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Une délégation commune de la CAF et de la FIFA s’est rendue au Liberia le 5 mai 2021 pour rencontrer des représentants de la Fédération libérienne de football et du gouvernement, à Monrovia.
Les discussions ont notamment porté sur des partenariats entre le secteur public et le secteur privé, les opportunités qu’offre le football aux jeunes et la nomination du président du Liberia George Weah en tant qu’ambassadeur du championnat scolaire panafricain.
Dès son arrivée à l’aéroport Roberts de Monrovia, la délégation a été accueillie par le président de la Fédération libérienne de football (LFA), Mustapha Raji, plusieurs membres du comité exécutif de la LFA et le ministre de la Jeunesse et des Sports, D. Zeogar Wilson. Le maire de Monrovia Jefferson T. Koijee a ensuite souhaité la bienvenue à ces visiteurs, avant de remettre les clés de la ville au Président de la FIFA, en gage d’amitié.
Patrice Motsepe, le président de la CAF, a rappelé l’énorme potentiel d’un pays comme le Liberia, potentiel qui pourrait être mieux exploité en faisant le pari de la jeunesse. Il a également souligné qu’agir de concert pour le bien du football africain était sans doute le meilleur moyen de favoriser son développement à l’échelle du continent.
Le Président Gianni Infantino a fait écho à ces paroles, en insistant pour sa part sur la valeur d’exemple du parcours de George Weah, aujourd'hui président du Liberia.
Les membres de la délégation ont ensuite été reçus par le ministre de la Jeunesse et des Sports. À l’issue des échanges, le président de la CAF s’est voulu optimiste :
"Nous avons entendu vos inquiétudes et nous pouvons vous assurer que la CAF sera présente aux côtés du football libérien et des autorités pour améliorer les infrastructures locales".
En compagnie du ministre, la délégation s’est rendue au Samuel K Doe Football Complex, qui a récemment bénéficié de la pose d’un nouveau terrain grâce au Programme Forward de la FIFA. Gianni Infantino a confié, au terme de la visite :
"La FIFA estime que tous les pays devraient disposer de terrains et d’infrastructures de qualité. Nous travaillerons main dans la main avec la CAF afin que le Liberia puisse bénéficier d’autres initiatives".
Un peu plus tard dans la journée, le président Weah a donné audience à la délégation. Les discussions ont tourné autour de l’avenir du football libérien, comme l’a révélé le Président de la FIFA :
"Nous avons la chance de visiter un pays où le football est très populaire. Nous sommes ici pour vous assurer du soutien total de la CAF et de la FIFA. Ensemble, nous allons mener le football libérien vers une nouvelle ère".
La question de l’influence du football sur l’économie a aussi été évoquée. "Le football et le développement économique vont de pair. Je suis convaincu que le ballon peut encourager la création d’emplois", a fait savoir le président de la CAF. "Il est par ailleurs de notre devoir de nous assurer que les stades répondent aux normes en vigueur. La CAF sera là pour y veiller, en coopération avec les autorités libériennes."
À l’issue des débats, le Président de la FIFA et son homologue de la CAF ont remis à George Weah, le seul Africain à avoir été élu Joueur Mondial de la FIFA, un certificat attestant de son statut d’ambassadeur du championnat scolaire panafricain.
Le Président Infantino a déclaré : "Le président Weah est une icône du football et un homme d’État respecté. La FIFA et la CAF sont heureuses de pouvoir compter sur son soutien. Son extraordinaire carrière est une référence pour tous les jeunes Africains. Nous sommes ravis de l’accueillir dans l’équipe. Rappelons que cette initiative, soutenue par l’Union africaine, va permettre d’instaurer des compétitions scolaires au niveau national, sur tout le continent. Le football est un excellent moyen de s’adresser aux jeunes et de leur donner de l’autonomie, à travers ce programme".
La délégation a ensuite inspecté un chantier de construction au siège de la LFA, afin d’en savoir plus sur l’évolution du football féminin dans le pays. Dans la foulée, les visiteurs ont assisté à un match de football féminin de jeunes au stade Antoinette Tubman.
dc
Il est porté à la connaissance de l’ensemble des usagers du Service consulaire, qu’en raison de problèmes techniques, l’enrôlement au passeport biométrique est suspendu jusqu’à nouvel ordre.
L’Ambassade voudrait présenter ses excuses aux requérants pour les désagréments que pourraient leur causer cette situation indépendante de sa volonté et les assurer que toutes les dispositions sont prises pour un retour à la normalité dans les plus brefs délais.
La reprise du service des passeports leur sera notifiée par tous les moyens de communication disponibles.
