Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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L’entraîneur de l’Inter Milan, Antonio Conte, a démenti samedi les rumeurs sur un intérêt de l’Inter Milan pour le sextuple Ballon d’or Lionel Messi, parlant de “football des fantasmes”.

“On parle de football des fantasmes, une situation qui ne peut pas concerner l’Inter pour de nombreuses raisons”, a dit Antonio Conte après la victoire 3-0 contre Gênes qui a permis à ses joueurs de remonter à la deuxième place du championnat.

Plusieurs médias italiens, dont le très sérieux quotidien sportif La Gazzetta dello sport, ont évoqué ces derniers jours la possible venue de Lionel Messi en Lombardie après que le père de l’attaquant argentin a acheté une maison à Milan.

“Je ne pense pas qu’il y ait une personne malade sur cette planète qui ne voudrait pas vouloir Messi, mais il est vraiment loin de nous et de ce que nous voulons construire”, a commenté l’ex-sélectionneur de l’Italie.

“Leo n’est pas notre objectif et je ne pense pas qu’il veuille quitter Barcelone”, a pour sa part déclaré le directeur sportif de l’Inter Milan, Giuseppe Marotta.

Lionel Messi est encore lié pour un an avec son club de toujours, le FC Barcelone.

Début juillet, après des rumeurs faisant état d’envies de départ du sextuple Ballon d’or, le président du club catalan Josep Maria Bartomeu avait assuré que le Barça avait “l’obligation” de prolonger le joueur, “le meilleur de l’histoire”.

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L’attaquant du PSG Kylian Mbappé, blessé vendredi soir lors de la finale de la Coupe de France face à Saint-Etienne, souffre d’une entorse de la cheville avec lésion ligamentaire externe, et sera incertain pendant trois semaines, a annoncé le club de la capitale lundi.

“Comme annoncé après la finale de la Coupe de France face à Saint-Étienne, Kylian Mbappé a passé des examens ce lundi afin de connaître l’évolution de sa blessure à la cheville droite. Le bilan d’imagerie réalisé aujourd’hui confirme une entorse de la cheville avec lésion ligamentaire externe”, indique le club de la capitale dans un communiqué.

Le délai de reprise pour l’international français est d’environ trois semaines, ajoute le PSG, qui a réussi cette année un triplé (Coupe de France, Trophée des champions et championnat).

Avec ce délai, Mbappé, âgé de 21 ans, sera incertain pour le quart de finale contre les Italiens de l’Atalanta de Bergame prévu le 12 août en Ligue des champions.

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«Le M5-RFP, réaffirmant sa détermination à mener son combat pour sauver le Mali menacé de disparition en tant qu’État, Nation, Démocratie et République laïque, exige plus que jamais la démission de M. Ibrahim Boubacar Keïta et de son régime qui portent l’entière responsabilité de cette sinistre perspective pour notre pays», déclaré l’opposition dans un communiqué diffusé ce mardi 28 juillet 2020.

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La Commission européenne a présenté vendredi trois initiatives “immédiates” en vue de renforcer la lutte contre le crime organisé, notamment le trafic de drogue et d’armes à feu.

“La lutte contre le trafic de drogue et d’armes à feu est essentielle dans la lutte contre le crime organisé, une priorité absolue de sécurité intérieure dans toute l’Europe”, indique la Commission dans un communiqué, relevant que contrairement à de nombreux secteurs qui ont pâti de la pandémie du coronavirus, les activités du crime organisé sont “en plein essor”.

L’exécutif européen a ainsi dévoilé un nouveau programme anti-drogue de l’UE pour la période (2021-2025) qui définit le cadre politique et les priorités d’action pour les 5 prochaines années.

Ce programme mettra principalement l’accent sur des mesures de sécurité renforcée se concentrant sur tous les aspects du trafic de drogue, depuis les groupes criminels organisés jusqu’à la gestion des frontières extérieures, ainsi que la distribution et la production illicites; l’amélioration de la prévention, y compris la sensibilisation aux effets néfastes de la drogue, ainsi que la lutte contre les dommages connexes de la drogue grâce à l’accès au traitement, à la réduction des risques et des dommages et à une approche équilibrée de la lutte contre la drogue dans les prisons.

