Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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"Notre capitale Ankara sera la locomotive de la révolution verte pour le développement", a déclaré le Président turc, Recep Tayyip Erdogan.

Le Chef de l'État a prononcé un discours lors de l'inauguration du jardin du peuple à Ankara, jeudi.

Dans ce contexte, il a précisé que les jardins du peuple sont conçus dans les quatre coins du pays, pour servir le bien être des concitoyens.

Se félicitant des investissements réalisés pour faire d'Ankara l'une des capitales exemplaires au monde, Erdogan a affirmé que cette ville n'est plus une simple capitale.

"Ankara est un centre qui détermine l'avenir de notre pays, dans le domaine des arts et de la culture, ainsi que de l'industrie, a-t-il dit. Elle sera la locomotive de notre révolution verte pour le développement, notre objectif le plus ambitieux dans le cadre de notre vision pour 2053."

Le Président a assuré, dans ce cadre, que le montant octroyé par le Fonds vert pour le climat, à savoir 3,157 milliards de dollars, sera utilisé pour des projets verts en faveur de l'environnement.

Pour conclure, Erdogan a annoncé qu'un jardin du peuple sera construit sur l'aéroport Ataturk d'Istanbul et que l'appel d'offres sera réalisé avant la fin de l'année.

Source: Agence Anadolu

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vendredi, 29 octobre 2021 15:13

Turquie : Arrestation de 3 membres du FETO

Les forces turques ont intercepté trois membres de l’organisation terroriste FETO avant qu'ils ne puissent passer illégalement en Grèce.

C'est ce qui ressort d'un communiqué publié jeudi par le ministère turc de la Défense nationale.

Selon la même source, la lutte contre le terrorisme se poursuit avec détermination.

Ainsi, trois terroristes du FETO ont été arrêtés avant qu'ils ne puissent rejoindre la Grèce.

L'organisation terroriste FETO est responsable de la tentative de coup d'État du 15 juillet 2016 en Turquie. Depuis, l'État turc lutte activement sur le plan judiciaire contre les responsables du putsch avorté.

 

Source: Agence Anadolu

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Une délégation de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) est arrivée, jeudi 28 octobre 2021 en début de soirée à Conakry, pour des concertations avec les autorités de la Transition, rapportent des médias.

Conduite par Jean-Claude Kassi Brou, président de la commission de la CEDEAO, la délégation de cette mission de l’organisation ouest-africaine est composée du général Francis Behanzin, Commissaire aux Affaires Politiques, Paix et Sécurité, Francis Oké, Chef de la Division assistance électorale, Serigne Ka, Chargé de Programme, Eugène Etché, Assistant exécutif et Uzochukwu Anyiam, Protocole, précise-t-on.

Lors de cette visite de travail qui s’étendra sur trois jours, la délégation de la CEDEAO aura des concertations avec les autorités de la Transition, pour évaluer les soutiens techniques pour la transition politique en Guinée.

La visite s’inscrit dans le cadre de l’accompagnement que la CEDEAO s’est engagée à apporter à la Guinée, a déclaré à sa descente d’avion le chef de la délégation.

«Depuis notre dernière visite, il y a eu plusieurs actions, des décisions ont été prises, la transition a posé des actes, le gouvernement se met en place progressivement. Nous sommes là pour rencontrer les autorités pour faire le point et voir comment la CEDEAO peut accompagner de manière concrète le processus en cours en Guinée», a dit M. Brou.

Une première mission la CEDEAO a été dépêchée en Guinée, cinq jours après le coup d’État, pour évaluer la situation dans ce pays, rappelle-t-on.

L’envoi de la première mission a été décidé à l’issue d’un sommet extraordinaire des chefs d’État tenu en virtuel le 8 septembre dernier et au cours duquel l’organisation sous-régionale avait décidé notamment la suspension de la Guinée de ses instances de décision.

ng

 
 

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vendredi, 29 octobre 2021 15:05

RDC: 27 miliciens tués en deux jours

Quatre militaires sont perdus et 27 miliciens ont été tués en deux jours de combats dans plusieurs villages en Ituri, dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), a annoncé, jeudi 28 octobre 2021, l’armée congolaise.

“Nos éléments ont retrouvé 27 corps de miliciens et 3 armes de type AK 47 ont été récupérées. Malheureusement, nous avons perdu 4 militaires”, a déclaré le lieutenant Jules Ngongo, porte-parole de l’armée en Ituri, dans un communiqué, relayé par des médias.

