Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Le Programme d’appui stratégique à la recherche scientifique en Côte d’Ivoire(PASRES) et la national Reseach fondation d’Afrique du Sud(NRF), le plus important fonds de financement de la recherche scientifique en Afrique, co-organisent le forum annuel des organismes de financement de la recherche en Afrique Sub-saharienne du 5 au 9 novembre 2018 en Côte d'ivoire. L’information a été donnée par le Dr Sangaré Yaya, secrétaire exécutif du PASRES, au cours d’un point presse annonce, le mardi 30 octobre au Centre suisse de recherche scientifique (CSRS) d'Abidjan.

Ce forum qui se tient pour la première fois en Afrique Sud saharienne et en terre ivoirienne réunira le quota des chercheurs africains et également européens autour du thème : « Nouvelles approches du financement de la recherche et l’innovation en Afrique ».

C’est une « formidable opportunité pour la Côte d’Ivoire », a indiqué le secrétaire exécutif du Pasres, pour mieux faire connaitre notre pays aux acteurs majeurs de la recherche mondiale, permettre aux chercheurs ivoiriens de rencontrer des bailleurs de fonds, etc.

Plusieurs évènements sont prévus au cours de cette rencontre, ce sont, entre autres, un meeting de l’alliance des universités et centre de recherche africains(ARUA); une rencontre régionale Afrique du conseil mondial de la recherche(GRC); un symposium sur l’énergie solaire en Afrique; un forum annuel de l’initiative des conseils subventionnaires de la recherche en Afrique subsaharienne(SGCI). A cela s’ajoute une cérémonie de distinction des meilleures jeunes filles scientifiques des universités publiques de Côte d’Ivoire. L'objectif est de les encourager à s'orienter davantage vers les carrières scientifiques.

Il convient de souligner que ce forum bénéficie de l’appui technique et financier du département du Royaume-Uni pour le développement international(DFID), le centre canadien de recherche pour le développement international(CRDI), la fondation nationale pour la recherche en Afrique du Sud(NRF) et l’Agence suédoise de coopération internationale au développement(SIDA).

 

Daniel Coulibaly

 

 

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Le 2ème forum international sur la retraite dans la zone Cipres (conférence interafricain de la prévoyance sociale) s’est tenu du 24 au 26 octobre 2018 à Grand-Bassam (Côte d’Ivoire).

L’une des recommandations de ce forum est l’engagement d’actions pragmatiques pour faciliter la ratification et l’application effective de la convention auprès des Etats membres.

Il s’agit également de la promotion de bonnes pratiques en matière de l’extension de la couverture sociale aux populations non couvertes, le renforcement des capacités techniques et opérationnelles des OPS pour la mise en place des structures en charge des droits ou des prestations des travailleurs migrants ; l’intégration dans les réflexions futures la création d’un centre régional de liaison pour la gestion de la convention multilatérale ; l’engagement des processus de réformes des systèmes de retraite dans la zone CIPRES ; la mise en place effective d’un cadre de concertation entre la CIPRES, la CIMA, la FANAF ; l’accélération d’un processus d’adoption du socle juridique commun aux OPS , etc.

Le ministre ivoirien de l’Emploi et de la Protection sociale, Pascal Abinan Kouakou, s’est réjoui du bon déroulement du forum dans notre pays. Relevant la quintessence du thème général, il a salué la richesse des échanges menés par les différents participants. C’est pourquoi, il les a invités à s’approprier les expériences partagées et les recommandations du forum, afin de continuer à améliorer les systèmes de couverture vieillesse pour lutter efficacement contre la pauvreté de nos Etats africains.

Ce 2ème forum international sur la retraite avait pour objectif général d’approfondir les réflexions sur la mise en place de dispositifs de protection complets et viables contre le risque vieillesse à travers les partages d’expériences et de bonnes pratiques.4954494e73ce30f00a7187b3b85f2c91 XL

Il a réuni 245 participants (directeurs généraux, ministres, inspecteurs de la Cipres, experts BIT, fonctionnaires de la banque mondiale, Uemoa, etc) sur les 17 Etats membres de la zone cipres, à savoir la Côte d’Ivoire, le Mali, le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Centrafricaine,  le Gabon, le Madagascar, le Niger, la RD Congo, le Sénégal, le Tchad, le Togo...