S’agissant la lutte contre le trafic d’armes à feu, l’exécutif européen a annoncé la mise en place d’un plan d’action qui focalise sur quatre priorités: garantir le cadre juridique de réduction des risques de détournement des armes à feu vers le marché noir; améliorer la connaissance de la menace, en remédiant à l’absence de statistiques comparables sur les événements liés aux armes à feu et les saisies d’armes à feu dans l’ensemble de l’UE; renforcer l’application de la législation pour arrêter les trafiquants et intensifier la coopération internationale, avec un vaste ensemble d’activités axées sur l’Europe du Sud-Est.

Par ailleurs, l’UE veut également lutter plus efficacement contre les abus sexuels commis sur des enfants à travers une stratégie qui entend compléter et améliorer les activités existantes de l’UE, mettre en place un cadre juridique solide et renforcer la réponse des services répressifs.

Selon la Commission européenne, ces initiatives adoptées par l’UE s’inscrivent dans le cadre de la stratégie de l’Union de la sécurité qui vise à “créer une approche pluridisciplinaire, coordonnée et intégrée en matière de sécurité”.

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Les premiers essais cliniques de phase I d’un vaccin développé localement en Inde contre le nouveau coronavirus, ont commencé vendredi à l’Institut indien des sciences médicales (AIIMS) avec une première dose administrée à un homme de 30 ans.

Plus de 3.500 volontaires se sont inscrits, depuis samedi dernier, pour l’essai du nouveau vaccin baptisé Covaxin, a indiqué à la presse Sanjay Rai, professeur au Centre de médecine communautaire de l’AIIMS.

“La première dose de 0,5 ml d’injection intramusculaire a été administrée à un trentenaire vers 13h30. Aucun effet secondaire immédiat n’a été observé jusqu’à présent. Il a été sous observation pendant deux heures et sera surveillé pendant les sept prochains jours”, a déclaré le chercheur indien.

AIIMS-Delhi fait partie de 12 centres sélectionnés par le Conseil indien pour la recherche médicale (ICMR) pour mener des essais cliniques de phase I et II randomisés, en double aveugle et contrôlés par placebo.

Covaxin, le premier vaccin potentiel indigène contre la Covid-19 en Inde, a été développé conjointement par le Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) et Bharat Biotech International Limited (BBIL).

En Inde, la pandémie de Covid-19 continue de faire rage avec plus de 50.000 cas signalés durant les dernières 24 heures portant le total des infections à plus de 1,33 million de cas.

Il s’agit également de 817.209 rémissions et 31.413 décès selon un dernier décompte du ministère indien de la Santé.

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“Trump fait face à des vents contraires à l’approche du jour du scrutin”, titre le Washington Times, “Trump a 100 jours pour renverser la tendance”, estime the Hill, “Joe Biden est en tête dans trois États clés que Trump a remporté en 2016”, avance un sondage de CNN alors que le Wall Street Journal relève que “Joe Biden a maintenu une avance constante sur le président Trump” mais “va-t-il tenir le coup?”. Déjà donné perdant en pareille phase de la dernière élection, Donald Trump qui croit dur comme fer en sa bonne étoile, semble décidé à faire mentir à nouveau les pronostics. Sauf que dans un contexte de sévère crise sanitaire et économique doublée de tensions au plan social, le pari pour le président sortant s’annonce périlleux.

L’élection présidentielle de 2020 marque une étape importante dimanche alors que la course entre dans le tournant symbolique des 100 derniers jours. Dans le contexte de la pandémie du Covid-19, qui continue à frapper le pays de plein fouet avec une nouvelle flambée de contamination, Joe Biden et le président Trump ont pour la plupart été empêchés de mener le genre de campagnes habituelles avec de grands rassemblements et meetings à travers le pays.

Un nouveau sondage réalisé par l’Associated Press et le Centre de recherche sur les affaires publiques NORC révèle que la cote d’approbation de Trump concernant sa gestion de la crise sanitaire est tombée à son niveau le plus bas. Seulement 32% des Américains soutiennent son approche. Même sa position sur l’économie, longtemps son principal point fort, a chuté au cours des derniers mois. 38% seulement de répondants estiment que l’économie se trouve aujourd’hui dans un bon état contre 67% en janvier.

