Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Abidjan, le lundi 12 mai 2025 (LDA)- La ville de Rabat(Maroc), accueille la 40è Conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie (CONFEJES) du mardi 13 au vendredi 16 mai 2025, indique une note d’information du ministère ivoirien en charge des sports, relayée par AIP.

La CONFEJES est une institution intergouvernementale engagée depuis 1969 dans la promotion des politiques publiques liées à la jeunesse, au sport et aux loisirs dans l’espace francophone. Forte de 56 années d’existence, elle s’apprête à redéfinir ses priorités en adoptant un nouveau cadre stratégique 2026-2030, souligne la note.

À travers une approche axée sur la modernisation, l’inclusion, la visibilité institutionnelle accrue, la consolidation du leadership féminin et le renforcement des capacités des jeunes par l’appui à l’entrepreneuriat, l’organisation entend se positionner comme un acteur central du développement humain dans les Etats et Gouvernements membres.

Cette 40è conférence verra également l’élection d’un nouveau secrétaire général, qui conduira les destinées de l’institution pour les quatre prochaines années. Par ailleurs, à l’issue de cette rencontre, le Maroc, en tant que pays hôte, prendra la présidence de la CONFEJES pour un mandat de deux ans, tandis que la Côte d’Ivoire, rapporteur et membre du bureau, se verra confier la vice-présidence. Notre Pays, assurera l’organisation de la prochaine réunion ministérielle prévue en 2027, à Abidjan.

La délégation Ivoirienne est conduite par le ministre délégué en charge des Sports et du Cadre de vie, Adjé Silas Metch, pour qui, la CONFEJES doit réaffirmer son ambition d’impacter durablement l’avenir des jeunes de l’espace francophone.

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Abidjan, le lundi 12 mai 2025(LDA)- Le président Alassane Ouattara a encouragé les jeunes à s’intéresser à l’Intelligence artificielle (IA), à l’ouverture de la 12e édition de Africa CEO Forum organisée par Jeune Afrique Média Group en partenariat avec le gouvernement ivoirien, le lundi 12 mai 2025, rapporte AIP.

« Je pense que l’Afrique a beaucoup de potentiel dans ce domaine, avec sa jeunesse qui est véritablement accro à l’intelligence artificielle. Et nous devons tout faire pour encourager notre jeunesse à s’investir davantage dans ce secteur », a déclaré Alassane Ouattara.

M. Ouattara a exprimé le vœu que cette grande rencontre d’Abidjan soit un moment de vérité et d’engagement, réunissant les décideurs publics et privés afin de concevoir ensemble des solutions concrètes, ambitieuses et adaptées aux réalités africaines.

Il a également affirmé sa volonté de voir émerger la prochaine génération de champions africains, rappelant qu’en Côte d’Ivoire, d’importants efforts sont déployés pour faire émerger des champions nationaux.
Africa CEO Forum qui se tient sur deux jours est l’un des plus grands rassemblements économiques du continent. Il réunit, chaque année, plus de 1 800 décideurs, chefs d’entreprise, investisseurs internationaux et responsables politiques autour de thématiques telles que la transformation digitale, les énergies renouvelables, l’industrialisation de l’Afrique et les stratégies de croissance inclusive.

Le thème de cette édition est “Un New deal public-privé peut-il rebattre les cartes en faveur du continent ?”.

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Abidjan, le dimanche 11 mai 2025(LDA)-Le président de l'Assemblée nationale ivoirienne Adama Bictogo est annoncé à la 19e session de la Conférence de l’Union Parlementaire des États Membres de l’Organisation de la Coopération Islamique (UPCI), prévue du 12 au 15 mai 2025 à Jakarta, en République d’Indonésie, selon un communiqué transmis à la rédaction ce dimanche Cette session se tiendra autour du thème : « Renforcement du rôle des parlements islamiques dans la promotion de la paix, du développement durable et de la solidarité ».

Adama Bictogo, conduira une importante délégation parlementaire ivoirienne à cette rencontre, le mardi 13 mai en fin de journée. Il sera accueilli par les autorités parlementaires du pays hôte. Dès le mercredi 14 mai, il prendra part aux premières réunions, notamment celles consacrées à la Palestine et aux affaires politiques. Il engagera également des réunions bilatérales avec plusieurs présidents de parlements.

