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Cinq établissements scolaires d’Abidjan sont désormais accompagnés vers l’homologation par l’Agence pour l’Enseignement Français à l’Etranger (AEFE). Il s’agit de : L’Avenue des Enfants ; Fred et Poppée (photo) ; Grain de Soleil ; Clairefontaine et l’Ardoise.
Cela fait suite à la récente visite à Abidjan du chef du service d’appui et de développement du réseau de l’AEFE, M. William Nguyen. Sa mission avait pour but de concrétiser la coopération de l’AEFE avec de nouveaux établissements. Elle s’est inscrite dans le cadre fixé par le Président de la République française, M. Emmanuel Macron,
Le réseau d’établissements à programme français accueille en 2020 plus de 8200 élèves sur Abidjan. Si les cinq établissements accompagnés venaient à être homologués, 3500 élèves supplémentaires pourraient ainsi rejoindre le réseau à la rentrée 2012-2022 ! A ce jour 522 établissements accueillant 370 000 élèves font partie de ce réseau sur l’ensemble du globe.
M.C
La Banque africaine de développement a lancé, mercredi 11 mars à Man, dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, la composante Appui à l’autonomisation des femmes et des jeunes du Projet de renforcement des réseaux électriques du District des Montagnes, piloté par la société publique Côte d’Ivoire Énergies et mis en œuvre par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
La Banque relance ainsi l’important projet aquacole de Dompleu, qu’elle a financé en 2000 avant qu’il ne soit interrompu par la crise politique et militaire que le pays a traversée entre 2002 et 2011.
« Ce projet est une branche importante du projet d’électrification rurale dans la région », a expliqué Raymond Kitandala, expert énergie à la Banque. « À terme, 20 000 ménages devraient bénéficier de l’électricité. Mais accéder à l’électricité nécessite des ressources financières. C’est pourquoi il ne faut pas limiter l’électricité aux seuls usages domestiques. Il faut l’utiliser pour créer des activités génératrices de revenus. »
« La Banque revient dans la région pour réactiver la station aquacole de Donpleu. La réussite du projet justifiera des moyens plus importants par la suite. Aussi appelons-nous les populations à ce qu’elles s’approprient le projet », a-t-il poursuivi. La Banque finance la composante autonomisation des femmes et des jeunes à hauteur de 1,07 million de dollars.
D’une superficie de quatre hectares, la station de Dompleu sera exploitée par une centaine de jeunes de la région. Elle produira, chaque année, 500 000 alevins de tilapia au niveau de la station d’alevinage et 150 tonnes de poissons tilapia pour le marché local, national, voire sous-régional. D’autre part, des groupements de femmes et de jeunes seront encadrés pour mettre en place des activités agricoles, notamment la culture du manioc et du riz. Ils produiront annuellement 600 tonnes d’attiéké et de farine de manioc, 400 tonnes de riz décortiqués.
« C’est une opportunité pour nos populations. Elles doivent saisir cette occasion pour renforcer la cohésion sociale en développant les revenus des femmes et des jeunes. De nombreux étangs ont été créés dans la région. Il y a eu des problèmes par le passé. Maintenant, il s’agit de relancer ces activités », a indiqué Karim Diarra, préfet de Danané.
Samy Gaiji, représentant résident de la FAO en Côte d’Ivoire a souligné qu’il était « plus facile d’investir en faveur des femmes. L’investissement est plus rentable, c’est un catalyseur pour les communautés locales. »
Le projet bénéficiera à plus de 6 000 femmes et jeunes et contribuera au développement des chaînes de valeur et de transformation dans le District des Montagnes, selon Samy Gaiji. « La Côte d’Ivoire dispose des conditions suffisantes pour produire au niveau aquacole et répondre aux besoins nationaux. La FAO mettra tout en œuvre pour la réussite du projet. Mais ce projet ne réussira que si les groupements cibles se l’approprient », a-t-il plaidé.
M.C
Il n'en fallait pas mieux pour donner le ton en ce mois de mars traditionnellement dédié à la promotion de la femme. Désirée Eliane Yacé, haut cadre de banque, a été nommée directrice générale de la Banque de l’habitat de Côte d’Ivoire (BHCI), en remplacement de d’Abdoulaye Gbané qui assurait l’intérim de ce poste depuis le 18 juillet 2019, annonce une dépêche publié jeudi 12 mars 2020 par l’Agence ivoirienne de presse (AIP).
La nomination de Mme Yacé, dont le mandat a débuté le 09 mars 2020, a été décidée par Conseil d’Administration de la Banque, à l’issue de sa session du 28 février 2020, précise une note d’information transmise à l’AIP par la direction de la communication de la structure.