“Nous continuons à fouiller car nous avons occasionné d’énormes pertes et dégâts dans le camp de ces miliciens”, a ajouté l’officier. Les combats ont eu lieu mardi et jeudi dans deux villages du territoire de Djugu, après que les miliciens ont incendié plus de 20 maisons dans 4 groupements voisins et attaqué une position des Forces armées de la RDC (FARDC).

“Au moment où je vous parle, 4 groupements de ma chefferie se vident de leurs habitants”, a déploré Lutute Ndjingunga, responsable de la chefferie (collectivité) Bahema Baguru, dans le territoire de Djugu.

A Beni, dans la province voisine du Nord-Kivu, l’armée a annoncé “avoir tué jeudi trois rebelles du groupe Forces démocratiques alliées (ADF)”, a déclaré le capitaine Antony Mualushayi, porte-parole de l’armée dans cette zone.

La province aurifère de l’Ituri a replongé dans un cycle de violences depuis fin 2017.

Les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri sont placées depuis le 6 mai sous état de siège, une mesure exceptionnelle pour lutter contre les groupes armés.

Les autorités civiles y ont été remplacées par des officiers militaires et policiers.

ng

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Le Conseil de sécurité de l’ONU s’est dit, jeudi 28 octobre 2021, “gravement préoccupé” par la prise de pouvoir par les militaires au Soudan, tout en appelant au rétablissement du gouvernement de transition.

Dans un communiqué, les membres de l’instance exécutive de l’ONU ont appelé à la libération immédiate de “tous ceux qui ont été détenus par les autorités militaires”, prenant note du retour du Premier ministre Abdalla Hamdok à sa résidence.

Ils ont également exhorté toutes les parties à faire preuve de “la plus grande retenue”, à s’abstenir de tout recours à la violence et à engager un dialogue “sans conditions préalables”, afin de permettre la pleine mise en œuvre du document constitutionnel et de l’accord de paix de Juba, qui sous-tendent la transition démocratique du Soudan.

De même, ils ont fait part de leur disposition à soutenir les efforts visant à réaliser la transition démocratique du Soudan, “d’une manière qui réalise les espoirs et les aspirations du peuple soudanais pour un monde inclusif, pacifique, stable et démocratique ainsi que pour un avenir prospère”.

Mettant en garde contre les dangers qu’implique toute tentative de “saper le processus de transition démocratique au Soudan” pour la sécurité, la stabilité et le développement de ce pays, les membres du Conseil de sécurité ont également réaffirmé leur “ferme” attachement à la souveraineté, à l’indépendance, à l’intégrité territoriale et à l’unité nationale du Soudan.

Ils ont, en outre, exprimé leur “ferme” soutien aux efforts régionaux déployés notamment par l’Autorité intergouvernementale pour le développement, l’Union africaine et la Ligue des États arabes.

Dans le même communiqué, les membres du Conseil de sécurité ont réitéré leur “plein” appui à la Mission intégrée des Nations Unies pour l’assistance à la transition au Soudan, soulignant qu’ils vont continuer à suivre de près la situation dans ce pays.

hn

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L’armée de l’air éthiopienne a mené jeudi 28 octobre 2021 une frappe aérienne qui a visé une usine d’ingénierie industrielle des rebelles du Front de libération du peuple du Tigray (TPLF), située à Mekele, la capitale de cet Etat régional éthiopien, a indiqué une source officielle.

L’armée fédérale «a détruit une partie de l’usine Mesfin d’ingénierie industrielle. Ce site était utilisé par le groupe terroriste TPLF pour l’entretien de ses équipements militaires», a précisé le service de communication du gouvernement éthiopien dans un tweet.

La frappe aérienne de ce jeudi intervient après une série de raids qui ont visé depuis la semaine dernière un centre d’entraînement des forces spéciales des rebelles, un site que le TPLF utilise pour fabriquer des équipements militaires et des uniformes pour ses combattants et un autre centre d’entraînement qui sert également de plaque tournante de combat aux rebelles.

L’Etat régional du Tigray est en proie à un conflit depuis novembre 2020, lorsque l’armée fédérale éthiopienne avait mené une offensive contre les dissidents du TPLF, après avoir attaqué le Commandement Nord de l’armée éthiopienne et pris en otage plusieurs officiers supérieurs.

