, j’ai présenté mon bilan (moral et technique) qui a été approuvé par le comité directeur. Sans oublier que le bilan financier présenté par le trésorier a été aussi approuvé.
Qu’est ce que vous avez à dire aux Kravistes (pratiquants que Krav Maga) ?
Nous exhortons les pratiquants et sympathisants du Krav Maga à se rapprocher de la fédération pour une pratique officielle et originale afin d’éviter les arnaques. C’est pourquoi, nous nous félicitons de l’ouverture des nouveaux clubs à Abidjan et l’intérieur du pays. Nous faisons allusion à l’ouverture du club de Yamoussoukro, notamment.
Le Krav Maga est une technique d’auto-défense israélienne qui a fait ses preuves. Quel pourrait être l’apport du Krav Maga à la Cote d’Ivoire ?
Au regard de l’insécurité galopante en Cote d’Ivoire et notamment à Abidjan, le Krav Maga, technique d’autodéfense israélienne simple et efficace pourrait être l’une des solutions pour enrayer l’insécurité, notamment à Abidjan. C’est pourquoi, nous militons pour sa vulgarisation.
Un appel à lancer ?
Nous voulons avant tout remercié le Seigneur qui nous guide tous les jours. Ensuite exprimer notre gratuite à l’égard aux présidents d’honneurs. Respectivement Messieurs Stéphane Ouégnin et Diop Demba pour leur apport inestimable. Aux sponsors, mais aussi au Comité directeur et à toutes les personnes qui de très ou de loin soutiennent la fédération ivoirienne de Krav Maga, et moi-meme, son président, Kouakou Alassane.
Interview réalisée par Louis Tanin
Après la réouverture du Casino Barrière L’Eléphant d’Or d’Abidjan en 2017, la direction de ce groupe français spécialisé dans les loisirs et le divertissement haut de gamme s’est dite satisfaite de son bilan à l’occasion d’un point de presse, animé le 24 Avril 2018 dernier à l’occasion du premier anniversaire de sa collaboration avec la Société de Palaces de Cocody (SPDC), au Sofitel Hôtel Ivoire d’Abidjan.
Le Casino Barrière L’Eléphant d’Or Abidjan se réjoui de son bilan et de sa collaboration avec la Société des Palaces de Cocody(SPDC), un an après avoir procédé à la réouverture de ce Casino. C’est ce qui ressort du discours du directeur de développement du Casino, Gilles Maillet lors d’une rencontre avec la presse dans la salle de conférence du Casino au Sofitel Hôtel Ivoire d’Abidjan.’’Le bilan est positif, nous sommes globalement satisfaits après un an d’activité avec un chiffre d’affaires de plus de 2,8 milliards de Francs CFA ’’, a indiqué Gilles Maillet, le directeur développement du Casino, tout en mentionnant le standing de son établissement, ‘’Le Casino Barrière L’Eléphant d’or d’Abidjan est un lieu chaleureux et raffiné qui attire une clientèle diverse à la fois nationale et internationale, touristes, hommes et femmes d’affaires avec une salle de spectacles d’une capacité de 150 places’’.
Aux cotés des responsables du Casino ,la directrice de la Société des Palaces de Cocody(SPDC),Diarrassouba Maferima Ouattara à lors de son mot de bienvenu insisté sur la qualité de la collaboration entre la SPDC et le Casino Barrière L’Eléphant d’Or d’Abidjan.’’Les relations sont excellentes et je peux me réjouir d’autant plus que la concession entre nous est prévue pour d’étendre sur une durée de 10 ans’’, a affirmé le premier responsable du bailleur du Casino d’Abidjan. En Cote d’Ivoire, la salle des jeux de table (poker notamment) est interdite aux ivoiriens, conformément à la réglementation en vigueur depuis 1969 sous le président Houphouët-Boigny. En revanche, ils ont accès aux restaurants, bars....du Casino. Cette salle de jeux qui est la seule en Afrique de l’ouest à proposer 4 tables d Poker de contrepartie connectées à un jackpot contient, 66 machines à sous dont 10 machines de roulettes automatiques, 10 tables de jeux traditionnels. Il faut noter que Barrière, la maison mère du Casino L’Eléphant d’Or d’Abidjan est une marque sous laquelle sont commercialisés les hotels, casinos et restaurants et qui développe des offres sans équivalent dans le domaine des loisirs haut de gamme. Elle regroupe aujourd’hui 34 Casinos, 18 Hôtels et plus de 120 restaurants et bars dont le célèbre Fouquet’s de Paris.