Elle « travaillera à la mise en œuvre efficiente du plan de relance de la BHCI en synergie avec l’ensemble des équipes de la banque », annonce le document.
La nouvelle directrice générale justifie « d’une solide expérience dans le secteur bancaire ivoirien, ayant occupé les fonctions de Directrice de la clientèle, de Directrice des Risques et de Directrice des Ressources humaines à la Banque Internationale pour le Commerce et l’Industrie de Côte d’Ivoire (BICICI) et à la BIAO Côte d’Ivoire (actuellement NSIA BANQUE) », indique la note.
Désirée Eliane Yacé est titulaire d’un Certificat en Management des ressources humaines de Sciences Po Paris, diplômée d’Etudes Supérieures de l’Institut des techniques de banque de Paris (ITB), d’un DESS en Gestion et développement de l’université de Grenoble (France) et d’une Maîtrise en Sciences économiques de l’Université de Poitiers (France).
« Sa nomination vient confirmer l’engagement de l’Etat de Côte d’Ivoire à redynamiser la BHCI appelée à jouer un rôle stratégique au profit du système bancaire ivoirien et de l’économie globale du pays », commente la note d’information.
L’Assemblée générale du 09 décembre 2019, intervenue après la reprise de cette Banque par l’Etat de Côte d’Ivoire, avait enregistré une restructuration de l’actionnariat, qui a entraîné la recomposition du Conseil d’administration.
Trente-deux étudiants de l’Institut national de la formation des agents de santé (INFAS) ont été renvoyés pour avoir présenté de faux diplôme de Baccalauréat, annonce l’AIP, citant une source proche de l’établissement professionnel.
Selon la directrice générale de l’INFAS, le Pr Méliane N’Dhatz Ebagnitché épouse Sanogo, après l’authentification du diplôme des candidats admissibles à la session 2019 du concours direct, 32 admis ont été interdits de suivre des cours pour fraude et présentation de faux documents administratifs.
Le 28 février, le directeur de cabinet du ministre de la Fonction publique, Oka Séraphin, avait dénoncé, à Abidjan, un vaste réseau de faussaires dans les concours administratifs 2019 dont la proclamation des résultats a eu lieu le 14 février, rappelle-t-on.
Les Nations Unies ont condamné l’assassinat d’un fonctionnaire de la Mission de l’ONU en République centrafricaine (RCA) dans la ville de Ndélé, dans le nord-est du pays.
Samedi matin, le corps sans vie, criblé de balles, d’un employé du bureau de la Mission intégrée multidimensionnelle de stabilisation des Nations unies en République centrafricaine (MINUSCA), à Ndélé, a été retrouvé tôt dans la brousse par la population.
« Le Secrétaire général condamne fermement l’assassinat d’un collègue de la MINUSCA dans la ville de Ndélé par des présumés combattants du Front populaire pour la Renaissance de Centrafrique (FPRC) », a dit son porte-parole dans une déclaration de presse rendue publique lundi.
Le chef des opérations de la paix de l’ONU, Jean-Pierre Lacroix, s’est dit choqué par ce meurtre brutal. « Il n'y a pas d'impunité pour les crimes contre les soldats de la paix, et les auteurs doivent être traduits en justice », a-t-il dit sur Twitter.
Par la voix de son porte-parole, António Guterres a appelé les autorités centrafricaines « à ne ménager aucun effort » pour identifier et traduire rapidement en justice les auteurs de cet assassinat.
« Ce crime ne restera pas impuni », a pour sa part déclaré samedi Mankeur Ndiaye, le Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU en RCA et chef de la MINUSCA qui a demandé l'ouverture d'une enquête et de retrouver rapidement les auteurs de « cet acte ignoble ».
Les Nations Unies ont présenté leurs plus sincères condoléances à la famille du défunt.
Le Secrétaire général a réaffirmé son soutien indéfectible à la MINUSCA et à son personnel dans ses efforts pour protéger les civils et stabiliser la RCA
N.G
Le Conseil présidentiel pour l’Afrique (CPA) et l’association World of Women lancent en mars 2020 la campagne « 1 jour, 1 femme ». Pendant un mois, cette initiative mettra en valeur 30 femmes aux parcours exemplaires sur le continent africain.
Ces portraits ont été réalisés dans le cadre de l’édition africaine de World of Women, conduite par deux étudiantes qui pendant six mois sont allées à la rencontre de femmes engagées pour leurs communautés. Ils visent à inspirer les jeunes générations et à rappeler l’importance de l’égalité de genre, engagement central de la France et du CPA.