Placé sous le patronage du Premier ministre ivoirien Amadou Gon Coulibaly, il avait pour thème : «Couverture vieillesse, instrument de lutte contre la pauvreté ».

 

Daniel Coulibaly

 

 

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La Fondation Pierre Michel Pongo (PMP) a célébré les 25 ans de la mort, du célèbre prête catholique Pierre Michel Pongo, ce samedi 20 octobre au cimetière de Williamsville à Adjamé. Ses petits-enfants et bien d’autres personnes lui ont rendu un vibrant hommage à l’occasion des noces d’argent (25 ans) de son décès.

Des prières et dépôt de gerbe de fleurs sur sa tombe logée à la rue 8 Acajou, au cimetière de Williamsville, où il repose à jamais depuis son départ de la terre des hommes en 1993, ont marqué cette journée.

Cet illustre personnage de l’église catholique bien connu pour avoir composé la musique de l’hymne national, « l’Abidjanaise ». Le natif de Dabou a, également, donné son temps et son amour aux enfants défavorisés et à la musique.

Manuella Pongo, porte-parole de la famille. n’a pas manqué de saluer les œuvres réalisées par l'illustre disparu. Et elle a aussi souhaité voir la Fondation PMP continuer à immortaliser le prête. Avant de demander à la Fondation de transferer les restes de "Notre arrière-grand père à Bassam. Pour que l’école les Patronages de Grand Bassam, qu’il a construite, sois un mausolée ».

Pour Blanche Pongo, présidente de la fondation PMP, il faut continuer à rendre hommage à ce grand monsieur pour toute sa contribution à la vie de l’église catholique et la musique en Côte d’Ivoire.

Cette célébration prend fin le samedi 28 octobre prochain avec un concert gala. La fondation PMP est présente dans les œuvres caritatives et les initiatives à l’endroit des chants chorales.

 

Izoudine Youssef

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Philip Kla, journaliste-professionnel, au site d’informations en ligne Linfodrome.ci, propriété du Groupe Olympe éditeur des quotidiens Soir Info et L'inter a officiellement déposé sa candidature à la présidence de l’Union des journalistes culturels de Côte d’Ivoire (UJOCCI), le lundi 15 octobre 2018, à la Maison de la Presse d'Abidjan Plateau.

Le candidat était accompagné de ses deux directeurs de campagne à savoir Fofana Ali du quotidien L'Expression et Rodrigue Konan de Le Jour Plus. Interrogé sur les raisons qui ont motivé cette candidature, le candidat Philip Kla a confié, qu’il entend donner un nouveau souffle à cette organisation, qui à l’en croire, n’existerait, à l’heure actuelle que de nom. Pour y parvenir, celui qui conduit la liste « Ensemble pour le renouveau de l’Ujocci », a invité les journalistes culturels membres de l'UJOCCI à faire bloc autour de sa candidature pour ensemble écrire une nouvelle histoire à leur institution commune.

Toutefois M. Kla dit compter sur la neutralité du comité d’organisation, afin de garantir à tous les candidats, un scrutin transparent et crédible dénudé de toutes contestations. « Nous venons de déposer notre dossier de candidature officiellement. Ce que je puis dire, c’est d’exhorter le comité d’organisation à être entièrement neutre pour une élection transparente qui ne souffre d’aucune contestation. Notre union a besoin de tous les journalistes culturels de Côte d’Ivoire. Cela passe d’abord par une élection crédible. Alors nous réitérons notre appel au comité à être véritablement impartial », a-t-il indiqué.

Il est à noter que l’UJOCCI, compte en son sein les journalistes culturels issus de toutes les instances rédactionnelles (presse écrite, radio, presse en ligne et télévision). Le renouvellement de toutes les instances de cette institution est prévu pour le 10 novembre prochain à l’issue d’une Assemblée générale élective qui aura lieu ce jour.

Notons que Philip Kla aura face à lui d’autres candidats comme Stephy Joyce de Top Visages.


Izoudine Youssef

 

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Après avoir fait face à de précédentes crises, la maison des artistes de Côte d’Ivoire, le burida, est de nouveau sur la sellette. La pomme de discorde : la gestion de cette structure qui sucite tant d'inquiétudes.