Selon la même source, 8 sondés sur 10 ont déclaré que le pays est en mauvaise posture par rapport à tout autre moment du mandat de Trump.

Certes, 81% des républicains approuvent toujours la performance de Trump, mais seulement 68% soutiennent sa gestion du coronavirus.

Et pour cause, après avoir passé des mois à minimiser la pandémie et à ignorer largement la résurgence du virus dans plusieurs États, Trump a clairement changé de stratégie. Il a averti la semaine dernière que la situation allait probablement empirer avant de s’améliorer.

Après avoir minimisé à plusieurs reprises l’importance du port du masque pour limiter la propagation du virus, il a exhorté les Américains à le porter quand les mesures de distanciation sociales nécessaires ne sont pas assurées. Et après avoir insisté pour l’organisation d’une grande convention républicaine en août, il s’est finalement désisté en raison des risques liés à la santé.

A en croire un sondage de CNN sorti ce dimanche, les électeurs de trois États clés (swing states) pour le scrutin du novembre, en l’occurrence l’Arizona, la Floride et le Michigan, penchent vers le candidat démocrate.

En Floride, le sondage donne 51% pour Biden contre 46% pour le président Donald Trump, et en Arizona (49% contre 45%), tandis qu’au Michigan, l’avance de Biden se situe à 52% à 40%, correspondant à la moyenne nationale pour la course présidentielle.

L’ancien vice-président de Barack Obama est également compétitif dans certains États qui votent traditionnellement républicain, tels que le Texas, la Géorgie, l’Ohio et l’Iowa, que Trump doit absolument gagner pour s’assurer un chemin vers la victoire.

La majorité républicaine du Sénat “est en danger et les espoirs du GOP de reconquérir la Chambre semblent avoir disparu depuis longtemps”, avance le quotidien The Hill.

“La situation est très problématique pour les républicains en ce moment et il y a une chance que les démocrates puissent contrôler la Maison Blanche, le Sénat et la Chambre, qui devient une dure réalité pour le GOP”, a averti l’ancien président du Comité national républicain Michael Steele, cité par le quotidien.

Sur le plan social, les manifestations contre le coronavirus et le racisme et les brutalités policières ont enclenché un mouvement de défense des droits civiques diversifié. Des semaines de violents affrontements entre manifestants et agents fédéraux à Portland, dans l’Oregon (ouest), ont incité des milliers de personnes à défiler dans les villes américaines. L’administration Trump a déployé en renfort des agents fédéraux pour rétablir “la loi et l’ordre” face à ce qu’il décrit comme des “radicaux de gauche”.

Au plan social, l’année est marquée par “un éveil culturel – un moment unique dans l’histoire américaine”, selon le site d’information Axios qui fait état de l’engagement des minorités, des femmes et des immigrés, dont le vote sera décisif.

Signe du grand challenge pour Trump, la dernière fois qu’un candidat a eu une aussi grande avance nationale aussi longtemps que Joe Biden, c’était il y a 24 ans, lorsque Bill Clinton a battu Bob Dole, rappelle Nate Cohn du New York Times.

A l’image du Wall Street Journal, les analystes, y compris dans le camp démocrates, n’écartent pas les possibles rebondissements jusqu’au jour J.

“Pensez au 7 octobre 2016 – un mois avant le jour des élections”, souligne Mike Allen d’Axios. “Ce jour-là, la bande «Access Hollywood» a fait surface, WikiLeaks a publié des courriels de campagne de Clinton piratés et l’administration Obama a officiellement accusé le Kremlin de pirater le Comité national démocrate”, rappelle-t-il.

Pragmatique et résolument combatif, le milliardaire new-yorkais est déterminé à tout mettre de son côté pour renverser la tendance, notamment sa base républicaine qui lui reste fidèle. Il vient de changer de directeur de campagne et intensifie son attaque virulente contre son rival dépeint comme un homme faible et confus qui va mettre en péril la sécurité des Américains.

Le duel Trump-Biden pour la Maison Blanche promet d’être serré et un suspense jusqu’au bout.

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Les 15 présidents de la Cédéao ont entamé lundi matin un sommet virtuel extraordinaire pour tenter de résoudre la crise socio-politique qui ébranle le Mali depuis juin, alors que l’opposition menace de reprendre début août ses manifestations contre le président Ibrahim Boubacar Keïta.

