Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Le Premier Ministre ivoirien, Hamed Bakayoko a assuré le 16 septembre 2020 à Abidjan, les acteurs du secteur privé de l’engagement du gouvernement à maintenir un climat de paix et de sécurité propice à l’investissement.
 
"Je vous demande de continuer à investir, à créer de la valeur ajoutée et des emplois. Faites-nous confiance, le gouvernement s’engage à maintenir la paix, la sécurité et la stabilité dans le pays.", a dit Hamed Bakayoko, au cours d’une rencontre d’échanges avec le secteur privé.
 
Poursuivant, le Premier Ministre a reconnu que le secteur privé demeurera le principal moteur du développement socio-économique de la Côte d’Ivoire, car il est le principal pourvoyeur d’emplois formels à hauteur de près de 80% et contribue à plus de 62% des investissements effectués dans le cadre du Plan national de développement (PND 2016-2020).
 
Pour le Chef du gouvernement, le renforcement du partenariat Etat/secteur privé est indispensable à l’atteinte des objectifs de développement, à savoir l’amélioration des conditions de vie de toutes les couches sociales, par la création d’emplois décents et durables.
 
Il a en outre assuré que le gouvernement ne ménagera aucun effort pour consolider les acquis enregistrés depuis 2012, notamment en termes de réformes et d’investissements publics dans les infrastructures pour soutenir la compétitivité du secteur privé, tant au niveau national que régional.
 
Cette rencontre qui visait à renforcer le partenariat entre le gouvernement et le secteur privé, a également abordé des questions liées à la gestion de la pandémie à Covid-19, le remboursement des crédits de TVA, les créances des entreprises sur l’Etat, la mise en œuvre des réformes fiscales, la construction des Champions nationaux et le livre blanc sur l’Industrialisation de la Côte d’ivoire.
Primature Côte d'Ivoire
 
 
 
 
 
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jeudi, 17 septembre 2020 15:54

L’UE dévoile son plan sur le climat

La Commission européenne a présenté jeudi son plan visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre de l’UE d’au moins 55 % d’ici à 2030 par rapport aux niveaux de 1990.

Ce niveau d’ambition pour la prochaine décennie placera l’UE “sur une voie équilibrée vers la neutralité climatique d’ici à 2050”, indique un communiqué de l’exécutif européen.

D’après la même source, le nouvel objectif repose sur une analyse d’impact complète des incidences sociales, économiques et environnementales, qui démontre que “cette démarche est réaliste et réalisable”.

La Commission a défini les propositions législatives qui doivent être présentées d’ici juin 2021 pour mettre en œuvre ce nouvel objectif, notamment: réviser et étendre le système d’échange de quotas d’émission de l’UE; adapter le règlement sur la répartition de l’effort et le cadre régissant les émissions liées à l’utilisation des sols; renforcer les politiques en matière d’efficacité énergétique et d’énergies renouvelables; et renforcer les normes en matière d’émissions de CO2 pour les véhicules routiers.

“Nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour tenir la promesse que nous avons faite aux Européens: faire de l’Europe le premier continent neutre sur le plan climatique d’ici à 2050. La date d’aujourd’hui marque une étape importante dans ce processus”, a souligné Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, citée dans le communiqué.

Mme von der Leyen a relevé qu’avec le nouvel objectif consistant à réduire les émissions de gaz à effet de serre d’au moins 55 % d’ici à 2030, l’UE va “ouvrir la voie vers une planète plus propre et une relance verte”, ajoutant que l’Europe sortira plus forte de la pandémie de coronavirus en investissant dans une économie circulaire efficace dans l’utilisation des ressources, en promouvant l’innovation dans les technologies propres et en créant des emplois verts.

Parallèlement au plan en matière de climat à l’horizon 2030, la Commission a également adopté une évaluation des plans nationaux des États membres en matière d’énergie et de climat pour la période 2021-2030.

L’évaluation de l’exécutif européen montre que l’UE “est sur la bonne voie pour dépasser son objectif actuel de réduction des émissions d’au moins 40 % d’ici à 2030, en particulier grâce aux progrès en cours dans le déploiement des énergies renouvelables dans toute l’Europe”.