Louis Tanin
Sediko Douka, commissaire Energies et Mines de la Cédéao, a déclaré que l’Afrique de l’ouest détient le tiers des réserves de pétrole et de gaz naturel du continent.
"L’Afrique de l’ouest représente 30% des réserves trouvées de pétrole et 30% des réserves trouvées de gaz naturel de l’Afrique", a-t-il détaillé, lors de la cérémonie de présentation de la deuxième édition du forum des mines et du pétrole de la Cédéao, prévue du 9 au 11 octobre prochain à Abidjan.
La région, qui compte 330 millions d’habitants, dispose également dans "son sous-sol de l’or, de l’uranium, de la bauxite, du diamant, du fer, du manganèse etc.. avec par endroits des gisements de classe mondial" a soutenu M. Douka,
Pour lui, tout ce potentiel naturel place cette région du continent « au cœur des enjeux géostratégiques".
De son côté, le ministre ivoirien des Mines, Souleymane Diarrassouba, appele à des "reformes vigoureuses" dans le secteur des mines et du pétrole.
«L’enjeu du développement minier de notre sous-région est de faire en sorte que le secteur minier et pétrolier contribuent de façon significative au développement économique et social du fait de ses effets d’entrainement", a dit M. Diarrassouba.
Daniel Coulibaly
Une révision de la liste électorale aura lieu pour le mois de juin 2018, selon Gervais Coulibaly, vice-président de la commission électorale indépendante au cours d’une conférence de presse qu’il a animée le lundi 07 mai au siège de l’institution à Abidjan.
"Cette révision durera que sept jours ", a précisé M. Coulibaly, soulignant que l’opération concerne deux catégories de personnes à savoir les femmes qui ont changé de nom suite au mariage civil et les nouveaux majeurs (les enfants en âge de voter).
Il a, par ailleurs, ajouté que les lieux de vote des élections précédentes serviront de points d’enrôlement lors de cette opération. Il s’agit en tout de 10500.
Selon lui, cette décision a été prise à la demande des partis politiques, de la société civile et autres partenaires. " cela nous permettra aussi d’être efficaces. Nous sommes prêts et nous travaillons en synergie avec l’office nationale d’identification", a-t-il dit.
Si la date indicative de la Cei se confirme, les 10500 lieux seront ouverts sept jours durant sur l’ensemble du territoire, pour enrôler les Ivoiriens.
Daniel Coulibaly
Le compte à rebours en marche. Le premier vol entre la Côte d’Ivoire et les Etats-Unis aura effectivement lieu le samedi 12 mai à 12H45, annonce l’AIP citant une source proche du ministère des Transports.
Ce vol qui est assuré par la compagnie africaine Ethiopian Airlines, va décoller de l’aéroport Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan pour New York.
Cette initiative reflète le désir du gouvernement Ivoirien de faciliter le déplacement des populations ivoiriennes et de de la sous région vers les USA, explique cette source.
« Cet événement accueillera de hauts dirigeants et les personnalités du secteur de l’aviation, ainsi que les décisionnaires du pays. Ce sera l’occasion de célébrer la culture ivoirienne et la culture Ethiopienne puisque Ethiopian Airlines assurera les vols directs vers les Etats Unis », ajoute-t-elle.
Le protocole d’accord du début des vols entre la Côte d’Ivoire et les Etats Unis avait été signé, en janvier à Abidjan, entre le ministre des Transports, Amadou Koné, et le directeur général d’Ethiopian Airlines, Tewolde Gebremariam.
La Fondation AWI a lancé officiellement la 2ème édition du Forum femme et développement(FOFED) à l’occasion d’une table-ronde, le jeudi 26 avril 2018, à la Caistab-Plaeteau. Elle se tiendra en septembre prochain sous le thème : « l’Agro transformation pour l’autonomisation de la femme : Enjeux et perspectives ».