Les chefs d’Etat doivent d’abord entendre le rapport du président en exercice de la Cédéao, le président nigérien Mahamadou Issoufou, sur la mission de médiation qu’il a menée le 23 juillet à Bamako avec ses pairs de la Côte d’Ivoire, du Sénégal, du Ghana et du Nigeria, selon la source proche de la Cédéao.

A l’issue d’une journée de discussions dans la capitale malienne, les cinq présidents ouest-africain n’avaient pas réussi à convaincre l’opposition, menée par l’influent iman Mahmoud Dicko, d’approuver son plan de sortie de crise, alors que les voisins et partenaires du Mali craignent que le pays, déjà miné par des violences notamment jihadistes, sombre dans le chaos.

“A l’issue de ce sommet (lundi), je pense que la Cédéao prendra des mesures fortes pour accompagner le Mali”, avait déclaré avant de quitter Bamako de M. Issoufou.

Le 10 juillet, la troisième grande manifestation contre le pouvoir avait dégénéré en trois jours de troubles meurtriers à Bamako, les pires dans la capitale depuis 2012, qui ont fait 11 morts selon le Premier ministre Boubou Cissé.

Une division de la Mission de l’ONU dans le pays (Minusma) parle de 14 manifestants tués. Le M5 évoque 23 morts.

La Cédéao a notamment proposé le 19 juillet la formation d’un gouvernement d’union nationale et d’une nouvelle Cour constitutionnelle sur une “base consensuelle”, chargée de résoudre le litige autour des résultats des législatives de mars-avril, considéré comme le déclencheur de la crise actuelle.

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Le président tunisien Kaïs Saïed a procédé, samedi, à la nomination de Hichem Mechichi, ministre de l’Intérieur dans le gouvernement de gestion des affaires courantes, de former un nouveau gouvernement, selon une source officielle à la présidence de la République tunisienne.

Mechichi, dont le nom est annoncé au terme du délai constitutionnel fixé à dix jours, a été désigné le 19 février dernier au poste de ministre de l’Intérieur dans le gouvernement d’Elyès Fakhfakh.

Son nom ne figure pas parmi les candidats proposés par les partis et les groupes parlementaires qui ont présenté au président de la République leurs candidats à la primature, dans le cadre des concertations menées pour désigner la personnalité la plus apte à former le gouvernement, conformément à l’article 89 de la Constitution.

Né en janvier 1974, Mechichi est titulaire d’une maîtrise en droit de la Faculté de droit et des sciences politiques de Tunis, d’un Certificat de fin de cycle de l’Ecole nationale d’administration (ENA) de Tunis et d’un Master en administration publique de l’Ecole nationale d’administration de Strasbourg.

Mechichi a occupé les postes de conseiller principal auprès du président de la République, en charge des affaires juridiques, et de chef de cabinet dans les ministères du Transport, de la Santé et des Affaires sociales, ainsi que de directeur général de l’Agence nationale du contrôle sanitaire et environnemental des produits.

Il devra obtenir la confiance du Parlement à la majorité absolue d’ici à septembre. Faute de quoi, l’Assemblée sera dissoute et de nouvelles élections législatives auront lieu.

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Le Maroc est classé deuxième en Afrique et premier en Afrique du Nord en terme de nombre de tests de dépistages Covid-19 réalisés, a indiqué samedi le ministère de la Santé.

Ainsi, jusqu’au 22 juillet, les laboratoires nationaux et équipes d’intervention rapide ont effectués quelque 130.700 tests de dépistage Covid-19, soit une moyenne journalière de près de 18.000 tests, a affirmé le coordonnateur du Centre national des opérations d’urgence de santé publique au ministère de la Santé, Mouad Mrabet, dans une déclaration hebdomadaire sur la situation épidémiologique.

M. Mrabet a passé en revue l’évolution de la situation épidémiologique au cours de la semaine dernière, lors de laquelle le nombre total d’infection à la Covid-19 a atteint 17.962 cas au Maroc, soit 49,5 personnes pour 100.000, mettant en avant le taux de guérison de 87%.

