Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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L’Union des associations européennes de football (UEFA) a annoncé mercredi avoir infligé 50.000 euros d’amende disciplinaire à l’attaquant suédois Zlatan Ibrahimovic en raison de son “intérêt financier dans une entreprise de paris”.

Le président de l’instance d’appel, statuant comme juge unique, a également ordonné au champion de 39 ans de “cesser son association” avec ce site, contraire aux règles de l’UEFA sur “l’intégrité des matches et des compétitions”.

Enfin, l’UEFA a sanctionné d’un avertissement et de 25.000 euros d’amende le club du Suédois, soit l’AC Milan, en raison de la faute disciplinaire commise par son joueur.

Le 14 avril dernier, le quotidien suédois Aftonbladet s’était inquiété du risque de sanctions pesant sur Ibrahimovic, de la part de l’UEFA comme de la Fifa, alors qu’il venait de retrouver la sélection pour les éliminatoires du Mondial-2022.

Selon Aftonbladet, Ibrahimovic est depuis 2018 l’un des actionnaires de Bethard, un site de paris en ligne basé à Malte, via sa société Unknown AB, en contradiction avec les règles des deux instances.

dc

 
 

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“Il existe un risque sérieux de famine si l’aide n’est pas augmentée ces deux prochains mois” au Tigré en Ethiopie, selon un haut responsable de l’ONU dans une note mardi au Conseil de sécurité, en réclamant des mesures urgentes.

“Il est clair que les personnes vivant au Tigré sont désormais confrontées à une insécurité alimentaire considérablement accrue en raison du conflit, et que les parties au conflit limitent l’accès à la nourriture”, ajoute le secrétaire général adjoint des Nations unies pour les Affaires humanitaires, Mark Lowcock.

Une résolution de 2018 impose à l’ONU d’alerter le Conseil de sécurité à chaque fois qu’un conflit menace d’entraîner une famine dans une région ou un pays.

Plus de six mois après le lancement d’une opération militaire annoncée comme rapide par le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed, les combats et exactions se poursuivent au Tigré où le spectre d’une famine plane depuis plusieurs mois.

“Des mesures concrètes sont nécessaires de toute urgence pour briser le cercle vicieux entre conflit armé, violence et insécurité alimentaire”, souligne dans sa note Mark Lowcock. “J’exhorte les membres du Conseil de sécurité et les autres Etats membres à prendre toutes les mesures possibles pour empêcher une famine de se produire”.

Au Tigré, où “la destruction et la violence contre les civils se poursuivent encore aujourd’hui”, “au moins 20% de la population est confrontée aujourd’hui à une insécurité alimentaire urgente”, précise-t-il.

“Au cours des six mois et demi écoulés depuis le début du conflit au Tigré début novembre 2020, environ deux millions de personnes ont été déplacées, des civils ont été tués et blessés. Le viol et les autres formes de violence sexuelle odieuse sont répandus et systématiques. Des infrastructures et des installations publiques et privées indispensables à la survie des civils ont été détruites, notamment des hôpitaux et des terres agricoles”, énumère le responsable de l’ONU.

Des estimations considèrent que “plus de 90% des récoltes ont été perdues en raison du pillage, des incendies ou d’autres destructions, et que 80% du bétail de la région a été pillé ou abattu”, indique aussi Mark Lowcock.

“Malgré des améliorations enregistrées en mars et la coopération des autorités au niveau local, l’accès humanitaire dans son ensemble s’est récemment détérioré”, relève-t-il par ailleurs.

“Les opérations humanitaires sont attaquées, entravées ou retardées dans la fourniture d’une assistance vitale”, précise-t-il en déplorant que “huit travailleurs humanitaires (aient) été tués au Tigré ces six derniers mois”.

Le président américain Joe Biden a lui aussi condamné mercredi des violations des droits humains “inacceptables” au Tigré et a exhorté à un cessez-le-feu immédiat.

“Je suis profondément inquiet de l’escalade de la violence et l’approfondissement des fractures régionales et ethniques dans plusieurs régions de l’Ethiopie”, a-t-il indiqué dans un communiqué.