Face à ce qui semble être une cacophonie, des organisations d’artistes veulent donner de la voix afin de mettre fin à ce qu’elles qualifient de cabale contre l'actuelle directrice générale, Mme Vieira. Ces organisations lui ont apporté leur soutien à travers un communiqué, le mardi dernier, à la mairie de Yopougon.

Ainsi, l’Union nationale des artistes du Grand Ouest de Côte d’Ivoire (Unagoci) et l’Association des musiciens du Grand Ouest de Côte d’Ivoire en France (Amiof) ont pondu une déclaration pour dénoncer ‘‘cette honteuse campagne de dénigrement’’ contre la directrice générale du Burida.

Le président de l’Unagoci/Amiof, l’artiste Nahounou Paulin, pointe du doigt le président du conseil d’administration, Séry Sylvain. "Le Pca, a-t-il soutenu, est à la base du désordre actuel observé au sein du Burida", confiant qu'il a tenu de nombreuses réunions et financer de nombreuses rencontres et conférences de presse pour chauffer à blanc les membres de l’Assemblée générale et leur faire passer le message selon lequel leurs malheurs viennent de Mme Vieira. Et qu’en la révoquant, il donnerait des instructions pour que tous aient des droits beaucoup plus conséquents.

Aujourd’hui, le collectif exige la démission de Séry Sylvain pour ‘‘non assistance à la maison en danger, association de personnes dans le but de déstabiliser le Burida’’. Nahounou Paulin fort du soutien des présidents des artistes tradi-modernes de Côte d’Ivoire, les artistes Attié (Anon Joseph) et Gouro (Pi Pomi Junior), plaide pour l’élection ou la désignation d’un Pca intérimaire et demande des ‘‘Etats généraux du Burida’’. Enfin, le Collectif encourage la direction générale à continuer son lobbying et ses discussions avec tous les usagers du Burida.

 

F.A

 

 

 

 

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La ville de Grand Bassam abrite les assises du 2ème forum international sur la retraite dans la zone Cipres (conférence interafricain de la prévoyance sociale) du 24 au 26 octobre 2018. « Couverture vieillesse, instrument de lutte contre la pauvreté », tel est le thème de cette rencontre qui vise à la mise en place de mécanismes juridiques applicables aux organismes de prévoyance sociale(OPS) des Etats membres pour endiguer ou prévenir les risques liés dans la mise en œuvre de la protection sociale. 

Il va également consister à trouver des dispositifs complets et viables contre la vieillesse retraite pour asseoir un secteur de la protection sociale solide dans la zone Cipres.

Le ministre ivoirien de l’Emploi et de la Protection sociale, Pascal Abinan Kouakou, a salué son déroulement en terre ivoirienne, cadrant avec la vision du gouvernement dirigé par le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly.

Pour Pascal Abinan, il se présente comme une tribune pour « discuter et échanger sur des questions importantes » pouvant aider à avoir de meilleures dispositions sur le secteur de la protection sociale dans nos Etats africains pour donner aux travailleurs une retraite paisible.

‘’Ce forum doit aller plus loin et apporter des solutions concrètes dans la recherche d’une meilleure couverture sociale pour nos concitoyens’’, a-t-il dit.

Par ailleurs, le ministre a relevé les réformes importantes entreprises par notre pays dans le cadre de l’amélioration de la condition de vie des retraités, à travers un système de protection sociale leur offrant des lendemains meilleurs.

Le secrétaire exécutif de la zone CIPRES, Innocent Makoumbou, a, pour sa part, remercié le chef de l’Etat ivoirien et son gouvernement d’accueillir ce forum. Il espère que les travaux permettront de trouver des solutions concrètes et innovantes pour la promotion et l’intégration de la protection sociale dans cette zone, afin d’apporter aux retraités une vie meilleure après le service rendu à la nation.

Il note, toutefois, de réelles avancées sur la mise en œuvre de la protection sociale dans la zone Cipres que le forum n’entend pas remettre en cause, mais cherchera à consolider ses acquis.

Il faut souligner que la CIPRES compte 16 Etats membres (Côte d’Ivoire, Togo, Sénégal, Mali, Gabon, Niger, Centrafrique, etc). Elle a tenu son premier forum à Yaoundé au Cameroun. Le sénégalais Samba Sy est le président du conseil des ministres de cette conférence. Son siège se trouve à Lomé au Togo.