Le même jour , M. Bictogo participera à la cérémonie officielle d’ouverture et prononcera une allocution à la tribune de l’UPCI, portant la voix de la Côte d’Ivoire sur les enjeux de paix, de développement durable et de solidarité avec les peuples en crise. 

Lors de cette cérémonie, Adama Bictogo, en sa qualité de président sortant du Comité exécutif de l’UPCI, procédera à la passation de charges avec Mme Puan Maharani, Présidente de l’Assemblée nationale de l’Indonésie, qui la présidence de l’instance. Ce moment solennel marquera la fin d’un mandat marqué par une diplomatie parlementaire dynamique, fondée sur les principes de dialogue, de paix et de coopération entre les parlements membres de l’OCI.

Il prendra ensuite part, à la séance plénière des chefs de délégation et s’entretiendra avec le Président de la Chambre des Représentants de l’Indonésie.

Les travaux en commissions se poursuivront le mercredi, avec notamment la Réunion des Femmes Parlementaires, à laquelle prendra part la délégation ivoirienne. Des échanges sont également prévus avec des délégations africaines membres de l’OCI.

La session de clôture est prévue le jeudi 15 mai, avec l’adoption de la Déclaration finale de Jakarta. 

La participation Adama Bictogo à cette rencontre de haut niveau illustre l’engagement de la Côte d’Ivoire pour une diplomatie parlementaire forte, ouverte sur le monde islamique et fondée sur les valeurs de dialogue, de solidarité et de respect mutuel.

La délégation ivoirienne est composée de parlementaires issus de différentes commissions permanentes de l’Assemblée nationale, ainsi que de membres du Cabinet du Président et de la Direction générale des Relations extérieures et de la Coopération interparlementaire. Elle comprend notamment des députés engagés sur les questions de paix, de solidarité internationale et de coopération Sud-Sud, ainsi que des élues membres du Réseau des femmes parlementaires de Côte d’Ivoire.

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Abidjan, le samedi 10 mai 2025(LDA)- Le Symposium des Conférences Épiscopales d’Afrique et de Madagascar (SCEAM) (www.SECAM.org), uni à toute l’Église–Famille de Dieu en Afrique et dans ses îles, se joint avec joie à l’Église universelle pour rendre grâce à Dieu pour le don de notre nouveau Souverain Pontife, Sa Sainteté le Pape Léon XIV, selon un communiqué transmis à la rédaction.
 
Continent béni d’une population catholique en pleine croissance, jeune et dynamique, l’Afrique nourrit de grandes attentes pour le pontificat du Pape Léon XIV. Nous prions pour que son leadership inspire un enracinement plus profond dans la foi, renforce les vocations, et fasse progresser un développement authentique, centré sur le Christ. Riche de sa culture, de son histoire et de sa spiritualité vivante, l’Afrique demeure un partenaire indispensable dans la mission de l’Église universelle.
 
Nous avons confiance que la sagesse pastorale et le zèle évangélique du Pape Léon XIV renforceront l’engagement de l’Église en faveur de la justice, de la paix et de la dignité humaine, en particulier auprès des pauvres, des marginalisés et de ceux qui subissent les conséquences des conflits, des inégalités et de l’abandon.
 
L’Église en Afrique réaffirme sa pleine communion et sa collaboration fraternelle avec le Pape Léon XIV. Nous nous tenons prêts à travailler à ses côtés pour relever les défis pressants de nos communautés, notamment : les conflits, la lutte contre la pauvreté, l’éducation, les soins de santé, le dialogue interreligieux et la protection de la création. Nous croyons que son pontificat contribuera à libérer tout le potentiel de l’Afrique, en particulier en mobilisant sa jeunesse comme force de transformation positive, inspirée par l’Évangile.
 
Nous assurons le Pape Léon XIV de nos prières ferventes et de notre soutien indéfectible, alors qu’il commence sa mission comme Successeur de Pierre et Pasteur de l’Église universelle. Que Marie, Mère de l’Église et Patronne de l’Afrique, intercède pour lui et pour tout notre continent.
 