Le gouvernement de M. Abiy s’est dit de son côté déterminé à enquêter sur ces violations des droits humains dans la région et a affirmé à plusieurs reprises avoir donné un accès “entier et sans entrave” aux travailleurs humanitaires.

Dans une série de messages postés sur Twitter mardi soir, le ministère éthiopien des Affaires étrangères a accusé le Front de libération du peuple du Tigré (TPLF) – qui dirigeait la région avant d’être renversé par l’armée fédérale – de contribuer à empêcher l’aide humanitaire de se déployer.

Les “derniers éléments” de ce groupe ont “tué des travailleurs humanitaires, des chauffeurs de poids-lourds et pillé des biens alimentaires et non-alimentaires qui étaient sur le point d’être distribués aux populations dans le besoin”, accuse le ministère.

fm

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L’organisation de l’aviation civile internationale (OACI) a annoncé jeudi lancer une enquête sur l’interception d’un vol commercial de Ryanair dimanche par le Bélarus, à l’issue d’une réunion d’urgence.

L’OACI a décidé “d’entreprendre une enquête factuelle” et souligné “l’importance d’établir les faits sur ce qu’il s’est passé et de comprendre s’il y a eu violation du droit international de l’aviation par un Etat membre de l’OACI, y compris de la Convention (de Chicago, NDLR) sur l’aviation civile internationale et de ses annexes”.

L’instance a également appelé “tous les Etats membres de l’OACI et les autres parties prenantes concernées à collaborer à cette enquête”, qui sera menée par le secrétariat de l’OACI.

Cette décision a été prise lors d’une réunion d’urgence à huis clos de son organe directeur, durant laquelle étaient convoqués les 36 représentants diplomatiques du Conseil.

Le régime d’Alexandre Loukachenko est accusé d’avoir détourné dimanche un appareil de Ryanair pour arrêter un opposant à bord, au moyen d’un avion de chasse, ce qui lui a valu des sanctions européennes, dont la fermeture de l’espace aérien de l’UE.

En réaction, l’agence onusienne, qui n’a aucun pouvoir de sanctions, avait fait part de sa “profonde inquiétude”.

Mercredi, les membres européens du Conseil de sécurité de l’ONU et les Etats-Unis avaient appelé l’OACI “à enquêter d’urgence” sur le détournement de l’avion, dans une déclaration conjointe.

En cas de violation avérée des règles internationales, le rôle de l’OACI consiste simplement à “aider les pays qui le voudraient à mener les discussions, à prononcer les condamnations, à appliquer les sanctions, etc., conformément à la Convention de Chicago”, rappelle l’OACI sur son site.

La Convention de Chicago de 1944, dont Minsk est signataire depuis 1993, établit les règles de l’aviation civile internationale. Le texte indique que “chaque État contractant convient de ne pas employer l’aviation civile à des fins incompatibles avec les buts de la présente convention”.

Le président bélarusse Alexandre Loukachenko a affirmé avoir “agi légalement” face à une alerte à la bombe.

En outre, le Bélarus a invité mardi les organisations internationales à venir établir “les circonstances” du détournement de l’avion par Minsk, l’Association internationale du transport aérien (IATA) et l’OACI, ainsi que des autorités américaines et de l’UE.

fm

 
 

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Les parlements d’Autriche et de Pologne ont approuvé jeudi le plan de relance européen post-Covid de 672 milliards d’euros.

Ce plan vise à surmonter les conséquences économiques de la pandémie de Covid-19, permettant de conclure le processus de ratification de ce projet historique.

“Avec les votes positifs des parlements autrichien et polonais aujourd’hui, les 27 Etats membres ont finalisé le processus parlementaire d’approbation”, a salué le commissaire européen au Budget Johannes Hahn sur Twitter.

D’une ampleur inédite, avec 672 milliards d’euros de subventions et de prêts accordés aux pays membres de l’UE, le mécanisme financé pour la première fois par un recours commun à l’emprunt incarne la solidarité européenne face à la crise du Covid-19.

La mise en oeuvre du plan, conclu en juillet 2020 après de difficiles négociations, a été souvent critiquée pour sa lenteur. Les premiers paiements, qui doivent financer des projets d’investissements des Etats membres dans la transition verte et numérique, ne sont prévus au mieux que fin juillet.