 

Daniel Coulibaly

 

 

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Ethiopian Maintenance & Engineering Services, le plus grand et le plus ancien centre de maintenance aéronautique d'Afrique est devenu le premier en Afrique à pouvoir réparer le moteur GEnx, qui équipe le Boeing 787. Le premier moteur GEnx réparé sur le site d’Ethiopian Maintenance & Engineering Services fait de la compagnie aérienne l'un des très rares ateliers de réparation GEnx du réseau mondial GE MRO.

M. Tewolde GebreMariam, DG du groupe d’Ethiopian Airlines, a commenté cette nouvelle compétence : «Nous sommes ravis d’être le premier fournisseur de services MRO en Afrique avec la capacité d’effectuer des réparations de niveau modulaire sur le moteur GEnx, le dernier des moteurs GE qui équipe le Boeing 787, l’avion commercial à la pointe de la technologie.

Nous faisons des investissements supplémentaires dans le renforcement de nos capacités afin de pouvoir procéder à des révisions complètes du moteur GEnx d’ici la mi-2019.

Cette capacité récemment développée nous permettra de réviser les moteurs GEnx de notre flotte de Boeing 787, mais également ceux d’autres compagnies aériennes dans le monde exploitant des Boeing 787 équipés du moteur GEnx. Je voudrais exprimer ma gratitude à General Electric pour nous avoir confié la responsabilité de réparer les moteurs GEnx sur notre site de maintenance et féliciter notre équipe MRO pour cette remarquable réalisation, pour leur travail acharné et pour leur dévouement continu».

Ethiopian Maintenance & Engineering Services effectue la maintenance des fuselages, des moteurs, de divers composants sous l’approbation de l’Autorité éthiopienne de l’aviation civile. Ses installations de maintenance de bases ont l’agrément de la FAA PART 145 Repair Station depuis 1968 et sont actuellement approuvées pour la maintenance des modèles d’appareils B737, B757, B767, B777, B787, Q400 et A350. Ethiopian MRO détient également l’agrément EASA PART 145 pour la maintenance des bases et des lignes à Addis-Abeba pour les modèles B737NG, B757, B767 et B777. Le centre de base possède aussi l'accréditation de Boeing et de Bombardier en tant que centre de services agréé.

 

Daniel Coulibaly

 

 

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Fin de suspens? Le publicitaire ivoirien Fabrice sawegnon, PDG du groupe Woodoo, engagé dans les élections municipales du samedi 13 octobre dernier dans la circonscription du Plateau, a reconnu sa défaite lundi. Dans un message publié sur sa page facebook, M. Sawegnon indique que les résultats provisoires en sa possession ne lui sont pas favorables. Ce qui vient mettre fin a de vives polémiques qui, depuis dimanche, autour de cette circonscription, où l'adversaire de Sawegnon, Ehouo Jacques du PDCI, commençaient à dénoncer une tentative de fraude.

Ci-après l'intégralité de la déclaration de Fabrice Sawegnon.   

Chers parents

Chers frères et sœurs
Chers amis
Habitants du Plateau

Il y a 4 ans, j'ai répondu à votre appel avec pour ambition d'améliorer votre cadre et vos conditions de vie.
Je souhaitais, avec notre projet Le Renouveau, transformer le Plateau, notre centre d'affaires, lui redonner fière allure et le projeter dans l'avenir, à l’image des villes les plus modernes du monde.
Cet engagement pour mes parents ne répond à aucun positionnement politique. Il marque ma volonté de servir ma communauté grâce à une meilleure gestion de la chose publique, avec plus de transparence, plus d’efficacité et plus de créativité.

Ce projet ambitieux, nous y avons cru. Nous l'avons porté ensemble contre vents et marrées.
Les derniers développements de l’actualité dans notre commune ont marqué le retour des vieux démons. Mon équipe et moi avons dû faire face au discours identitaire, à la haine, au mensonge et à la violence. Le domicile de ma mère a même été caillassé.
« Agir avec le cœur » est la seule réponse que mérite la Côte d'ivoire, notre pays, face à ces comportements déviants.
Aux médisants, je donne un peu d'amour.
Aux tribalistes, j'offre ma fraternité.