Il a indiqué que l’évolution hebdomadaire des cas confirmés de Covid-19 sur le plan national, après la levée du confinement sanitaire a, certes, connu une augmentation, après avoir enregistré une légère diminution, relevant que le nombre des cas enregistrés au cours des six dernières semaines reste égal au nombre de cas enregistrés au cours des trois mois et demi précédant la levée du confinement.

Sur le plan national, les “zones rouges”, poursuit M. Mrabet regroupent la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima (particulièrement Tanger, Assilah, Fahs-Anjra et Tétouan), Casablanca-Settat et Marrakech-Safi, quelques provinces orientales en plus de la région de Dakhla-Oued Dahab.

Après avoir souligné que le nombre de décès a atteint 285, après l’enregistrement de 23 décès au cours de la semaine dernière, le responsable précise que le taux de létalité reste stable à 1,6%, déplorant l’augmentation constante des cas de décès, de même que des cas d’infection graves.

Interagissant avec les questions des citoyens via l’application “WhatsApp”, par le biais de courtes vidéos ou audios d’une durée ne dépassant pas les 40 secondes sur le numéro “0761855020”, M. Mrabet a révélé qu’un retour au confinement est possible à l’instar d’autres pays du monde, en cas d’augmentation des cas de coronavirus, notant que le confinement se fera en fonction des provinces et régions connaissant une augmentation significative du nombre de cas.

Répondant à une question portant sur la possibilité de contamination au coronavirus par l’eau de mer, M. Mrabet a affirmé que l’eau de mer ne transmet pas le virus, ajoutant que le problème réside dans les rassemblements observés dans les plages, de même que le non-respect de la distanciation sociale.

A cet égard, il révèle que le taux de reproduction a actuellement atteint 1,11, après avoir connu une baisse considérable.

Concernant l’utilisation de l’air conditionné, le responsable a relevé que son utilisation en famille, à la maison ou en voiture ne cause aucun souci, notant qu’il n’est cependant pas recommandé d’utiliser la climatisation sur les lieux de travail.

En outre le responsable a indiqué que concernant les personnes atteintes de pression artérielle ou de maladies graves, ils sont plus exposés à des complications en cas d’infection au coronavirus, appelant les citoyens à porter le masque de protection.

Abordant les recommandations de la commission scientifique et technique consultative, réunie à la demande du ministre de la Santé, il a rappelé que la commission estime qu’une augmentation des cas d’infection à l’issue de Aid Al Adha est très probable, comme cela a déjà été remarqué à la suite d’Aid El Fitr.

A cet effet, la commission a appelé à effectuer des tests de dépistage Covid-19 sur les chauffeurs professionnels et les bouchers, conseillant les citoyens d’avoir recours aux bouchers agréés.

Les citoyens sont, également, invités à limiter tant que possible les voyages entre les villes, de même que les visites familiales, tout en adoptant les gestes barrières recommandés par les autorités.

Dans le cadre des messages de sensibilisation du ministère, le coordonnateur du Centre national des opérations d’urgence de santé publique au ministère de la Santé a souligné que les personnes vulnérables et exposées au risque de complications en cas d’infection, sont appelées à éviter tout rassemblement ou contact physique avec d’autres personnes.

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lundi, 27 juillet 2020 14:12

Xavi Hernandez testé positif au Covid-19

L’ex-joueur du FC Barcelone, Xavi Hernandez, a été testé positif au Coronavirus a-t-il annoncé samedi l’entraineur d’Al-Sadd sur le compte Twitter du club qatari.

“Il y a quelques jours, suivant le protocole de la Ligue au Qatar, j’ai été testé positif lors du dernier test au Covid-19” a déclaré le technicien de 40 ans, ajoutant qu’il manquerait la reprise du championnat samedi contre Al-Khor et qu’il sera remplacé par l’entraîneur de la réserve David Prats.

“Heureusement, je me sens bien, mais je serai placé en quarantaine jusqu’à ce que tout rentre dans l’ordre (…) Quand les services de santé le permettront, je serai très heureux de retourner à ma vie quotidienne et au travail”, a précisé l’ancien international espagnol.

Le Qatar enregistre un bilan officiel de 164 décès liés au coronavirus, pour 108.638 cas recensés, soit près de 4% des 2,75 millions d’habitants infectés par le coronavirus.

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