La ratification des Vingt-Sept étant indispensable pour emprunter l’argent nécessaire sur les marchés, une seule signature manquante pouvait faire dérailler le projet.

Chaque pays de l’UE a la possibilité de déposer à Bruxelles un plan d’investissements associés à des réformes structurelles. Dix-neuf Etats sur 27 ont déjà soumis leur projet à la Commission, qui a deux mois pour les examiner et les approuver. Le Conseil européen, qui représente les Etats membres, aura ensuite un mois pour donner son feu vert.

“L’objectif est que les fonds commencent à être versés cet été”, a déclaré samedi le vice-président de la Commission, Valdis Dombrovskis, lors d’une réunion à Lisbonne. Il a promis que ses services allaient “essayer d’accélérer un peu” leur processus d’évaluation. “Nous travaillons aussi vite que possible, mais ce sont des évaluations complexes”, a-t-il cependant prévenu.

L’Espagne et l’Italie devraient être les principaux bénéficiaires avec près de 70 milliards d’euros chacune, devant la France (près de 40 milliards).

L’argent doit permettre de financer la rénovation thermique de bâtiments, des projets ferroviaires, des bornes de recharge pour véhicules électriques, des réseaux de télécommunications à haut débit ou encore des infrastructures de stockage des données…

L’Europe souffre toutefois de la comparaison avec les Etats-Unis où des aides plus massives ont été débloquées plus vite, tandis qu’une campagne de vaccinations plus rapide a permis à l’économie américaine de prendre un temps d’avance.

MC

 
 

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Le cap des 50% d’adultes entièrement vaccinés contre le Covid-19 a été franchi mardi aux Etats-Unis, a annoncé la Maison Blanche. Plus de 60% des adultes (soit près de 160 millions de personnes) ont par ailleurs d’ores et déjà reçu au moins une dose de l’un des trois vaccins autorisés dans le pays.

“Désormais, 50% de tous les adultes américains sont entièrement vaccinés!” a tweeté Cyrus Shahpar, en charge du suivi des données pour la Maison Blanche. Cela signifie que ces personnes ont reçu les deux injections du vaccin de Moderna ou de Pfizer/BioNTech, ou bien l’injection unique du vaccin de Johnson & Johnson.

Après des débuts poussifs en fin d’année 2020, la campagne de vaccination de masse a été menée tambour battant par l’administration du président Joe Biden.

Le rythme de cette campagne d’immunisation était toutefois sur une pente descendante entre mi-avril et mi-mai, à mesure qu’il a fallu atteindre les plus sceptiques ou les indifférents.

Le nombre de vaccinations quotidiennes a malgré tout récemment commencé à légèrement remonter. La vaccination avec le remède de Pfizer a été ouverte aux adolescents dès 12 ans il y a environ deux semaines, et de nombreux programmes incitatifs ont été mis en place pour les personnes vaccinées (loteries…).

Le président a fixé comme objectif que 70% des adultes aux Etats-Unis aient reçu au moins une dose avant la fête nationale du 4 juillet.

MC

 
 

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La première réunion au sommet entre les présidents américain Joe Biden et russe Vladimir Poutine se tiendra en juin prochain en Suisse, a indiqué mardi la Maison Blanche.

“Le président Biden rencontrera le président Poutine à Genève, en Suisse, le 16 juin 2021. Les dirigeants discuteront de l’ensemble des problèmes urgents, alors que nous cherchons à restaurer la prévisibilité et la stabilité des relations américano-russes”, a indiqué la porte-parole de la Maison Blanche, Jen Psaki dans un communiqué.

La réunion aura lieu à l’issue du premier voyage international du président Biden depuis son entrée en fonction, pour prendre part notamment au sommet du G7 et de l’OTAN.

Le conseiller à la sécurité nationale des Etats-Unis Jake Sullivan a rencontre lundi à Genève son homologue russe pour préparer les détails de cette première rencontre en tête-à-tête.