Vous vous êtes massivement mobilisés pendant cette belle campagne menée à travers tous nos quartiers.
Mes représentants m’informent que les derniers dépouillements ne sont pas en notre faveur. Malgré tous les éléments de recours documentés dont nous disposons, j’estime que nul engagement, nulle conviction ne vaut la paix et la stabilité.
Je veux donc prendre acte de ces remontées et remercier les habitants du Plateau, ainsi que l’ensemble des personnes qui croient en moi.
Merci à ma magnifique team, qui a porté Le Renouveau.
Je continuerai d’être présent à vos côtés.

Je vous aime.
FS

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[Article actualisé progressivement]

La Commission électorale indépendante a procédé, dimanche, à la proclamation des premiers résultats des élections régionales et municipales couplées du samedi 13 octobre en Côte d’Ivoire, largement dominées par le Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir).

Pour les municipales, sont déclarés vainqueurs :

Abobo: Bakayoko Hamed (RHDP)

Aboisso : N’gouan Jérémie Alfred (PDCI)

Attécoubé : Danho Paulin Claude (RHDP)

Bonoua: Amethier Jean-Paul (PDCI-RDA)

Assinie Mafia: Hypolite Ebagnitchié (Indépendant)

Adiaké: Sié Hien Yacouba (RHDP)

Yopougon : Gilbert Kafana Koné (RHDP)

Bouaké: Djibo Nicolas (RHDP)

Cocody : Jean-Marc Yacé (PDCI-RDA)

Agou : Agnès Monnet (FPI)

Bocanda : Kramo Kouassi (RHDP)

Dimbokro : Bilé Diemeleou (RHDP)

Abengourou : Amoakon Banga (PDCI),

San-Pedro : Anoblé Felix (RHDP)

Mayo : Baflan Laure Epse Donwahi (PDCI)

Bouna : Ouattra Bouraima (RHDP)

Ferkessedougou: Ouattara Kaweli (Indépendant) élu

Tengrela: Bakary Ballo (RHDP)

Gbon: Touré Alpha Yaya (Indépendant)

Boundiali : Koné Mariatou (RHDP)

Toulepleu: Zion Kah Dénis (PDCI-RDA)

Au niveau des régionales, sont déclaré admis :

Kabadougou : Koné Souleymane ( RHDP)

Folon : Cissé Sindou (RHDP)

Agneby Tiassa: Dimba N’gou Pierre (RHDP)

Mé : Achy Patrick Jérôme (PDCI RDA- RHDP)

San Pedro: Beugré Donatien (PDCI-RDA)

Gbêkê : Mangoua Jacques (PDCI)

Gontougo : Kobenan Kouassi Adjoumani (RHDP)

Cavally : Ouloto Anne Desirée (RHDP)

Tonpki : Mabri Toikeusse Albert Abdallah (RHDP)

Bagoué : Siama Bamba (RHDP)

Poro : Coulibaly Tiémoko Yadé (RHDP)

Gôh : Djedje Bagnon Joachim (RHDP)

Bélier : Yeboué Kouamé Kouassi Pascal (PDCI)

N’Zi : KOFFI N’Guessan (Indépendant)

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Dans un dossier publié par la revue médicale The Lancet, vendredi, des gynécologues relèvent que le nombre de naissances par césarienne a quasiment doublé dans le monde en 15 ans, passant de 16 millions en 2000 (12% des naissances) à 29,7 millions en 2015 (21%).

D’après cette étude basée sur les chiffres de l’OMS et de l’Unicef, on estime entre 10 et 15% la proportion de césariennes absolument nécessaires pour des raisons médicales mais 60% des 169 pays passés en revue se situent au-dessus de cette fourchette, tandis qu’un quart des pays sont en dessous, mettant en danger la mère et l’enfant.

Dans 15 pays, plus de 40% des naissances ont lieu par césarienne. « La forte augmentation des césariennes – pour l’essentiel dans des environnements aisés et sans raison médicale – pose problème à cause des risques associés pour la mère et l’enfant », souligne la coordinatrice de l’étude, la professeure Marleen Temmerman, de l’université de Gand (Belgique) et de l’université Aga Khan de Nairobi (Kenya).

« Dans les cas où des complications surviennent, les césariennes sauvent des vies et nous devons favoriser l’accès des femmes [à cette opération] dans les régions pauvres, mais nous ne devrions pas en abuser », ajoute-t-elle.

 

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