La table ronde a porté sur : « Inclusion financière, clé de la croissance durable pour les femmes transformatrices de Côte d’Ivoire ». Elle a permis de sensibiliser les femmes sur l’éducation financière, et présenter les programmes de financement publics et privés de l’entrepreneuriat féminin.
A cet effet, la CONAPECI, Comoé Capital, la Banque Atlantique, et le ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, ont présenté les opportunités de crédits pour accompagner les femmes dans leurs activités.
Pour Mariam Fadiga Fofana, présidente d’AWI, « réfléchir et échanger sur l’inclusion financière des femmes » apparait opportun …, car la plupart des femmes manquent de financement pour leurs activités, surtout celles du secteur agricole.
De son côté, la représentante de la ministre de la Femme, de la protection de l’enfant et de la solidarité, Binaté Fofana, a salué l’initiative accompagnant les femmes africaines dans leur lutte pour un mieux-être.
Charles Douais du cabinet du ministre de l’Economie et des Finances s’est félicité de cette rencontre dont les conclusions seront utiles pour atteindre les objectifs de l’autonomisation de la femme.
La fondation a également saisi cette occasion pour lancer la deuxième édition du Forum femme et développement(Fofed) dont le thème est « l’Agro transformation pour l’autonomisation de la femme : Enjeux et perspectives ». Selon Olga Yenou, la présidente du comité scientifique, l’objectif de ce forum est d’améliorer l’éducation financière des femmes transformatrices tout en les informant sur les programmes et mécanismes financières mis à leur disposition, aussi bien par l’Etat que le secteur privé. L’édition 2018 attend 2500 participants.
La Fondation AWI a aussi présenté au grand public son magazine SOOQ, qui est une tribune d’échanges pour aider à l’autonomisation des femmes, dont le deuxième numéro vient de paraître.
Daniel Coulibaly
Réunis en Côte d’Ivoire les 26 et 27 avril dernier pour le 4e congrès de la Société ivoirienne de recherche appliquée en médecine (SIRAM) et le 1er Congrès du Groupe de recherche africain de maladies orphelines (GRAMO), des experts en médecine interne ont prescrit aux dirigeants africains de renforcer la promotion de la gériatrie pour préparer les défis à venir.
La gériatrie est une spécialité médicale consacrée au traitement des affections physiques, mentales, fonctionnelles et sociales des séniors ou malades âgés, en particulier lors de soins aigus, chroniques, de réhabilitation, de prévention et en fin de vie.
Ces spécialistes s’appuient sur une évaluation du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) selon laquelle le nombre de personnes de 60 ans et plus en Afrique devrait presque quadrupler pour atteindre 215 millions d’ici à 2050, soit 11 % de la population totale du continent, contre 5 % en 2010.
“La gériatrie est un sujet d’actualité et doit susciter beaucoup d’intérêt dans tous les pays africains, vu la vitesse avec laquelle les populations de personnes âgées augmentent sur le continent”
Sonia Ouali Hammami, présidente de la Société tunisienne de gériatrie
"Je pense que la gériatrie est un sujet d’actualité et doit susciter beaucoup d’intérêt dans tous les pays africains, surtout dans le Nord du continent, vu la vitesse avec laquelle les populations de personnes âgées augmentent en Afrique. D’où l’intérêt de s’occuper des pathologies propres aux sujets âgés", déduit Sonia Ouali Hammami, gériatre et présidente de la Société tunisienne de gériatrie.
L’intéressée indique qu’en Tunisie, on constate une diminution de l’indice de fécondité ces dernières années, si bien qu’en une seule génération, on est passé de 7 à moins de 2 enfants par femme.
Dès lors, pour Sonia Ouali Hammami, par ailleurs professeur de médecine interne, tout comme la pédiatrie, la gériatrie mérite tout l’intérêt des décideurs.
"Parce que la population gériatrique pose beaucoup de problèmes qui diffèrent des problèmes de l’adulte : hypertension, santé mentale, démence du type Alzheimer, etc. On a alors besoin de spécialistes et de services en gériatrie", justifie-t-elle.
Or, la gériatrie n’est pas encore reconnue comme spécialité à part entière dans la plupart des pays africains, bien qu’enseignée dans quelques facultés de médecine, comme celle d’Abidjan en Côte d’Ivoire.