Biden doit effectuer son premier voyage à l’étranger depuis qu’il est devenu président pour assister, du 11 au 13 juin, au sommet du G-7, qui se tient à Cornwall, au Royaume-Uni avant de se rendre en Belgique pour des réunions avec les dirigeants de l’Union européenne et de l’OTAN.

A la mi-avril écoulée, MM. Biden et Poutine ont eu un entretien téléphonique portant notamment sur la situation en Ukraine, la prolongation du nouveau traité START sur les armes nucléaires, ainsi que les accusations de Washington contre Moscou au sujet des cyberattaques et de l’ingérence électorale.

Le locataire de la Maison Blanche avait alors suggéré de tenir un sommet dans un pays tiers, à l’heure où les tensions entre Washington et Moscou se sont intensifiées sur fond de sanctions et d’expulsions de diplomates de part et d’autre.

hn

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Les Nations Unies et leurs partenaires ont exprimé leurs profondes préoccupations concernant la situation au Mali après l’arrestation lundi des dirigeants civils de la transition.

Le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres a appelé au calme et à la libération inconditionnelle des dirigeants de la transition au Mali.

“Mon Représentant spécial travaille avec la CEDEAO, l’UA et les acteurs internationaux soutenant la transition politique en cours”, a déclaré, mardi,  M. Guterres sur Twitter.

Neuf mois après le dernier coup d’Etat dans ce pays, des militaires ont arrêté le président de la transition, Bah N’Daw, et son Premier ministre, Moctar Ouane, et certains de leurs collaborateurs. Les deux dirigeants ont été amenés lundi soir au camp militaire de Kati à une quinzaine de kilomètres de la capitale Bamako.

“Cette action inconsidérée est lourde de conséquences pour le Mali et la région dans son ensemble”, a déclaré le porte-parole de la MINUSMA, Olivier Salgado.

La mission onusienne cherche à obtenir dans les meilleurs délais l’accès à toutes les personnes actuellement détenues par les militaires à Kati “afin de s’assurer de leurs conditions de détention et d’obtenir des garanties quant au respect de leurs droits fondamentaux et des libertés qui y sont liées, tels que consacrés par le droit international des droits de l’homme”, a-t-il dit.

Le Secrétaire général de l’ONU, Antonioo Guterres, ainsi que le Comité local de suivi de la transition – composé notamment de la Communauté des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), de l’Union Africaine (UA) et de la Mission des Nations Unies au Mali (MINUSMA) – et de plusieurs pays occidentaux, dont la France et les Etats-Unis, se sont déclaré profondément préoccupés par ces arrestations.

Dans un communiqué conjoint, ils ont fermement condamné “la tentative de coup de force” survenue à la suite de la publication du décret portant nomination des membres du gouvernement par le président de la transition sur proposition du Premier ministre. Selon les informations rapportées par la presse, un désaccord sur les nominations seraient à l’origine des arrestations.

L’ONU et ses partenaires ont exigé la libération immédiate et inconditionnelle des deux dirigeants de la transition et souligné que les éléments militaires qui les détiennent seront tenus personnellement responsables de leur sécurité.

Ils ont réaffirmé également leur ferme soutien aux autorités de la transition et demandé que la transition reprenne son cours pour se conclure dans les délais prévus. “La communauté internationale rejette par avance tout acte imposé par la contrainte, y compris des démissions forcées”, ont-ils assuré.

hn

 
 

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Ce lundi 24 mai 2021, le Ministre de l'Intérieur et de la Sécurité, le Général de Corps d'Armée Diomandé VAGONDO reçu une délégation ministérielle du Niger à son Cabinet. 

Cette rencontre fait suite aux récentes violences commises contre la communauté Nigérienne en Côte d'Ivoire. 

La délégation conduite par le Ministre de l’Interieur Nigérien, Alkache Alhada, a exprimé sa reconnaissance et sa gratitude aux autorités ivoiriennes pour la gestion remarquable de cet incident qui a permis un retour rapide au calme. 

Par ailleurs, ladite délégation a invité leurs ressortissants à la reprise des activités dans le respect des lois de leur pays d’accueil.

fm

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En marge du Sommet sur le financement des économies africaines, le mardi 18 mai 2021 à Paris, en France, le Président de la République, Alassane Ouattara, a eu des entretiens avec ses homologues Cyril Ramaphosa d’Afrique du Sud, Kaïs Saïed de Tunisie et Bah N'Daw du Mali.