✠ Fridolin Cardinal Ambongo
Archevêque de Kinshasa
Président du SCEAM
Distribué par APO Group pour Symposium of Episcopal Conferences of Africa and Madagascar (SECAM).
 

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Abdelhak Najib livre avec «Réflexions sur le cinéma marocain» une analyse sans concession du 7e art, fruit de 30 ans de critique, entre hommage à Lynch et diagnostic acéré du cinéma marocain, rapporte La Vieeco dans sa livraison du jeudi 8 avril dernier. 

Le nouvel ouvrage d’Abdelhak Najib, «Réflexions sur le cinéma marocain», s’impose comme une plongée dans l’univers du septième art. Écrivain, critique et réalisateur, Najib livre ici le fruit de trente années d’analyse et de passion, offrant un essai aussi dense que lumineux, qui s’ouvre sur une invitation à rêver face à un film, sans nécessairement chercher à tout comprendre. «Face à un film, on n’est pas obligé de comprendre pour aimer. Ce qu’il faut, c’est rêver…», écrit-il en préambule, posant ainsi les bases d’une réflexion profonde et sans concessions sur le cinéma, ses métiers et ses enjeux, avec un regard acéré sur la situation marocaine.

Ce pavé de 340 pages, enrichi d’interviews avec des figures majeures du cinéma, se lit comme un hommage vibrant au regretté David Lynch, disparu récemment, que l’auteur a eu l’occasion d’interviewer à deux reprises. Najib emprunte à Lynch une définition limpide et poétique du cinéma : «un désir très fort de marier l’image au son». Une alchimie que l’auteur explore à travers un tour d’horizon des cinématographies mondiales – indien, japonais, russe, américain, africain, arabe, iranien…– soulignant l’importance d’une connaissance encyclopédique pour prétendre écrire sur cet art. «Écrire sur le cinéma exige d’abord une grande et profonde connaissance des différents cinémas du monde», martèle-t-il, égratignant au passage nombre de critiques marocains qu’il accuse de verser dans le commentaire creux et les poncifs recyclés.

Si Najib célèbre les géants du septième art – de Bergman à Kurosawa, de Tarkovski à Fellini –, il n’épargne pas pour autant le cinéma marocain, qu’il juge sévèrement mais avec une lucidité implacable. «Tout le monde prétend tout savoir», déplore-t-il, fustigeant l’autosatisfaction d’une industrie où trop de réalisateurs se proclament génies incompris, rêvant d’Oscars ou de Palmes d’Or sans en avoir la carrure. Il raconte, non sans ironie, l’anecdote d’un cinéaste marocain prétendant avoir conseillé Jim Sheridan – auteur du célébré Au nom du père – avant de dénigrer son travail. «Il y a ceux qui prennent des risques, qui travaillent, et ceux qui ne font rien et se plaignent tout le temps», tranche Najib, pointant du doigt une créativité souvent bridée par des sujets plats, des dialogues insipides et une mise en scène médiocre.

Pour lui, le cinéma marocain souffre d’un manque criant de profondeur émotionnelle. «La souffrance ne se comprend pas, elle se ressent», cite-t-il Abbas Kiarostami, regrettant que les films locaux échouent à transmettre des sensations authentiques, se contentant trop souvent de clichés folkloriques. Najib appelle à un retour aux fondamentaux : pourquoi faire un film ? Que veut-on dire ? Sans ces questions, l’effort est vain.

L’auteur ne se limite pas à la critique. Il dresse un portrait exigeant du métier de cinéaste, d’acteur et de critique, convoquant les voix de Kubrick («Réaliser un film, c’est comme écrire Guerre et Paix dans une auto-tamponneuse») ou de Kurosawa, qui voyait dans le cinéma un syncrétisme des arts. Pour Najib, un film réussi naît de la fusion entre image, son, lumière et décor, une harmonie que la télévision, avec son «télé-objectif», ne pourra jamais égaler. Le cinéma, lui, est «grand-angle», un espace où l’invisible se révèle, où le silence parle autant que les dialogues.

"Réflexions sur le cinéma marocain», Abdelhak Najib, Éditions Sirius, 340 p., mai 2025

 

 

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Abidjan, le vendredi 8 mai 2025 (LDA)-Le Directeur général Bart Willems et le Directeur stratégie et commercial Ibrahim Dosso du groupe OMOA ont tenu une conférence de presse jeudi 8 mai dans les locaux de l’entreprise à Abidjan- Cocody pour réaffirmer l’engagement du groupe en matière de sécurité et de fiabilité de ses produits.