De hauts responsables du TPLF, dont un ancien chef de la diplomatie éthiopienne, avaient été tués lors d’opérations menées par l’armée et la police fédérales dans cette région, et plusieurs autres dirigeants et officiers supérieurs ont été arrêtés et déférés devant la justice.

En mai dernier, la Chambre des Représentants du peuple (Chambre basse du parlement éthiopien), avait approuvé à la majorité la désignation du TPLF comme “organisation terroriste”.

Après une présence de huit mois au Tigray, le gouvernement fédéral avait décrété fin juin dernier, un cessez-le-feu unilatéral et inconditionnel au Tigray et décidé de retirer ses troupes de la région après une présence de huit mois.

Depuis cette date, le gouvernement éthiopien ne cesse de dénoncer les atrocités et les attaques commises par les rebelles du TPLF notamment dans les Etats régionaux voisins du Tigray, Amhara et Afar.

hn

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L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a dévoilé jeudi 28 octobre 2021 un nouveau plan de lutte contre la pandémie de Covid-19 dans les pays les moins riches, tout en réclamant 23,4 milliards de dollars sur les 12 prochains mois pour le financer.

Le partenariat des principales agences de santé mondiales (appelé accélérateur ACT) “a besoin de 23,4 milliards de dollars pour aider les pays les plus à risque à se procurer et à déployer des moyens de lutte contre le Covid-19 dès maintenant et jusqu’à septembre 2022”, précise l’OMS dans un communiqué, soulignant que cette somme est minuscule par rapport aux milliers de milliards de dollars de pertes économiques provoquées par la pandémie et au coût des plans de relance.

“L’accès inéquitable aux tests de Covid-19, aux traitements et aux vaccins prolonge la pandémie dans le monde entier et présente le risque de l’émergence de nouveaux variants plus dangereux qui pourraient échapper aux moyens de lutte existant contre la maladie”, poursuit-elle.

La pandémie, qui a déjà fait près de cinq millions de morts depuis qu’elle a commencé en Chine fin 2019, “est loin d’être finie”, a expliqué le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, au cours d’un point de presse

“Jusqu’à présent seuls 0,4% des tests et 0,5% des vaccins injectés dans le monde entier ont été utilisés dans les pays à faibles revenus, malgré le fait que ces pays comptent pour 9% de la population mondiale”, insiste encore le communiqué.

Le patron de l’OMS répète ce même message depuis des mois et réclame des montants équivalents depuis au moins six mois, mais sans être entendu.

Il a réitéré son appel aux chefs d’Etat et de gouvernement des pays du G20 qui doivent se réunir ce week-end à Rome à financer “en totalité” la nouvelle stratégie dévoilée jeudi.

mc

 
 

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mercredi, 27 octobre 2021 12:37

ONU: Appel à l’action pour le climat

Le président de l’Assemblée générale de l’ONU, Abdulla Shahid a appelé, mardi à New York, à l’action pour faire face aux “réalités brutales” du changement climatique.

Intervenant lors d’un débat de haut niveau sur le climat, M. Shahid a rappelé ces “réalités brutales” des impacts climatiques tels que l’élévation du niveau de la mer, qui menacent notamment les pays insulaires, soulignant que les pays peuvent faire face à ces défis s’ils travaillent ensemble.

Il a relevé que l’événement d’aujourd’hui, qui se tient à la veille de la COP26 prévu début novembre à Glasgow au Royaume Uni, vise à rappeler aux gens “de quoi nous sommes capables si nous agissons de concert, faisons confiance à la science et mobilisons intelligemment les nombreuses ressources dont nous disposons”.

De son côté, le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres a indiqué que la COP26 sera un “moment de vérité”, notant que malgré les sonnettes d’alarme, les actions des gouvernements jusqu’à présent “ne correspondent tout simplement pas à ce qui est si désespérément nécessaire”.

Le monde reste actuellement sur la voie d’une augmentation de la température mondiale de 2,7 degrés Celsius, loin de l’objectif de 1,5 degré, a-t-il averti, estimant que la situation ne peut être inversée qu’en réduisant les émissions de gaz à effet de serre de 45% cette décennie, par rapport aux niveaux de 2010, et en ayant des émissions nettes nulles d’ici le milieu du siècle.

Dans la même veine, le président du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC), Collen Kelapile a indiqué que l’action climatique et le développement durable doivent aller de pair, soulignant que “tout le monde doit faire partie de l’avenir net-zéro”.