Ainsi qu’avec d’éminentes personnalités, notamment la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva, le directeur général des Opérations de la Banque mondiale, Axel Van Trotsenburg et le président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat.

A en croire Alassane Ouattara, les rencontres avec ces personnalités politiques et financières ont permis de passer en revue les relations de coopération entre la Côte d’Ivoire et leurs pays respectifs, ainsi qu’avec les Institutions de Bretton Woods et la Commission de l’Union africaine.

Ces échanges ont également permis d’évoquer les questions régionales et internationales.

Au cours de son séjour à Paris, le Chef de l’Etat a également assisté aux obsèques du président du Groupe Jeune Afrique, Béchir Ben Yahmed, qui a apporté, selon lui, une grande contribution au développement de l’Afrique et à l’émancipation de la jeunesse africaine.

Le Président est arrivé, le vendredi 21 mai à Abidjan, où il a été accueilli par le Premier Ministre Patrick Achi, des membres du gouvernement et du Cabinet présidentiel, ainsi que par la hiérarchie militaire.

fm

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Le ministère saoudien de la Santé a déclaré qu'il autorisait les pèlerins du Hadj à l'étranger pour l'événement annuel en juillet, mais ce sera à une échelle plus petite que la période prépandémique.

Depuis l'éclosion de la pandémie de COVID-19, ce sera la première fois que l'Arabie Saoudite décide d'autoriser seulement 60.000 personnes du monde entier à effectuer le Hajj cette année, a déclaré samedi 23 mai 2021 le ministère saoudien de la Santé.

Le ministère saoudien de la Santé a déclaré qu'il autorisait les pèlerins du Hadj à l'étranger pour l'événement annuel en juillet, mais ce sera à une échelle plus petite que la période prépandémique.

45 000 pèlerins de l'extérieur du pays seront alloués et 15 000 de l'intérieur du Royaume, a indiqué le ministère de la Santé.

Représentant spécial du Premier ministre pakistanais sur l'harmonie religieuse, Maulana Tahir Ashrafi a également confirmé la décision de l'Arabie saoudite sur SAMAA TV. Le Royaume d'Arabie saoudite a levé l'interdiction des vols internationaux à partir du 17 mai 2021, le Hajj étant prévu du 17 juillet au 22 juillet 2021.

Points clés pour le Hajj 2021 : • Seuls 60 000 Hujjaj seront programmés pour effectuer le Hajj cette année, qui comprend des pèlerins locaux et étrangers.

  • Ceux qui exécutent le Hajj doivent être âgés de 18 à 60 ans.
  • Ceux qui accomplissent le Hajj doivent être en bonne santé.
  • Ceux qui pratiquent le Hajj ne doivent pas avoir été hospitalisés pour une maladie au cours des six derniers mois précédant leur voyage pour le Hajj. (une preuve est requise)
  • Les pèlerins doivent avoir reçu les deux doses de vaccin avec un carnet de vaccination fourni par l'organisation sanitaire / hôpital / ministère de chaque pays. (preuve requise)
  • Le vaccin utilisé doit figurer sur la liste approuvée reconnue par le ministère de la Santé du Royaume d'Arabie saoudite.
  • Les pèlerins doivent être mis en quarantaine pendant trois jours s'ils sont classés comme pèlerins étrangers dès leur arrivée au Royaume d'Arabie saoudite.
  • La première dose du vaccin doit avoir été prise avant le 1er Shawaal 1442. Note: Ce jour est passé et était le jour de l'Aïd Ul Fitr 1442.
  • La deuxième dose du vaccin doit être prise au plus tard le 14e jour avant d'arriver au Royaume d'Arabie saoudite.
  • Les conditions de distanciation sociale et de port du masque et autres mesures de précaution continueront de protéger les pèlerins.

Avant qu'un pèlerin n'arrive dans les zones / lieux du Hajj : • Ils doivent s'assurer que tous les documents de santé nécessaires sont remplis pour vérifier leur état de santé et leurs conditions.