Toutefois, il ressort de cette évaluation que “pour atteindre le nouvel objectif de 55 %, l’UE devra encore accroître l’efficacité énergétique et la part des énergies renouvelables”.

Pour parvenir à cet objectif, ajoute-t-on, une action devra être menée dans tous les secteurs, notamment, l’industrie, les bâtiments et les transports.

“Les bâtiments et les transports sont, avec l’industrie, les principaux consommateurs d’énergie et les principales sources d’émissions. La décarbonation de l’offre et de la demande d’énergie est essentielle pour parvenir à la neutralité climatique”, insiste la Commission européenne.

Le nouvel objectif climatique pour 2030 servira également de base aux discussions entre le Parlement européen et le Conseil de l’UE sur la révision de la contribution déterminée au niveau national de l’Union européenne à la réduction des émissions dans le cadre de l’accord de Paris.

fm

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Le chef du Gouvernement d’union nationale (GNA) libyen Fayez al-Sarraj a annoncé mercredi être prêt à quitter ses fonctions avant fin octobre pour céder la place à un nouvel exécutif issu de pourparlers interlibyens visant à parvenir à une issue politique à la crise que connait le pays.

“J’annonce à tous mon souhait sincère de céder mes fonctions à un prochain pouvoir exécutif avant fin octobre au plus tard”, a-t-il déclaré lors d’une brève allocution télévisée.

Depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, la Libye est plongée dans le chaos politique où deux autorités se disputent le pouvoir: le GNA, basé à Tripoli et reconnu par l’ONU, et un pouvoir incarné par le maréchal Khalifa Haftar, qui règne sur l’Est et une partie du Sud.

En avril 2019, le maréchal Haftar avait lancé une offensive contre la capitale mais au bout de 14 mois de combats meurtriers, ses troupes, malgré le soutien de l’Egypte, des Emirats arabes unis et de la Russie, ont subit une défaite cinglante face aux forces pro-GNA, aidées militairement par la Turquie.

Depuis, les rivaux libyens ont retrouvé le chemin du dialogue et des rencontres se sont déroulées parallèlement à Montreux, en Suisse, du 7 au 9 septembre, et à Bouznika, au Maroc, du 6 au 10 septembre pour relancer le dialogue et trouver une solution politique à la crise libyenne.

Les commissions chargées de former un nouvel exécutif doivent “choisir un nouveau Conseil présidentiel et de nommer un nouveau chef de gouvernement qui prenne ses fonctions de manière pacifique”, a souligné M. Sarraj, se félicitant des “recommandations préliminaires et prometteuses” des rencontres de Montreux et de Bouznika annonçant une “nouvelle phase en vue de réunifier les institutions et préparer des élections”.

Désigné à la tête du GNA en vertu d’un accord politique signé à Skhirat fin 2015 sous l’égide de l’ONU, M. Sarraj n’avait pu s’installer dans la capitale Tripoli qu’en mars 2016 alors qu’une multitude de milices y faisaient la loi.

Dans un climat politique et social “extrêmement polarisé”, il a cherché à atteindre “le plus de consensus possible” entre les différentes parties “mais les difficultés ont été insurmontables”, a-t-il indiqué dans son allocution.

Encore aujourd’hui, “certaines parties s’obstinent à parier sur la solution militaire pour servir leurs objectifs”, a regretté M. Sarraj.

mc

 
 

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Le président turc Recep Tayyip Erdogan s’en est pris jeudi à son homologue français Emmanuel Macron, le qualifiant d'”ambitieux incapable” en raison de son ferme soutien à la Grèce dans la crise qui l’oppose à la Turquie en Méditerranée orientale.

Lors d’une vidéo conférence avec les dirigeants locaux de son parti, le président turc a justifié sa politique étrangère musclée et s’en pris particulièrement au chef de l’Etat français qui a multiplié récemment les critiques à son encontre.

“Pourquoi la Turquie est-elle en Syrie, en Libye, en Méditerranée orientale, se demandent certains. (…) Si la Turquie renonce à tout, la France pourrait-elle se débarrasser du désordre que l’ambitieux incapable qui la dirige a provoqué et embrasser une politique de bon sens?”, a-t-il affirmé.