“La transformation mondiale pour lutter contre le changement climatique doit être juste, inclusive et équitable pour garantir que personne ne soit laissé pour compte, en particulier les femmes, les enfants, les jeunes, les peuples autochtones et les populations déplacées”, a-t-il dit.

Intervenant par visioconférence, Valérie Masson-Delmotte, du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC), l’organisme des Nations Unies qui a publié une série de rapports alarmants sur la question, a, pour sa part, indiqué que les scientifiques sont sans équivoque sur les causes de l’urgence climatique, ajoutant que les activités humaines ont réchauffé l’atmosphère, les océans et les terres, entraînant la fonte des glaces et entraînant des changements rapides et sans précédent.

“Le changement climatique d’origine humaine affecte déjà toutes les régions de la Terre de plusieurs manières, renforçant la fréquence et l’intensité des événements extrêmes tels que les vagues de chaleur, les fortes précipitations, les sécheresses et les incendies”, a-t-elle indiqué.

mc

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mercredi, 27 octobre 2021 12:33

Soudan: le Premier ministre ramené chez lui

Le bureau du Premier ministre soudanais Abdallah Hamdok a annoncé que le dirigeant, dont la communauté internationale réclamait la libération à l’armée depuis lundi matin, avait été ramené avec son épouse mardi 26 octobre 2021 soir chez lui “sous étroite surveillance”.

“Plusieurs ministres et dirigeants politiques sont toujours en état d’arrestation dans des endroits inconnus”, poursuit le texte. Lundi, des militaires ont arrêté la quasi-totalité des dirigeants civils du Soudan, avant que leur chef, le général Abdel Fattah al-Burhane, n’annonce la dissolution de toutes les institutions du pays.

Par ailleurs, les vols vers et depuis l’aéroport de Khartoum doivent reprendre mercredi à 14H00 GMT, a annoncé le directeur de l’aviation civile, Ibrahim Adlane, au surlendemain du coup d’Etat militaire au Soudan.

Ce même directeur avait indiqué la veille que ces vols avaient été suspendus “jusqu’au 30 octobre”. Il n’a pas expliqué dans l’immédiat ce revirement.

“L’aéroport de Khartoum reprendra ses activités mercredi à partir de 16H00 locales (14H00 GMT)”, a déclaré M. Adlane.

L’aéroport, situé en plein centre-ville de Khartoum où les manifestants ont bloqué plusieurs routes avec des pierres et des pneus brûlés, est uniquement séparé par un grillage des principales avenues de la capitale soudanaise.

Mercredi, pour le troisième jour consécutif, des manifestants étaient encore dans les rues à Khartoum pour protester contre le coup d’Etat mené par le chef de l’armée, le général Abdel Fattah al-Burhane, et l’arrestation de hauts dirigeants civils, dont le Premier ministre Abdallah Hamdok.

hn

 
 

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Trois soldats burkinabé ont été tués dans la nuit de lundi 25 octobre à mardi 26 octobre 2021 à Mangodara (Cascades), dans le sud-ouest du pays, près de la frontière ivoirienne, lors d’une attaque menée par des hommes armés au cours de laquelle plusieurs assaillants ont été neutralisés, ont rapporté des médias locaux.

“Dans la nuit du 25 au 26 octobre 2021 peu après 21 heures, une unité des FDS déployée pour la sécurisation dans la zone de Mangodara, a été l’objet d’une attaque par des individus armés non identifiés”, a indiqué l’agence d’information du Burkina “AIB”.

Plusieurs assaillants ont été abattus dans cette attaque et “les ratissages sont toujours en cours”, a ajouté la même source.

La région frontalière entre le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire est le théâtre d’attaques régulières de jihadistes présumés. Il y a une semaine, un gendarme avait été blessé et un assaillant tué dans une attaque près de Téhini, côté ivoirien.

Le 11 octobre, deux soldats en patrouille avaient été tués dans l’explosion d’un engin artisanal à Farakorosso, côté burkinabè.

Le Burkina Faso connait depuis 2015 à des attaques meurtrières perpétrées par des groupes terroristes affiliés à l’Etat islamique (EI) et à Al-Qaïda, visant civils et militaires.

Les violences dans ce pays de l’Afrique de l’Ouest ont fait environ 2.000 morts et contraint 1,4 million de personnes à fuir leur foyer.

hn

 
 

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