Ce pays ne compte à ce jour qu’un seul gériatre, en l’occurrence Yves Binan, médecin-interniste à la base et formé en spécialisation en France. Ce dernier s’emploie avec d’autres confrères internistes à vulgariser la gériatrie dans le secteur médical en trois volets : l’enseignement, la recherche et la formation.
"Nous sommes en plein début, mais ça va prendre de l’ampleur puisque l’espérance de vie en Côte d’Ivoire est passée de 45 à 55 ans", note Yves Binan, par ailleurs chef du service gérontologie-gériatrie du centre hospitalier universitaire (CHU) d’Angré à Abidjan.
Pour Mourtalla Ka de l’université de Thiès au Sénégal, les gériatres de demain doivent avoir une formation de base en médecine interne.
"Une telle formation permettra assurément de prendre mieux en charge les patients d’un certain âge, présentant des pathologies impliquant des problèmes cardiaques, métaboliques, notamment de diabète, de prostate, etc.", explique-t-il.
"C’est une histoire de polypathologie, et l’approche interniste est probablement la meilleure", complète Mourtalla Ka.
Surprise? En tout cas, ça en a l'air! L’Union pour la Côte d’Ivoire (UPCI, mouvance présidentielle). Le parti vient d'opter pour ne pas entrer dans le parti unifié projeté par le Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir). Ce, malgré le fait que le principe de création de ce parti unifié a été signé récemment par tous les partis membres y compris l’UPCI.
« Vous avez décidé, à l’issue du référendum interne que nous venons d’organiser démocratiquement de refuser, à une majorité écrasante, d’entrer dans le processus d’unification des partis membres actuels du groupement politique du RHDP ; Si certains peuvent être surpris par votre décision alors qu’il y a quelques jours, précisément le 16 avril 2018, un accord politique comportant la signature de votre Président a été rendu public, à y regarder de près, il n’y a rien de surprenant car, au contraire, vous venez de faire la preuve d’une vraie maturité politique, en refusant de ratifier un accord politique signé par votre Président qui n’avait reçu aucun mandat pour le faire", a déclaré, à l’adresse de ses militants, le président de l’UPCI, Maître Brahima Soro, au terme du deuxième Congrès extraordinaire de son parti, le samedi 28 avril 2018 au palais de la culture de treichville à Abidjan.
Le processus d’unification actuellement engagé entre les partis membres du RHDP est « en réalité un projet de réunification de partis politiques qui, hier, ne faisaient qu’un seul », or « l’UPCI n’est pas née de la scission d’un autre parti mais de la volonté de jeunes ivoiriens, venant de tous horizons et de tous secteurs d’activités de se mettre ensemble pour construire une alternative politique en Côte d’Ivoire », a ajouté M. Soro.
Toutefois, l’UPCI reste « ouverte et disponible » à ses alliés du RHDP, a-t-il relevé, cité par l'AIP.
A l’ouverture de ce Congrès qui avait pour thème « UPCI à l’heure du parti unifié RHDP, enjeux et perspectives », Brahima Soro avait prévenu que le parti se plierait à la « dictature de la majorité ».
Cette décision de l’UPCI intervient dans un contexte où la question de l’unification des partis membres du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix fait débat au sein du groupement, mais surtout entre les deux poids lourds de l’alliance, à savoir le Rassemblement des républicains (RDR) du chef de l’Etat Alassane Ouattara, et le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI-RDA), présidé par de l’ex-président ivoirien Henri Konan Bédié.
Un accord de principe de création du parti unifié a été signé mi-avril entre les six partis membres, mais Henri Konan Bédié a plus tard clarifié que ce document « ne signifie pas la disparition du PDCI » qui « présentera, en RHDP, un candidat l’élection présidentielle de 2020 », et qui sera soutenu par les autres partis alliés.
Le RDR, de son côté, largement favorable à la fusion des partis de la majorité en RHDP, prépare activement un Congrès extraordinaire prévue le 5 mai pour se prononcer sur la création du parti unifié.
Le RHDP comprend également l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI), le Mouvement des forces d’avenir (MFA) et le Parti ivoirien des travailleurs (PIT).