Fait à Washington, D.C., le 05 mai 2021
Le Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, a échangé ce mercredi 05 mai 2021, au Palais de la Présidence de la République, successivement avec le Ministre d’Etat, Ministre de la Réconciliation Nationale et de la Cohésion Sociale du Burkina Faso, M. Zéphirin DIABRE.
Le Ministre d’Etat Burkinabè était porteur d’un message de son Président, S.E.M. Roch Marc Christian KABORE, au Président Alassane OUATTARA. Il a souligné que ce message porte sur les relations historiques de coopération riche et diversifiée entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso. Lesquelles relations amènent les Chefs d’Etat des deux pays à échanger régulièrement eux-mêmes ou par personnalités interposées sur des sujets d’intérêt commun.
M. DIABRE a tenu à remercier le Chef de l’Etat et les autorités ivoiriennes, en particulier son homologue ivoirien, le Ministre KOUADIO Konan Bertin (KKB), pour l’hospitalité et la qualité de leur accueil.
Pour terminer, il a indiqué que la question de la Réconciliation Nationale est un sujet important pour les deux pays, qui cherchent les voies et les moyens pour rassembler leurs filles et fils, panser leurs plaies et tourner les pages douloureuses du passé afin d’envisager l’avenir avec sérénité.
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Un centre emplisseur de gaz, construit par la société « Gaz Ivoire », filiale du groupe marocain AKWA Group, a été inauguré ce mercredi 05 mai 2021, à San Pedro (sud-ouest), en présence du ministre d'Etat, ministre de l’Agriculture et du Développement Rural, Kobenan Kouassi Adjoumani et de l'ambassadeur du Royaume du Maroc en Côte d'Ivoire, son Excellence Monsieur AbdelmalekKettani.
Niché dans le port Autonome de San Pedro, deuxième infrastructure portuaire du pays, de premier centre emplisseur du groupe AKWA en Côte d’Ivoire, a été construit sur une superficie de 3,7 hectares et offre une capacité de stockage d’environ 30.000 Tonnes.
Ayant mobilisé un investissement de l'ordre de 8 milliards de Francs CFA, soit plus de 12 millions d'euros, le Centre devra assurer une capacité d'emplissage de 60.000 Tonnes annuellement, soit 36.000 bouteilles par jour. Il va créer 80 emplois directs et 320 autres indirects.
La capacité horaire d'emplissage devra se situer à 2880 par heure pour les bouteilles de 6 Kg, 1200 par heure pour les bouteilles de 15 Kg et 50 par heure pour les bouteilles de 28 Kg.
Cette nouvelle infrastructure comprend notamment, des réservoirs de stockage de Butane sous forme de 4 cigares de 320 m3 chacun, un hall d’emplissage des bouteilles, une zone de chargement/déchargement de camions citernes composée de bras de chargement et pont bascule, un local de défense contre incendie, un réseau de collecte des eaux usées, outre plusieurs composantes et dépendances.
Correspondance particulière
Le président du Sénat, Jeannot Ahoussou-Kouadio, a échangé mardi 04 mai 2021 à Abidjan avec l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire sur le renforcement des relations entre les deux pays.
Après avoir salué le déplacement de Jean-Christophe Belliard à la permanence du Sénat, M. Ahoussou a rappelé à son hôte la vision du président Félix Houphouët-Boigny depuis l’ère coloniale qui est basée sur le développement du pays. Selon lui, le Président Ouattara poursuit cette dynamique qui est source de joie pour lui.
A l’issue du forum sur les collectivités en Côte d’Ivoire en février 2020, a rappelé M.Ahoussou, l’agenda 2030 issue des travaux vise une propulsion de la décentralisation
A l’en croire, c’est dans cette optique que le président de la République en plus des deux districts a annoncé la nomination de ministres-gouverneurs dans les jours à venir pour propulser le développement économique du territoire ivoirien.
« Nous allons le faire avec les amis et nos partenaires internationaux et surtout la France qui a une belle expérience de la coopération décentralisée », a promis M. Ahoussou
Le patron l’institution parlementaire a précisé qu’au cours de cette année 2021, il sera organisé un forum avec les Ivoiriens qui vivent hors à l’extérieur sur la problématique du développement économique de la Côte d’Ivoire : ‘’Quel sera l’apport des partenaires dans le développement économique de la Côte d’Ivoire’’.
Le diplomate français a salué le président du Sénat pour son implication significative dans les actions de développement en Côte d’Ivoire.
Il a réaffirmé tout l’engagement de son pays à contribuer à la réussite de cette deuxième chambre parlementaire dans ses missions régaliennes.
Aip
Le ministre ivoirien de l’Economie et des Finances, Adama Coulibaly, a présidé, le lundi 03 mai 2021 à Abidjan, l’ouverture de la mission d’instruction du troisième Contrat de désendettement et de développement (C2D).
