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LDA Journaliste

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mercredi, 24 novembre 2021 13:11

L’Inde veut interdire le cryptomonnaies

Le gouvernement indien va présenter une loi pour interdire les cryptomonnaies privées et créer un cadre pour une monnaie numérique contrôlée par la Banque centrale, a annoncé, mardi 23 novembre 2021, le Parlement.

La loi proposée “cherche à interdire toutes les cryptomonnaies privées en Inde, cependant, elle permet certaines exceptions pour promouvoir la technologie sous-jacente des cryptomonnaies et ses utilisations”, selon le bulletin du Parlement.

Le projet de loi sur la cryptomonnaie et la réglementation de la monnaie numérique officielle, qui sera présenté lors de la session d’hiver du Parlement, fait partie d’un total de 29 projets de loi dans le programme législatif du gouvernement.

Cela intervient une semaine après la toute première table ronde parlementaire axée sur les grands contours de la crypto-finance, où un large consensus a été atteint sur le fait que la crypto-monnaie doit être réglementée.

La réunion du Comité parlementaire permanent des finances était présidée par le député et ancien ministre des syndicats Jayant Sinha, qui a rencontré, le 16 novembre, des représentants des bourses de cryptographie, du Blockchain, du Crypto Assets Council (BACC), des organismes de l’industrie et d’autres parties prenantes.

En Inde, la sécurité de l’argent des investisseurs et les publicités trompeuses dans les médias concernant le potentiel et les risques d’investissement sont depuis longtemps une source de préoccupation.

Le gouvernement a tenu plusieurs réunions avec les parties prenantes pour discuter de la réglementation des monnaies numériques. Le Premier ministre, Narendra Modi a également présidé dernièrement une réunion consacrée à la cryptomonnaie avec des responsables de divers ministères et de la Banque centrale.

Selon les autorités indiennes, la cryptomonnaie crée une sphère d’investissements parallèle et non règlementée qui peut être utilisée dans des transactions et des échanges interdits par la loi.

Le gouverneur de la Banque centrale indienne a même mis en garde que ces transactions pouvaient déstabiliser l’environnement macroéconomique du pays.

hn

 
 

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L’envoyé spécial du Secrétaire général de l’ONU, le Slovaque Jan Kubis a présenté, mardi 23 novembre 2021, sa démission, a annoncé le porte-parole du SG de l’ONU, Stéphane Dujarric.

“L’envoyé spécial pour la Libye a présenté sa démission que le secrétaire général de l’ONU a acceptée avec regret”, a indiqué le porte-parole lors de son briefing quotidien sans préciser les raisons de cette décision.

Il a également relevé que le chef de l’organisation internationale s’attellera à la recherche d’un “remplaçant approprié” dans ce poste, assurant que les équipes onusiennes sur le terrain continueront à s’acquitter de leurs missions en Libye.

Malgré sa démission, M. Kubiš tiendra un briefing, mercredi, devant le Conseil de sécurité sur la situation en Libye, a dit M. Dujarric.

M. Kubiš, qui a démissionné un an après son entrée en fonction, a été Représentant spécial et Chef de la Mission d’assistance des Nations Unies pour l’Irak (MANUI), de 2015 à 2018, ainsi que Représentant spécial et chef de la Mission d’assistance des Nations Unies en Afghanistan (MANUA), de 2011 à 2015.

La démission de l’émissaire onusien intervient au lendemain de la clôture du dépôt des candidatures pour briguer le poste de chef d’Etat en Libye lors du scrutin du 24 décembre.

Selon la Haute commission électorale libyenne, 98 candidats dont deux femmes ont soumis un dossier pour l’élection présidentielle.

ng

 
 

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Les Nations Unies ont décidé, mardi 23 novembre 2021, de réduire leur effectif déployé en Ethiopie au vu de la situation sécuritaire dans ce pays, a annoncé le porte-parole du Secrétaire général de l’ONU, Stéphane Dujarric.

“Compte tenu de la situation sécuritaire en Ethiopie et par mesure de prudence, les Nations Unies ont décidé de réduire leur empreinte dans le pays en déplaçant, de façon temporaire, toutes les personnes à charge éligibles”, a indiqué le porte-parole lors de son point de presse quotidien.

Précisant que des membres du personnel y resteront pour remplir les mandats onusiens, il a relevé que l’organisation internationale continuera de superviser la situation tout en prenant en considération la nécessité d’assurer la continuité des opérations de soutien à toutes les personnes qui en ont besoin.