La 2ème édition du Salon africain des assurances (Sada), plateforme de valorisation des assurances, de facilitation d’accès aux assurances et de création d’espace de rencontre entre assureurs et populations, organisée par l’Association des usagers de banque et établissements financiers de Côte d’Ivoire (Aubef-CI), se tiendra du 27 au 29 septembre 2018, à Abidjan. Thème : « Qu’est-ce que l’assurance ».
L’information a été donnée au cours d’une conférence-bilan de la 1ère édition et du lancement officiel de la 2ème édition, le jeudi 26 avril 2018, à l’espace Latrille Event aux 2 Plateaux(Cocody).
«Un bilan positif » du fait de l’engouement au niveau des acteurs en assurance et des populations, selon la commissaire générale du Sada, Valérie Kouamé, dressant le bilan de l’édition 2017 qui a suscité le renouvellement de l’expérience avec la tenue de cette édition 2018. Poursuivant, Mme Kouamé a annoncé deux actions majeures du Sada 2018, notamment la création du site internet du salon (www.info-assur.ci) et la mise en onde d’une émission en assurance.
De son côté, Jean-Baptiste Koffi, président de l’Aubef-CI, a présenté le Sada comme un cadre idéal d’échange entre le pouvoir public, opérateurs économiques et usagers des assurances.
C’est pourquoi, dira-t-il, les usagers de banques veulent plus de proximité avec les compagnies d’assurance, afin d'exprimer leurs attentes en matière d’assurance et contribuer ainsi à la création de produits et services orientés vers les vrais besoins de la clientèle.
Par ailleurs, le président de l’Aubef-CI souhaite que soit traité la question des contentieux, car à l’en croire, le copule usager- assureur doit prendre conscience de son indissociabilité et doit pouvoir se nourrir de vérité…
Ce deuxième rendez-vous du Sada parrainé par M. Konan Jacques Assohoré, directeur général du Trésor et la Comptabilité publique, enregistrera la participation de plusieurs compagnies d’assurance et établissements financiers. Il sera meublé par des journées portes ouvertes, mini- conférences thématiques, rencontres B2B, des stands d’exposition, etc. A cela s’ajoutent une action sociale, à travers une tombola, un diner gala pour une levée de fonds, afin de contribuer à la lutte contre le diabète et une remise de prix aux meilleures sociétés d’assurance.
Daniel Coulibaly/ Source: Steeve Azo
En marge de la 8eme édition de l’IT Telecom Forum, M. Soro Nogoulogou directeur général de la SNDI, qui avait à ses cotés les différents ministres en charge des télécommunications et de l’ Economie numérique du Sénégal , du Congo et du Gabon , a animé un panel autour de la thématique << Accélérer la digitalisation , un impératif pour une administration réinventée >> .
Le directeur général de la SNDI a dans son intervention indiqué que sa structure contribue à ce que tous les services de l’administration soient interconnectés dans le but de moderniser les secteurs clé de l’administration pour une meilleure gouvernance.
C’est dans cette optique que les différents systèmes intégrés ont été créés et exportés dans certains pays. << Nous avons numérisé toutes les chaines des finances publiques en Côte d’ Ivoire , 14 ambassades de l’ étranger sont gérés par la SNDI. Ils sont interconnectés avec l’administration locale, ce qui renforce la bonne gouvernance », a-t-il ajouté. Et de souligner que toutes les chaines du secteur forestier et judiciaire ont été numérisées, nous souhaitons couvrir toutes les juridictions du pays d’ici 2020, a-t-il souligné.
En ce qui concerne la lutte contre la cybercriminalité, M. Soro soutient que la sécurité informatique occupe aussi une place importante dans les applications développées par son entreprise.
Pour Léon Juste Ibombo, ministre congolais de l’Economie numérique, lutter contre la cybercriminalité est une nécessité.
Le ministre sénégalais de l’Economie numérique Dr Cherif Diallo a, quant à lui, souhaité une véritable stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité à travers la création d’une école régionale de cyber sécurité.
Notons que depuis l’ouverture du centre de formation de la SNDI en 2012 se sont plus de 10000 agents des ministères et autres démembrements de l’administration qui ont bénéficié de formation pour le renforcement de leur capacité à l’usage des outils des TIC.
Correspondance particulière de Henri Kouassi