Le ministre Adama Coulibaly a indiqué que la présente mission d’instruction du troisième C2D devra proposer aux décideurs, les secteurs prioritaires à financer et les dotations budgétaires nécessaires.
Ce contrat, a-t-il souligné, sera déterminé sur la base du montant restant des deux précédents C2D, estimé à 751 milliards de FCFA.
Pour Adama Coulibaly, le C2D est l’un des principaux outils opérationnels de l’appui au développement socio-économique de la Côte d’Ivoire.
Il a salué la flexibilité et la capacité d’adaptation du C2D qui a permis d’appuyer le plan de riposte à la Covid-19.
Pour sa part, l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Jean-Christophe Belliard, a indiqué que la mission passera en revue la performance des deux premiers contrats d’un montant de 1 151 milliards de FCFA.
Il a également rappelé que le C2D a permis de financer la réalisation de nombreuses infrastructures dans plusieurs domaines.
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Ce fonds de première génération cible les PME à fort potentiel de croissance et les ETI opérant dans les secteurs de la consommation et des services financiers, il stimulera la reprise économique post-pandémique dans les pays d'Afrique de l'Ouest, notamment au Nigeria, au Ghana, en Côte d'Ivoire et dans les autres marchés francophones de la région.
Uhuru Investment Partners (Uhuru), une société de capital-investissement de premier plan basée à Lagos et Abidjan, annonce le premier closing de son fonds Uhuru Growth Fund I (UGF) pour un montant de 113 millions de dollars US, avec le soutien de CDC Group ("CDC"), l'institution financière de développement (IFD) et investisseur d'impact du Royaume-Uni.
Les fonds de UGF sont destinés aux entreprises qui stimulent la création d'emplois, augmentent l'accès aux biens et services dans les secteurs des biens de consommation de base, les fintechs et qui améliorent l'accès aux soins de santé.
Avec un objectif final de 200 millions de dollars US, ce fonds de première génération investi dans toute l'Afrique de l'Ouest, notamment au Nigeria, au Ghana, en Côte d'Ivoire et sur d'autres marchés francophones de la région.
Outre CDC, plusieurs investisseurs internationaux de renom ont participé à ce tour de table, notamment AfricaGrow et Kuramo Capital, ainsi que certaines institutions de financement du développement, dont la Banque Européenne d'Investissement (BEI), DEG, SIFEM et Finnfund.
L'engagement des partenaires d'Uhuru permettra de soutenir la relance économique des entreprises locales suite à la pandémie de COVID-19 et de stimuler la reprise du commerce sur le continent.
Grâce à un partenariat pérenne, CDC a aidé Uhuru à mobiliser des capitaux auprès d’investisseurs commerciaux et d’Institutions de Financement du Développement et a aussi travaillé avec le gestionnaire pour la mise en place d’un système de bonne gouvernance et de bonnes pratiques en matière de gestion environnementale et sociale (E&S).
Au fur et à mesure que Uhuru se développe, le fonds pourra accéder à du capital additionnel; fort de son positionnement unique sur les trois plus grandes économies de la CEDEAO, de l’expérience de ses équipes, mais aussi de leur connaissance du marché régional.
Le Dr Yemi Osindero, Associé Gérant d'Uhuru, a déclaré : "Nous sommes ravis de finaliser ce premier tour de table de notre fonds. Nous sommes reconnaissants pour le soutien indéfectible de nos investisseurs dans ce qui a été un environnement de levée de fonds difficile. Nous sommes impatients d'avoir un impact positif sur la croissance des économies d'Afrique de l'Ouest en soutenant les entreprises locales dans nos secteurs cibles, en les aidant à devenir des champions régionaux et en créant de nouveaux emplois de qualité."
Benson Adenuga, Chef du bureau de CDC au Nigéria et Directeur régional, retient que : " Malgré un climat difficile de levée de fonds, Uhuru est bien positionné pour atteindre un objectif cher à notre institution, à savoir fournir des capitaux privés essentiels pour le financement des entreprises et la promotion de la résilience et de la croissance à long terme sur les marchés de la région ouest-africaine. Notre engagement apportera un soutien essentiel à la reprise économique après la crise actuelle de la COVID-19, en fournissant du capital de croissance et une valeur ajoutée aux PME et aux ETI, avec un accent particulier sur les produits de consommation courante, les soins de santé et les fintech en Afrique de l'Ouest’’
Selon lui, CDC croit fermement que les PME sont l'élément vital des économies africaines et l'ambition d'Uhuru est en accord avec leur engagement pour l’année 2021. Et vise à soutenir les entreprises prometteuses et à stimuler la croissance inclusive et la création d'emplois sur le continent, en investissant plus d'un milliard de dollars US en Afrique.