Alors que les combats se poursuivent dans le nord du pays au niveau des zones des Etats régionaux d’Afar et d’Amhara à 300 km de la capitale Addis-Abeba, des pays occidentaux notamment ont appelé leurs ressortissants à quitter l’Ethiopie, à l’instar des Etats-Unis, de la France et du Royaume-Uni.

L’Etat régional du Tigray est en proie à un conflit depuis novembre 2020, lorsque l’armée fédérale éthiopienne avait mené une offensive contre les dissidents du TPLF, après avoir attaqué le Commandement Nord de l’armée éthiopienne et pris en otage plusieurs officiers supérieurs.

En mai dernier, la Chambre des Représentants du peuple (Chambre basse du parlement éthiopien), avait approuvé à la majorité la désignation du TPLF comme “organisation terroriste”.

Après une présence de huit mois au Tigray, le gouvernement fédéral avait décrété fin juin dernier, un cessez-le-feu unilatéral et inconditionnel au Tigray et décidé de retirer ses troupes de la région après une présence de huit mois.

Depuis cette date, le gouvernement éthiopien ne cesse de dénoncer les atrocités et les attaques commises par les rebelles du TPLF notamment dans les Etats régionaux voisins du Tigray

ng

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Le Premier Ministre ivoirien, Patrick Achi, est arrivé le 22 novembre 2021 à Dubai (Émirats Arabes Unis), où il conduit la délégation ivoirienne à Expo Dubaï 2020.

Expo Dubaï 2020 est une rencontre d’affaires internationale qui se déroule du 1er octobre 2021 au 31 mars 2022. Il a pour thème : " Connecter les esprits, construire le futur". 25 millions de visiteurs provenant de 190 pays y sont attendus.

A cette rencontre d’éco-diplomatie, le Premier Ministre Patrick Achi est accompagné par la Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Etrangères, de l’Intégration africaine et de la Diaspora, Kandia Camara.

A Dubai, une Journée nationale et un Forum économique seront consacrés à la Côte d’Ivoire, pour faire la promotion économique et socioculturelle du pays.

Il est prévu la signature de plusieurs accords, avec pour objectif de capter plus de 1 000 milliards de F CFA d’intentions d’investissements.

Le Chef du Gouvernement et sa délégation vont ‘’vendre’’ la destination Côte d’Ivoire, à travers le thème : « Construire en Côte d’Ivoire, le chemin de la nouvelle Afrique ». Le secteur privé y est fortement représenté.

ng

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Le projet de loi de finances portant budget de l’Etat pour l’année 2022 et son annexe fiscale ont été adoptés à l’unanimité, dans la nuit du vendredi 19 au samedi 20 novembre 2021, par la Commission des affaires économiques et financières (CAEF) de l’Assemblée nationale.

D’un niveau de 9 901,1 milliards Fcfa, en hausse de 17,9% par rapport à 2021, le ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Moussa Sanogo a précisé que le projet de budget devrait permettre au gouvernement de mettre en œuvre sa politique de développement économique et social.

M.Sanogo a expliqué que l’économie continuera de bénéficier de la dynamique impulsée par la mise en œuvre du plan de soutien économique, social et humanitaire pour se situer à un taux de croissance de 6,5% en 2021 contre 2% en 2020.

Ce taux de croissance économique devrait ressortir en 2022 à 7,1%, soutenu par les différents secteurs d’activité. La valeur ajoutée du secteur secondaire progressera de 10, 4%, soutenue par l’énergie, le Bâtiment et travaux public (BTP), les industries manufacturières, agro-alimentaires et l’extraction minière.

Les produits pétroliers connaitront un repli de 4,2% quand le secteur tertiaire ressortira à 7,9% grâce au commerce, télécommunication et au transport.

Au niveau du secteur primaire, c’est une progression de 1,6% qui est attendue, tirée principalement par l’agriculture vivrière et l’élevage contre un repli de l’agriculture d’exportation de 0,1%.

Concernant le projet d’annexe fiscale composé de 25 articles, dont certains portent sur le renforcement de la mobilisation des ressources fiscales et d’autres sur le soutien à l’économie nationale et à l’emploi, le ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat a souligné qu’elle a été élaborée dans un contexte assez particulier avec la COVID 19.

Entre autres mesures contenues dans le projet d’annexe fiscale, on note le relèvement du taux  de droit d’assises sur le tabac et l’institution d’une taxe sur les jeux du hasard.