Acteur de référence depuis plus de 20 ans, OMOA GROUP propose des solutions de paiement innovantes et sécurisées à travers toute l’Afrique subsaharienne. Présent dans plusieurs pays, le groupe intervient sur l’ensemble de la chaîne de valeur des paiements à savoir : installation et maintenance de GAB, traitement de transactions monétiques via une plateforme certifiée PCI DSS, personnalisation de cartes et badges aux normes internationales, ainsi que la digitalisation des paiements (wallets, Mobile Money, Agency Banking).

Pour Bart Willems, « l’innovation au service de l’inclusion financière » est la ligne directrice du group. Il a rappelé que l’adaptabilité du groupe aux réalités locales est la clé de son leadership régional. Mais au cœur de cette stratégie se trouve un engagement pour la sécurité.

Grâce à des talents hautement qualifiés et à des certifications rigoureuses (PCI DSS, PCI CPP, ISO 9001), son group garantit des services conformes aux standards internationaux. Ses partenariats avec GIM-UEMOA, GIMAC, VISA et Mastercard viennent renforcer cette crédibilité.

Ibrahim Dosso a insisté sur la fiabilité éprouvée des produits et services du groupe qui sont le traitement sécurisé de toutes les transactions (retraits, transferts, paiements) sur tous types de canaux (GAB, mobile, TPE, mPoS) et interopérabilité avec les systèmes bancaires, télécoms et facturiers.

Avec une approche tournée vers l’innovation, la sécurité et la performance, OMOA se positionne comme un pilier incontournable de l’écosystème des paiements en Afrique.

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Abidjan, le vendredi 9 mai 2025(LDA)-Le Directeur Général de l'Office National des Sports (ONS), Ousmane Gbané, a animé une conférence de presse pour faire le bilan partiel et les perspectives de la gestion des infrastructures sportives, le jeudi 8 mai 2025, à la salle de Conférence de la Piscine d'Etat de Treichville, selon un communiqué transmis à la rédaction. Le thème de cette rencontre était: " Organisation des activités socio - culturelles sur les infrastructures de la CAN 2023". Outre les événements sportifs, plusieurs importantes activités socio- culturelles ( religieuses et politiques) se sont déroulées sur ces installations, 

Les plaques de protection de la pelouse

En prévision du concert de l'artiste DiDi B, fait savoir le communiqué, la Société, REPAT Agency SARLU (SRA), a sollicité l'utilisation de plaque de protection des pelouses afin de pouvoir y installer des spectateurs. L'ONS et son partenaire GRÉGORI avaient déjà procédé à l'évaluation de ces plaques au complexe de Bingerville dont les résultats se sont avérés concluants. Tout en remerciant tous ceux qui ont travaillé à la réussite de cet événement, M. le Directeur Général de l'ONS, Ousmane Gbané, a annoncé solennellement que l'expérience de l'utilisation des plaques de protection des pelouses qui constitue la matérialisation de la vision du Chef de l'Etat d'offrir un espace multifonctions à la jeunesse ivoirienne et africaine et qui marque une étape importante dans l'optimisation de l'exploitation des infrastructures sportives de la CAN a été un succès. Le constat est que ces plaques ont parfaitement fonctionné.

Après ce coup d'essai réussi, confie le communiqué, l'ONS est heureux d'annoncer que la capacité des stades comprend dorénavant l'espace de la pelouse qui pourra servir pour divers événements tels les foires, les expositions, concerts, mariages etc. Toutes les infrastructures sportives et civiles sont ouvertes aux activités socio - culturelles à l'instar des concerts de DiDi B et Himra ou encore les conventions religieuses.

Le scalpage

Le scalpage de la pelouse intervenu au lendemain du concert de DIDI B était au menu des échanges de cette conférence. En réponse, M. le Directeur Général a indiqué que le scalpage est un processus normal d'entretien de la pelouse. Selon lui, le Stade Félix Houphouët-Boigny fait partie des infrastructures les plus utilisées du pays. Il a rassuré la population que cette opération de mise à niveau du gazon n'est pas due aux conséquences du concert. Le scalpage était prévu et c'est de façon stratégique qu'il a été fait après le concert de DIDI B. La pelouse du Stade Félix Houphouët - Boigny devrait être disponible dans deux (02) semaines.