Les relations entre Paris et Ankara se sont considérablement détériorées ces dernières semaines en raison du soutien apporté par la France à la Grèce dans le conflit qui l’oppose à la Turquie en Méditerranée orientale.

La Turquie revendique le droit d’exploiter des gisements d’hydrocarbures dans une zone maritime qu’Athènes estime relever de sa souveraineté. Les deux pays ont montré leurs muscles à coups de déclarations martiales, de manoeuvres militaires et d’envois de navires sur zone.

La France a clairement affiché son soutien à la Grèce en déployant des navires de guerre et des avions de combat dans la région, une initiative vivement dénoncée par le président turc.

Le ton entre les deux pays est monté la semaine dernière lorsque le chef de l’Etat français a déclaré que “le peuple turc qui est un grand peuple mérite autre chose”, dans une apparente allusion aux actions du gouvernement turc et leurs conséquences.

M. Erdogan a aussi accusé jeudi les pays de la région et l’Union européenne de tendre “les pièges” envers à la Turquie et d’avoir leurs propres “calculs” concernant la région.

“Avec le soutien de notre nation, nous allons continuer à faire ce qui est bon, juste et bénéfique pour notre pays”, a-t-il déclaré.

aaa

 
 

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L’attaquant-vedette du FC Barcelone Lionel Messi est entré dans le club très fermé des sportifs ayant amassé plus d’un milliard de dollars (840 millions d’euros) de revenus durant leur carrière, selon le magazine américain Forbes.

L’Argentin sera le joueur de football le mieux payé de la planète en 2020 avec 126 millions de dollars, dont 92 millions en salaires pour la saison 2020-21, et 34 millions en partenariats et autres contrats de sponsoring, a calculé lundi soir Forbes.

Le sextuple Ballon d’Or, qui a voulu quitter son club de toujours en août, avant de devoir rapidement capituler, est le quatrième sportif à atteindre ce chiffre astronomique du milliard de dollars de revenus, après le golfeur Tiger Woods et l’ancien boxeur Floyd Mayweather, et son grand rival sur les terrains de football Cristiano Ronaldo.

Dans ce “club des milliardaires” figure aussi la légende du basket Michael Jordan, qui ne l’est toutefois devenu qu’à l’issue de sa carrière, grâce à son méga-contrat avec l’équipementier Nike et au rachat de l’équipe NBA des Charlotte Hornets.

Dans ce classement 2020, Messi a délogé de la première place Cristiano Ronaldo (117 M USD, dont 70 M en salaires), alors que l’attaquant brésilien du Paris SG, Neymar (96 M USD, dont 78 M en salaires), complète le podium.

Le Français Kylian Mbappé occupe la 4e place avec 42 millions de dollars, dont 28 millions en salaires, Forbes présentant le joueur du PSG à 21 ans comme “le joueur qui monte” sur et en dehors des terrains.

Deux autres Français, champions du monde 2018, apparaissent dans ce top 10 mondial, Paul Pogba (6e, 34 M USD, dont 28 M en salaires) et Antoine Griezmann (7e, 33 M USD, dont 28 M en salaires).

Selon Forbes, ce top 10 mondial a accumulé des revenus globaux de 570 millions de dollars, soit une progression de 11% par rapport à la saison dernière, et ce malgré l’impact de la pandémie de coronavirus sur les différents championnats européens et sur l’économie mondiale.

syl

 
 

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La star du Paris SG Neymar, qui a accusé le Marseillais Alvaro Gonzalez d’injure raciste lors de son exclusion à la fin d’un “Clasico” houleux dimanche (0-1), a fait son mea culpa et lancé un appel au calme.

“Je suis triste de voir le sentiment de haine que l’on peut provoquer quand on se révolte à chaud”, écrit en portugais et en anglais l’attaquant brésilien sur Instagram, tout en maintenant ses accusations de racisme envers l’Espagnol de l’OM.

“Aurais-je dû l’ignorer? Je ne sais toujours pas… Aujourd’hui, à tête reposée, je pense que oui mais sur le moment, mes coéquipiers et moi avons demandé de l’aide aux arbitres, et nous avons été ignorés. C’est ça le sujet!”, s’est justifié la vedette du PSG.

La commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) se penchera dès mercredi sur les cinq cartons rouges distribués à la fin du match pour déterminer le nombre de matchs de suspension encourus par les Parisiens Neymar, Layvin Kurzawa et Leandro Paredes, et par les Marseillais Dario Benedetto et Jordan Amavi.

syl

 
 

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L’Union européenne ne reconnaît pas Alexandre Loukachenko en tant que président du Bélarus et se prépare a imposer d’importantes sanctions aux responsables du régime dans ce pays, a annoncé mardi le chef de la diplomatie européenne.

“Nous considérons que les élections du 9 août sont frauduleuses et nous ne reconnaissons pas Loukachenko comme étant le président légitime du Bélarus”, a déclaré l’Espagnol Josep Borrell au cours d’un débat au Parlement européen réuni en session plénière à Bruxelles.

“Nous sommes en train d’adopter des sanctions pour un nombre important de responsables de violences, de répressions et de falsifications des résultats des élections”, a-t-il ajouté.

“Ces sanctions devraient être adoptées avant le Conseil européen organisé les 24 et 25 septembre à Bruxelles si nous voulons conserver la crédibilité européenne”, a-t-il précisé. La décision devrait être prise au cours de la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’UE lundi prochain à Bruxelles.

“Nous souhaitons une solution qui permettra de sanctionner la Turquie et le Bélarus au même rythme”, a-t-il souligné.

L’UE procède également à un examen de ses relations avec le Bélarus pour “identifier les domaines dans lesquels les contacts devraient être suspendus ou revus, ceux dans lesquels elle a intérêt à engager, voire à intensifier, les contacts et à soutenir le peuple et la société civile biélorusses et les domaines dans lesquels elle peut apporter une aide supplémentaire s’il y a une évolution vers un nouveau Bélarus démocratique”, a-t-il ajouté.

Josep Borrell a dénoncé la poursuite des répressions au Bélarus où “plus de 7.500 manifestants pacifiques ont été arrêtés et 500 cas de torture ont été enregistrés et documentés”.

“Si la situation continue à se détériorer, des sanctions supplémentaires seront envisagées (…) Nous appelons les autorités du Bélarus à trouver une issue à la crise en mettant fin à la violence et aux détentions illégales et en instaurant un dialogue national inclusif” et l’UE est prête à “soutenir toute initiative crédible” en ce sens, a conclu le chef de la diplomatie européenne.

aaa

 
 

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Un vaccin contre le Covid-19 pourrait être disponible pour le grand public en Chine dès novembre, a affirmé une haute responsable, au moment où la course continue entre les laboratoires du monde entier.

“Les progrès actuels sont très satisfaisants”, a expliqué à la télévision nationale CCTV l’épidémiologiste Wu Guizhen, une responsable du Centre de contrôle et de prévention des maladies, un organisme du ministère chinois de la Santé.

Dans cette interview diffusée lundi soir, Mme Wu affirme qu’un potentiel vaccin pourrait être disponible “vers novembre ou décembre”. Plusieurs sont en cours d’élaboration en Chine, mais elle n’a pas précisé duquel elle parlait.

Aucun candidat vaccin dans le monde n’a pour l’heure achevé la phase d’essais sur l’homme.

Un candidat vaccin chinois, conçu par le laboratoire CanSino Bio en collaboration avec des scientifiques de l’armée, fait partie des projets les plus avancés.

D’autres fabricants chinois sont également sur les rangs, à l’image des entreprises Sinovac et Sinopharm. Ils ont exposé à Pékin pour la première fois leurs doses anti-Covid-19 la semaine dernière.

Les deux groupes pharmaceutiques espèrent obtenir le feu vert des autorités pour une mise sur le marché avant fin 2020.

La Chine est dans le collimateur de plusieurs pays occidentaux, Etats-Unis en tête, qui lui reprochent une réaction trop tardive après la découverte du nouveau coronavirus dans la ville chinoise de Wuhan (centre) en décembre 2019.

L’élaboration dans le pays d’un ou plusieurs vaccins contre le Covid-19 permettrait à Pékin de contrer cette mauvaise image.