Des portraits inspirants
Patricia Zoundi Yao, entrepreneuse ivoirienne, Géraldine Robert, basketteuse professionnelle gabonaise, Neusa Marcelino, directrice de CMA-CGM au Mozambique, Ghada Wali, designer graphique égyptienne : la campagne « 1 jour, 1 femme » met à l’honneur des femmes entreprenantes et volontaires, qui incarnent une Afrique plurielle et dynamique.
« Avec chacune de ces femmes, nous avons voulu insister sur le partage d’expériences, expliquent Selma Gasc et Isolde Roumy, co-fondatrices de World of Women. Nous souhaitons ainsi créer un lien de transmission entre les différentes générations de femmes, entre celles qui ont connu toutes les étapes de la vie active et celles qui sont sur le point d’entrer dans le monde du travail et qui ont besoin d’être guidées et soutenues dans la construction de leur carrière ».
À l’avant-garde de la transformation du continent, les femmes africaines restent confrontées à de nombreuses inégalités de genre
La campagne « 1 jour, 1 femme » a aussi vocation à rappeler l’importance de la participation des femmes aux économies africaines, plus de 60% des emplois africains sont occupés par des femmes. Parmi les dix pays comptant le plus de femmes dans le secteur de l’innovation dans le monde, cinq sont africains. Pour autant, les femmes africaines font face à de nombreuses inégalités et discriminations sur le marché du travail, notamment en termes d’accès au financement, de revenus et d’autonomie financière.
C’est ce paradoxe qui guide l’action du CPA en faveur de l’égalité de genre. « Les membres du CPA sont pleinement engagés en faveur de l’émancipation économique des femmes africaines, notamment dans les secteurs de l’agriculture, de la santé, de l’entrepreneuriat et de la culture, rappelle Wilfrid Lauriano do Rego, coordonnateur du CPA. Tout ce qui favorise l’autonomisation des femmes en Afrique contribue à accélérer la transformation du continent ».
« Les femmes jouent un rôle majeur dans la cohésion sociale et le développement économique du continent et sont donc des actrices clés dans la co-création d'un avenir commun plus équitable et durable. Réduire les inégalités du genre pourrait d’ici 2025 faire croître le PIB africain de 4% » appuie Vanessa Moungar, directrice Genre de la Banque africaine de développement (BAD) et membre du CPA.
La lutte contre les inégalités de genre, un enjeu central de l’engagement de la France et de l’année 2020
Dans son discours de Ouagadougou en novembre 2017, le Président de la République Emmanuel Macron a pris l’engagement de faire de l'égalité femmes-hommes la grande cause de son quinquennat, en France mais aussi à l’international. Par exemple, depuis 2016, 50% des opérations financées par l’Agence française de développement (AFD) intègrent des objectifs de réduction des inégalités femme-homme.
L’égalité de genre sera un axe central des grands événements internationaux organisés par la France en 2020, dont le Forum Génération Egalité, le Sommet Afrique-France, qui se tiendra à Bordeaux du 4 au 6 juin, et la Saison Africa 2020, qui mettra à l’honneur l’Afrique contemporaine pendant six mois, de juin à décembre 2020. Le CPA sera mobilisé pour porter l’exigence de l’égalité femmes-hommes dans le cadre de ces grands rendez-vous et pour donner, avec World of Women, la parole à celles qui inspirent la jeunesse africaine.
Il est important de savoir que Le Conseil présidentiel pour l’Afrique a été créé en 2017 par le Président de la République Emmanuel Macron, dans le but de lui apporter un nouvel éclairage sur la relation entre l’Afrique et la France. Il rassemble des personnalités venues d’Afrique et de France, toutes issues de la société civile et bénévoles..
Concernant World of Women, c’est un média digital dressant des portraits de femmes aux parcours professionnels inspirants. Chaque année, une nouvelle équipe part sur un nouveau continent pour aller à la rencontre d’une centaine de femmes. L’ambition de World of Women est de mettre en avant des professionnelles ayant apporté des solutions concrètes et viables à des problématiques actuelles.
M.J
La France condamne avec la plus grande fermeté la tentative d’assassinat ayant visé le Premier ministre soudanais Abdallah Hamdok et son convoi ce matin à Khartoum. Elle appelle à ce que toute la lumière soit faite sur les circonstances et les responsables de cet attentat.
La France réitère sa pleine confiance dans l’action du Premier ministre Hamdok et des autorités soudanaises de transition pour redresser le pays et l’engager sur le chemin de la paix et de la démocratie.