La billetterie

La Billetterie autour des événements sur les Stades constitue l'une des perspectives de l'ONS en raison des défis sécuritaires. M. le Directeur Général, Ousmane Gbané, a promis de développer et de s'investir dans ce domaine.

"La billetterie aujourd'hui, c'est toutes les places d'un espace qui sont numérotées, toutes les places achetées, les acquéreurs sont identifiés et le nombre de tickets est connu ; le nombre de personnes qui accède à l'espace est connu. Cela permet à l'ONS de contrôler, parce que cela relève de notre responsabilité. Si nous vous louons un espace qui peut accueillir 30 milles personnes et que vous vendez 50 milles tickets, s'il y a des problèmes et que nous n'avions pas pris toutes les mesures pour empêcher qu'il ait 50 Mille personnes, nous nous sentirons responsables sur un certain nombre d'éléments.", a annoncé Ousmane Gbané avant d'ajouter : "avec les tourniquets qui peuvent lire justement les billets émis de façon électronique et dans les méthodes techniques que nous sommes en train de développer, quand vous avez 27 milles personnes qui sont passés vous savez que le stade est plein, puisque ça inscrit immédiatement le nombre de personnes qui sont dans l'enceinte du stade".

Sur le plan sécuritaire, tous les acquéreurs de tickets seront identifiés de façon électronique de sorte à situer avec précision toutes les responsabilités des organisateurs et des spectateurs dans les Stades en cas d'incidents.

Les travaux du Palais des Sports de Treichville

Concernant les travaux du dôme du Palais des Sports de Treichville qui vont accueillir la 27 ème édition de l'Afrobasket féminin (du 26 juillet au 03 août 2025 ) à Abidjan, le Directeur Général de l'ONS a rassuré la population et le mouvement sportif que les travaux vont démarrer dans les prochains jours. Les études sont achevées et les travaux seront de très bonne qualité. Les Ivoiriens seront fiers comme ils l'ont été avec la CAN 2023.

Il a terminé en soulignant que le ministre délégué chargé des Sports et du Cadre de Vie, Adjé Silas Metch, dit que la Côte d'Ivoire est et sera une exception dans le cadre de l'entretien, de la maintenance et de l'exploitation des infrastructures sportives.

En outre, il a rappelé que la vision du président de la République, Alassane Ouattara est de faire de la Côte d'Ivoire une référence et un modèle de gestion des infrastructures. Cette perception est donc traduite par l'ONS en actions concrètes et fait l'objet d'un suivi de tout instant du Premier ministre, Robert Beugré Mambé, ministre des Sports et du Cadre de Vie.

 

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Abidjan, le jeudi 8 mai 2025(LDA)-Débuté le mercredi 7 mai 2025, après une fumée noire; il a fallu attendre au deuxième jour du conclave pour avoir un nouveau Pape au Vatican.

Ce jeudi à 18 heures 7 minute, la fumée blanche est sortie de l’orifice de la cheminée de la chapelle Sixtine, signe que l’un des cardinaux a été élu souverain pontife. Elle a été suivie des cloches de la basilique Saint-Pierre pour saluer l’arrivée du nouveau Pontife. Il s’agit de l'Archevêque américain Robert Francis Prevost qui prendra le nom de règne Léon XIV. Il est originaire de Chicago.

Son nom a été dévoilé par le cardinal protodiacre ("Habemus Papam"), Dominique Mamberti depuis le balcon de la basilique Saint-Pierre.

Leon XIV est le 267e souverain pontife de l’histoire de l’Église catholique.

À 69 ans, il succède au Pape François, décédé le 21 avril dernier à 88 ans.

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Abidjan, le jeudi 8 mai 2025 (LDA)–Moustapha Seck, président-directeur général de Winwin Partners, annonce l’organisation d’une journée portes ouvertes sur l’investissement immobilier à Abidjan, du 12 au 13 mai 2025, dans le cadre d’un cocktail de réseautage destiné à présenter ses projets d’urbanisation durable, moderne et inclusive, selon un communiqué relayé par l’AIP, ce jeudi.