Neuf candidats vaccins sont actuellement en “phase 3” dans le monde. Il s’agit de la dernière étape des essais sur l’homme avant une possible commercialisation.

L’un des vaccins les plus prometteurs à l’échelle mondiale est porté par le géant pharmaceutique AstraZeneca et la prestigieuse université britannique d’Oxford.

mc

 
 

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L’Iran a mis en garde mardi les Etats-Unis contre une “erreur stratégique”, après que le président américain Donald Trump a menacé Téhéran à la suite d’informations de presse faisant état d’un projet d’assassinat iranien d’une diplomate américaine.

“Nous espérons qu’ils ne commettront pas une nouvelle erreur stratégique, s’ils le font ils feront bien sûr face à une réponse décisive de l’Iran”, a averti Ali Rabii, porte-parole du gouvernement, lors d’une conférence de presse télévisée.

Washington et Téhéran sont à couteaux tirés depuis le retrait unilatéral des Etats-Unis en mai 2018 de l’accord international sur le nucléaire iranien conclu à Vienne en 2015, assorti du retour de lourdes sanctions contre l’Iran.

Depuis, les deux pays sont apparus deux fois au bord de la confrontation directe. D’abord en juin 2019 lorsque l’Iran a abattu un drone américain, l’accusant d’avoir violé son espace aérien, ce que Washington dément. Puis en janvier 2020, lorsque le puissant général iranien Qassem Soleimani a été tué par un tir de drone américain à Bagdad sur ordre de Donald Trump.

Selon le site d’informations Politico, qui cite deux responsables américains sous couvert de l’anonymat, les services de renseignement pensent que le gouvernement iranien envisage d’assassiner l’ambassadrice des Etats-Unis en Afrique du Sud, Lana Marks, proche de Donald Trump, pour venger la mort de Soleimani.

Le ministère iranien des Affaires étrangères a estimé lundi qu’il s’agissait de “fausses informations”, “sans fondement”, dénonçant des “méthodes répétitives et nauséabondes pour créer un climat anti-iranien sur la scène internationale”.

“Toute attaque de la part de l’Iran, sous quelque forme que ce soit, contre les Etats-Unis sera suivie d’une attaque contre l’Iran qui sera mille fois plus forte en magnitude !”, a pour sa part tweeté Donald Trump.

M. Rabii a regretté lors de sa conférence de presse que le “président d’un pays qui revendique (un certain pouvoir) sur la gestion de l’ordre mondial tienne des propos si douteux, précipités et alimentés par son agenda (politique)”.

Se baser sur des informations si “faibles” ne fera “rien d’autre que perturber la région”, a-t-il ajouté, appelant M. Trump à “s’abstenir de tout aventurisme (…) à des fins de réélection” en novembre.

fm

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Incarcéré depuis le 29 mars, le journaliste algérien Khaled Drareni a été condamné mardi en appel à deux ans de prison, ce qui signifie qu’il reste en détention, a-t-on appris auprès de l’un de ses avocats, Mustapha Bouchachi.

“Deux ans de prison ferme pour Drareni. Nous allons faire un pourvoi en cassation”, a déclaré M. Bouchachi.

“Son maintien en détention est la preuve d’un enfermement du régime dans une logique de répression absurde, injuste et violente”, a réagi Christophe Deloire, le secrétaire général de Reporters sans Frontières (RSF), dont Khaled Drareni est le correspondant en Algérie.

Le journaliste, âgé de 40 ans, a été arrêté après avoir couvert le 7 mars à Alger une manifestation d’étudiants.Il est aussi accusé d’avoir critiqué sur Facebook “la corruption et l’argent” du système politique et d’avoir publié le communiqué d’une coalition de partis politiques en faveur d’une grève générale, selon RSF.

“Nous sommes scandalisés par l’entêtement aveugle des juges algériens qui viennent de condamner @khaleddrareni à 2 ans de prison (en appel)”, a affirmé M. Deloire dans un communiqué.

M. Drareni avait été condamné le 10 août dernier à trois ans d’emprisonnement pour “incitation à attroupement non armé” et “atteinte à l’unité nationale”.

Lors du début du procès en appel, il y a une semaine, le procureur avait requis quatre années de prison ferme contre lui.

fm

 
 

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