  • Le pèlerin doit détenir un certificat / document relatif au vaccin. Dans certains pays, des certificats de voyage sont délivrés.
  • Les pèlerins passeront également par un dépistage visuel selon les procédures et les mesures de précaution relatives au COVID-19.
  • Les informations continueront d'être fournies via les réseaux sociaux, les agences de voyages et par SMS, etc. à des fins éducatives.
  • Des points de transport désignés sont en train d'être aménagés pour permettre aux groupes de se rassembler conformément aux mesures de précaution.

Lorsqu'un pèlerin arrive à sa résidence : • Les pèlerins subiront un dépistage thermique.

  • Le logement et les hôtels où les pèlerins séjourneront doivent être conformes aux exigences du ministère du tourisme, du ministère du Hajj et à d'autres organismes.
  • Des mesures de précaution seront mises en place pour éviter la surpopulation à l'intérieur des chambres et des hôtels.
  • Ils assureront donc des services de restauration pour chaque pèlerin dans leur chambre sans avoir à se rassembler dans les réfectoires et éviter les buffets ouverts.
  • Tous les pèlerins internationaux doivent être mis en quarantaine pendant trois jours et effectueront également des prélèvements PCR sur le lieu de résidence.
  • Les pèlerins apprendront que s'ils présentent des symptômes, ils doivent consulter directement un médecin, afin d'assurer leur propre sécurité et celle des autres.
  • Les pèlerins du Hajj seront envoyés en moins de lots par rapport aux années précédentes afin de respecter la distanciation sociale. Il y aura des points de rencontre pour les groupes dans tous les domaines en moins grand nombre que les années précédentes.
  • Tous les bagages des pèlerins doivent être désinfectés et les travailleurs auront le rôle de s'en assurer.
  • Le personnel de sécurité a été chargé d'organiser l'entrée et la sortie des pilgirms en fonction du temps qui leur est alloué.
  • Les installations d'hébergement du protocole doivent être respectées.

Pour Arafah : • Un bus sera précisé pour chaque groupe et un numéro de siège sera attribué à chaque pèlerin pendant tout le trajet, avec un suivi de la mise en œuvre des mesures de précaution lors de la montée et de la descente des bus.

  • Les pèlerins ne seront pas autorisés à se tenir debout pendant le voyage.
  • Les familles pourront s'asseoir ensemble.
  • Si un pèlerin a le COVID-19, le bus sera désinfecté et d'autres procédures suivront.
  • Le nombre de passagers ne dépassera pas 50% de la capacité totale.
  • Dans le bus, il y aura un siège vide entre chaque passager.
  • Les passagers doivent porter leurs bagages.
  • La nourriture ne doit être préemballée.
  • Empêcher les rassemblements et maintenir la distanciation sociale.
  • Le nombre de pèlerins ne dépassera pas 50 par 50 mètres carrés de la superficie des tentes.

Autres notes : • Les pèlerins recevront des pierres dans des sacs stérilisés emballés par l'organisateur. Le départ des pèlerins vers et depuis l'installation de Jamarat doit être planifié de manière à ce que le nombre ne dépasse pas 50 pèlerins pour chaque étage de l'installation de Jamarat.

Notes pour Masjid Al Haram : • Les pèlerins doivent avoir un permis pour effectuer le Hajj à partir du portail électronique du Hajj ou via une application électronique.

  • Les pèlerins doivent assurer la distanciation sociale et éviter les problèmes de surpeuplement.
  • Des caméras thermiques sont en place pour mesurer la température aux entrées.
  • En cas de températures élevées ou de soupçons, le pèlerin sera empêché d'entrer et référé aux spécialistes du ministère de la Santé.
  • Les tapis de Masjid Al Haram seront enlevés.
  • Les autocollants sont marqués sur les étages permettant une distance sociale de 2 mètres entre les pilgirms.
  • La nourriture ne sera pas autorisée dans la mosquée.
  • Les cours éducatifs continueront d'être suspendus à l'intérieur de la mosquée.
  • Du matériel pédagogique sera toutefois distribué.
  • Le nettoyage et la désinfection auront lieu 24 heures sur 24.

Source : IST Riyad

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