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Le défenseur français Raphaël Varane a contracté une blessure aux adducteurs et sera, probablement, forfait pour le match qui opposera le Real Madrid au club londonien de Chelsea pour le compte de la demi-finale retour de la Ligue des champions d’Europe de football, a annoncé le club de la capitale espagnole.
“Les examens réalisés aujourd’hui sur notre joueur Raphaël Varane par les services médicaux du Real Madrid lui ont diagnostiquée une lésion dans le muscle adducteur droit”, a déclaré le club dans un communiqué, sans préciser la durée d’indisponibilité.
Les Merengues, 13 fois titré en LDC, devront faire mieux mercredi à Stamford Bridge que le match nul 1-1 concédé au match aller à Madrid, pour atteindre la finale de la Ligue des champions
La blessure de Varane, remplacé à la mi-temps du match contre Osasuna (remporté 2-0) samedi, constitue un coup dur pour les hommes de Zinedine Zidane: en championnat d’Espagne, le Real est engagé dans une course au titre très serrée avec l’Atlético Madrid et le FC Barcelone, et un match-clé dès dimanche contre Séville, 4è (70 pts) avec 4 points derrière et un match en moins.
A quatre journées de la fin, les coéquipiers du vétéran Sergio Ramos (2è), éloigné lui aussi des terrains depuis plus d’un mois, compte deux points de retard sur l’Atlético et se trouve à égalité de points avec le Barça.
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Le Parti Socialiste des Travailleurs (PST/opposition) a dénoncé vivement la répression qui s’abat sur le hirak en Algérie et les “pressions politiques”, dont sont victimes des partis de l’opposition.
Pas plus tard que la semaine dernière, “la marche hebdomadaire des étudiants a été réprimée par les forces de l’ordre. Nous dénonçons ces atteintes aux libertés d’expression et de manifestation”, a fustigé le porte-parole du PST, Mahmoud Rechidi.
Rechidi, dont les propos sont relayés par les médias algériens, a aussi dénoncé “le coup de force” du régime qui veut, selon lui, imposer des législatives contre la volonté de la majorité du peuple.
“Il faut un changement profond et cela ne réside pas dans les élections qui n’offrent pas de garanties de transparence”, a-t-il expliqué, ajoutant que la solution à la crise politique passe par l’instauration d’une Assemblée constituante souveraine.
Tout en appelant le hirak à s’”auto-organiser à la base”, le responsable a dénoncé “les pressions politiques” et les “menaces” du ministère de l’Intérieur.
“C’est inacceptable ! Nous demandons le respect des libertés et des droits démocratiques”, a-t-il exigé, notant que “la liberté d’organisation en partis politiques devrait obéir à un régime déclaratif”.
Interrogé au sujet des mouvements du MAK et de Rachad, accusés par le régime de vouloir fomenter des projets d’attentat au sein du hirak, Rechidi a déploré “un épouvantail” brandi par le système en place dans le but de semer la peur parmi les hirakistes.
Il a mis en garde contre une “explosion sociale” alors que les mouvements de protestation se multiplient ces derniers mois dans de nombreux secteurs, dont ceux de la santé et de l’éducation nationale.
“La situation est très dangereuse sur le front social”, a-t-il mis en garde, expliquant que le pouvoir d’achat des Algériens ne cesse de se détériorer.
Il a estimé que c’est le résultat des politiques libérales instaurées par le gouvernement, appelant à une jonction des luttes sociales et politiques à même de favoriser l’émergence d’un “rapport de force” en faveur d’un changement démocratique.
L’Algérie a enregistré ces dernières semaines, à quelques semaines des élections législatives, une recrudescence de la répression et des interpellations des manifestations.
La semaine dernière, la police avait empêché les étudiants de manifester à Alger, comme ils le font chaque mardi, pour la première fois depuis la reprise, fin février, des marches du mouvement populaire.
L’interdiction de la manifestation intervenait dans un contexte d’intensification de la répression contre des militants hirakistes, des opposants politiques et des journalistes, à l’approche des législatives anticipées. Quelque 66 détenus d’opinion sont actuellement incarcérés en Algérie pour des faits ayant un lien avec le hirak ou les libertés individuelles, selon le site spécialisé “Algerian Detainees”.
Cette vague de répression sans précédent a été dénoncée par plusieurs organisations algériennes et internationales dont la Ligue algérienne de Défense des Droits de l’Homme (LADDH) qui a exprimé son inquiétude devant “l’escalade de la répression qui vise toutes les voix de l’opposition et du Hirak”.
Le Hirak, ce mouvement de protestation de grande ampleur qui a chassé le président algérien Abdelaziz Bouteflika du pouvoir après 20 ans de règne sans partage, avait repris le 22 février dernier après près d’une année de suspension pour cause de la pandémie de Covid-19 qui sévit en Algérie et dans le monde entier.
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