Elle renouvelle son engagement aux côtés des autorités soudanaises pour assurer le succès de la transition démocratique qui doit conduire le pays vers des élections libres en 2022.
H.N
Akinwumi Adesina, Président de la Banque Africaine de Développement (BAD) a visité l’Hôpital Mère-Enfant Dominique Ouattara de Bingerville, le lundi 09 mars 2020.
Le Président de la Bad en compagnie de Madame Dominique Ouattara, Présidente de la Fondation Children Of Africa a pu découvrir lors d’une visite guidée, le plateau technique de dernière génération et le personnel hautement qualifié de cet hôpital spécialement dédié au couple mère-enfant.
Cette visite a enregistré la présence de M. Eugène Aka Aouélé, Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique ; M. Adama Koné, Administrateur pour la Côte d’Ivoire à la Bad; des membres de la Bad et de l’Hôpital Mère-Enfant de Bingerville.
Admiratif devant le chef d’œuvre architectural et le plateau technique de dernière génération de l’HME de Bingerville, M. Akinwumi Adesina, Président de la Banque Africaine de Développement (BAD) n’a pas tari d’éloges. Il a tenu à saluer l’engagement de Madame Dominique Ouattara pour le bien-être du couple mère-enfant et en faveur des populations démunies : «(…) Vous donnez de l’espoir aux populations démunies. Votre hôpital donne de l’espoir aux enfants et à leurs mères. (…) Vous êtes un exemple pour l’Afrique », a félicité le Président de la Banque Africaine de Développement.
Pour ce dernier, l’hôpital mère-enfant de Bingerville impacte positivement les taux de mortalité infantile et de morbidité des femmes en Côte d’Ivoire. Aussi, pour le premier responsable de la BAD, l’exemple de l’HME de Bingerville doit faire école en Afrique. Car il permet d’espérer en des lendemains meilleurs pour le continent africain. «(…) L’Hôpital Mère-Enfant est un exemple de l’Afrique que nous voulons. Cela signifie que c’est possible en Afrique. Je suis impressionné par le travail de la Fondation Children Of Africa. (…) », a-t-il félicité.
Pour M. Akinwumi Adesina, l’Hôpital Mère-Enfant de Bingerville est la représentation de la passion et de l’engagement de Madame Dominique Ouattara pour la cause des plus faibles. Il a révélé que son institution a d’ailleurs accompagné le Gouvernement ivoirien dans le cadre de la Politique Sociale du Gouvernement (PS Gouv) en réhabilitant 40 établissements sanitaires à travers la Côte d’Ivoire.
En outre, M. Akinwumi Adesina a salué la croissance économique du pays. Pour lui, l’artisan de cette croissance économique est sans conteste le Président Alassane Ouattara. « La Côte d’Ivoire a la chance d’avoir le Président Alassane Ouattara comme Président de la République », a-t-il révélé.
Madame Dominique Ouattara, Présidente de la Fondation Children Of Africa a émis le vœu que cette visite favorise le développement d’un partenariat durable entre Children Of Africa et la Banque Africaine de Développement (BAD). L’épouse du chef de l’Etat a présenté l’HME à son hôte de marque. Elle a soulevé un voile sur les raisons profondes de la construction de cet hôpital : «La Fondation Children Of Africa que j’ai créée en 1998, accorde depuis toujours, une importance capitale à la santé des populations, particulièrement les plus démunies. Dans ce cadre, l’ensemble des missions que nous avons menées durant plusieurs années à travers la Côte d’Ivoire, m’ont fait réaliser la nécessité d’avoir dans notre pays, un hôpital spécialisé entièrement dédié à la mère et à l’enfant », a-t-elle expliqué.
Pour Madame Dominique Ouattara, l’objectif de la construction de cet hôpital répond au besoin de d’offrir aux mamans et à leurs enfants, des soins spécifiques de haut niveau dont ils ont besoin.
D’un coût global de 25 milliards F CFA, le financement de l’hôpital a été entièrement acquis grâce aux généreux donateurs de la Fondation Children Of Africa. De plus, Madame Dominique Ouattara a rappelé l’obtention du niveau Argent du label Assistance Publique des Hôpitaux de Paris : « L’HME est ainsi devenu le premier établissement sanitaire en Afrique de l’Ouest à être labellisé Assistance Publique des Hôpitaux de Paris », a-t-elle révélé.
Eugène Aka Aouélé, Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique a tenu à féliciter Madame Dominique Ouattara pour son engagement aux côtés du couple mère-enfant. Il a tenu à féliciter l’épouse du chef de l’Etat pour la construction de cet hôpital qui démontre la profondeur de son engagement humanitaire.