Le promoteur immobilier sénégalais précise que l’événement offrira une opportunité de rencontres et d’échanges avec les responsables de l’entreprise, en vue de découvrir les projets en cours, les perspectives de développement futures, ainsi que de repenser les modes d’investissement dans l’immobilier.

« Au-delà de la simple construction de bâtiments, nous œuvrons à façonner une nouvelle manière d’habiter et de vivre la ville, en intégrant pleinement les enjeux sociaux, économiques et environnementaux de notre époque », a-t-il déclaré.

Fondée en 2014, l’entreprise intervient aussi bien dans le secteur privé que dans le cadre de partenariats public-privé (PPP), contribuant au dynamisme de l’immobilier résidentiel tout en participant à la réalisation de projets publics d’envergure, souligne le communiqué.

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La possible candidature de Tidjane Thiam à la prochaine élection présidentielle en Côte d’Ivoire ne saurait être réduite à une simple question juridique liée à la nationalité. Bien que les juristes des camps opposés s’affrontent à coups d’articles constitutionnels et d’interprétations de la loi électorale, le débat dépasse largement le cadre légal.

Peut-on raisonnablement contester l’ivoirité du petit-fils d’Houphouët-Boigny, père fondateur de la nation ivoirienne ? Peut-on sérieusement soutenir qu’il ait perdu sa nationalité sans en avoir formellement renoncé ?

La Côte d’Ivoire, pays de l’« Akwaba », semblait avoir définitivement tourné la page de l’idéologie de l’ivoirité – une doctrine qui a jadis terni son image de havre de paix et aurait pu empêcher le pays de bénéficier de l’expertise d’Alassane Ouattara. Si cette logique avait prévalu, celui-ci n’aurait jamais pu devenir président et contribuer à la stabilité et au développement de la Côte d'Ivoire. Ressusciter ces vieux démons serait une erreur grave.

Comme le rappelle l’adage attribué à Cicéron – Summum jus, summa injuria – un excès de droit peut conduire à l’injustice. Le droit n’est pas toujours synonyme de justice ou d’équité. Se réfugier derrière des textes, dont l’interprétation fluctue avec les circonstances politiques, c’est oublier que la vocation ultime du droit est de préserver l’ordre public.

La stabilité de la Côte d’Ivoire est un bien inestimable pour l’ensemble de la communauté ouest-africaine. Ce pays, que les générations d'africains "formées" à l’école d’Houphouët considéraient comme une seconde patrie, mérite vigilance et engagement. Face aux dérives possibles, aucune femme ou homme de bonne volonté responsable ne devrait se contenter de dire demain : « Je savais. » Il faudra pouvoir affirmer : « Je l’avais dit. »

Il n’est pas trop tard pour éviter une nouvelle crise. Préserver la paix, c’est empêcher que la Côte d’Ivoire devienne un exemple négatif de plus, alors qu’elle devrait renforcer son image positive sur la scène continentale. Nation pionnière, dotée d’infrastructures modernes et de réalisations hautement symboliques, de la Basilique de Yamoussoukro au Prix Houphouët-Boigny pour la paix, la Côte d’Ivoire ne doit pas s’abîmer dans des conflits inutiles.

Elle doit continuer à jouer son rôle moteur en Afrique, tant sur les plans économiques que culturel. L’héritage d’Houphouët – ouverture, hospitalité, vision panafricaine – ne doit pas être dilapidé.
Le président Alassane Ouattara, dont le parcours exceptionnel a consolidé les acquis des générations passées, a aujourd’hui le devoir d’agir pour préserver la paix. Relancer un dialogue inclusif avec toute la classe politique serait un geste fort, garantissant une fin de mandat honorable et un avenir apaisé.

Alassane Ouattara, Laurent Gbagbo, Guillaume Soro, Tidjane Thiam… Tous, héritiers directs ou indirects d’Houphouët-Boigny, ont entre leurs mains une part de l’avenir ivoirien. Puisse un sursaut collectif leur permettre de préserver ensemble les acquis chèrement obtenus.

 

Benoit S NGOM

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