Hachim Diop, Directeur Général de l’HME a quant à lui, présenté l’hôpital à son hôte de marque. Même son de cloche pour le Professeur Sylvia Da Silva Anoma, Directrice Médicale et Scientifique de l’HME. Cette dernière a mis en exergue la qualité des soins, mais aussi, l’engagement humanitaire de cet hôpital à travers la prise en charge de 25% de patients indigents.
Notons que Madame Dominique Ouattara a offert un cocktail à ses invités dans le hall de l’hôpital.
Sercom du Cabinet de la Première Dame
A l’occasion de la 29ème édition de la Journée Internationale des Droits des Femmes, Orange Côte d’Ivoire réaffirme son engagement pour l’Autonomisation des Femmes à travers un engagement digital et associatif fort.
La politique RH d’Orange est axée autour de cinq priorités, fruit d’un dialogue social de qualité : L’accès des femmes aux fonctions managériales ,La mixité des métiers et notamment des métiers techniques ; L’égalité salariale entre hommes et femmes ; L’équilibre entre vie professionnelle et vie privée et La lutte contre le harcèlement et les violences.
En sa qualité d’opérateur digital engagé, Orange CI travaille à bâtir, avec l’ensemble de ses collaborateurs, l’entreprise de demain en prenant en compte les enjeux de transformation digitale, de cohésion et de performance sociale. Avec un effectif total de 1474 employés, dont 41% de femmes, l’entreprise est fière d’avoir obtenue, pour la 7ème fois consécutive, le certificat « Top Employers Africa-Côte d’Ivoire ».
Par ailleurs, La Fondation Orange Côte d’Ivoire accompagne, depuis près de 14 ans, les femmes à toutes les périodes de leur vie - de l’éducation à l’autonomisation. Concrètement cela se traduit par des formations au numérique à travers le programme « Maisons Digitales ». Grâce à nos « Maisons Digitales », nous leurs facilitons l’accès au monde professionnel en aidant les plus vulnérables exerçant des activités génératrices de revenus.
Egalement, Notre Orange Digital Academy, une plate-forme de formation et de professionnalisation aux métiers du numérique, œuvre à démystifier les métiers du secteur pour les jeunes femmes. La première était composée à 20% de femmes…
Enfin, Orange Fab et le Prix Orange de l’Entrepreneur Social en Afrique et au Moyen-Orient (POESAM) accompagnent et encouragent les femmes entrepreneures dans leur quête de développement et de réussite
« Chez Orange CI, nous sommes convaincus que l’égalité professionnelle est une condition de performance sociale et économique. En tant qu’opérateur digital engagé nous sommes alignés avec cette réalité : 34 % des postes du Comité de Direction sont assurés par des femmes avec 4 directrices et 5 directrices adjointes. L’égalité d’accès pour les femmes et les hommes aux postes de responsabilité est une réalité chez nous. Nous encourageons tous les acteurs économiques à faire de même ! », confie Mamadou Mamba, Directeur Général d’Orange Côte d’Ivoire.
M.J
Depuis quelques années, nous observons des dérives et de la désinformation sur les réseaux sociaux, susceptibles de porter atteinte à la cohésion sociale.
Face à cette situation, le Centre d'Education pour une Société Durable (Centre ESD), a initié la rédaction d'un Guide d'utilisation éthique des réseaux sociaux, destiné à sensibiliser les internautes à un usage responsable de ces plateformes d'expression. Ce projet s'inscrit dans la continuité de la dynamique d'éducation aux médias et à l'information portée par le Centre ESD, en travaillant principalement sur la lutte contre la désinformation, et le renforcement de capacité des jeunes à une lecture critique des supports médiatiques.
Le Guide comprend des spécificités sur les réseaux sociaux, une Charte d'éthique, et des méthodes de vérification de l'information (fact cheking). Il a été rendu possible grâce à la contribution de jeunes de la société civile, des jeunes web-activistes sous la supervision de blogueurs et journalistes dont l'expertise est reconnue. Il est d'usage libre, n'est pas contraignant, et appelle à un engagement volontaire. C'est le lieu de remercier la Fondation American Jewish Service (AJWS), la Deutsche Welle Akademie et la Fondation Friedrich Naumann (FNF), qui ont apporté un appui à la réalisation de ce Guide.
Le Centre d'Education pour une Société Durable (Centre ESD) est une organisation à but non lucratif, d'appui à la participation civique et la formation politique des jeunes.
Source : Service Com Centre ESD