Une taxe forfaitaire douanière de 1,1% du prix de référence du caoutchouc sec sur le marché international est également instituée, quand à la noix de cajou, il sera retenu 5 Fcfa/kg à la souche à titre d’impôt sur les Bénéfices industriels et commerciaux (BIC) à la charge des exportateurs.

Par ailleurs, Moussa Sanogo a souhaité que le volume des exonérations qui dépassent en moyenne les 300 milliards Fcfa par an soit revu.

«On a déjà atteint un pic de 409 milliards Fcfa en 2015 et en 2019 nous étions ressortis à 381 milliards Fcfa. Pour l’année 2021, c’est un montant de 354 milliards Fcfa d’exonération », a-t-il fait remarquer Moussa déplorant que l’Etat est ainsi privé de ressources pour financer son développement.

Avec le basculement de la Côte d’Ivoire en mode budget-programme depuis le 1er janvier 2020, chaque membre du gouvernement est passé à l’Assemblée nationale du mardi 16 novembre au vendredi 19 novembre 2021 pour défendre son projet de budget devant les parlementaires.

(AIP)

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Plus de 90 candidats, dont deux femmes, ont déposé leurs dossiers pour l’élection présidentielle prévue le 24 décembre prochain en Libye, a annoncé lundi 22 novembre 2021 la Haute commission nationale électorale (HNEC).

Plus de 90 candidats ont déposé leurs dossiers depuis l’ouverture du dépôt des candidatures le 8 novembre, a précisé l’Autorité électorale en Libye, cité par les médias locaux.

Parmi les candidats les plus en vue figurent notamment Seif al-Islam Kadhafi, fils de l’ancien dirigeant Mouammar Kadhafi, le maréchal Khalifa Haftar, l’ex-ministre de l’Intérieur, Fathi Bachagha, et le chef du gouvernement intérimaire, Abdelhamid Dbeibah.

Deux femmes seulement se sont portées candidates: Laila Ben Khalifa, 46 ans, présidente et fondatrice du ” Mouvement National” et Hounayda Al-Mahdi, chercheuse en sciences sociales.

Pour ce premier scrutin au suffrage universel en Libye, le dépôt des candidatures s’est déroulé exclusivement dans trois bureaux de la Haute commission électorale: à Tripoli (ouest), Benghazi (est) et Sebha (sud).

Avec le scrutin législatif qui doit se tenir en janvier, ces élections, aboutissement d’un processus politique laborieux parrainé par l’ONU, sont censées mettre un terme à une décennie de chaos depuis la chute du régime de Kadhafi en 2011.

Plus de 2,83 millions de Libyens sur environ sept millions d’habitants se sont inscrits sur les listes électorales.

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Le ministre malien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, a réaffirmé, lundi 22 novembre 2021, la disponibilité de son pays à poursuivre et renforcer le dialogue avec la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) en vue d’une meilleure compréhension et appréhension des réalités et fragilités du Mali.

Le ministre s’exprimait lors d’une rencontre avec le Groupe africain des ambassadeurs accrédités au Mali, au cours de laquelle les échanges ont essentiellement porté sur la situation au Mali, suite aux conclusions du 3ème sommet extraordinaire de la CEDEAO tenu à Accra au Ghana, le 07 décembre dernier.

Un communiqué du ministère malien des Affaires étrangères indique que M. Diop a exprimé, à cette occasion, la gratitude du Mali à l’ensemble de ses partenaires pour les sacrifices, la constance de leur engagement et leur accompagnement dans la recherche de solutions à la crise malienne.

Il a également fait un exposé sur la situation actuelle en mettant un accent sur les efforts consentis et les actions entreprises par le Gouvernement dans le cadre du processus de Transition en cours.

Le ministre a, en outre, indiqué que le Mali a pris acte des conclusions du sommet extraordinaire de la CEDEAO du 7 novembre et de celles du Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’Union Européenne du 15 novembre.

«Regrettant les sanctions prises qui, selon lui, n’aident pas à avancer dans la situation actuelle du Mali», M. Diop a invité ses interlocuteurs à s’investir auprès de leurs Gouvernements respectifs en vue d’une lecture objective et réaliste de la situation complexe du Mali.

Prenant la parole au nom de ses collègues, l’ambassadeur du Royaume du Maroc au Mali et doyen du Corps diplomatique, M. Hassan Naciri, a renouvelé l’attachement des partenaires du Mali à la souveraineté et à l’intégrité territoriale du Mali, son unité, sa sécurité et sa cohésion sociale.

Dans leurs interventions respectives, les ambassadeurs présents à la rencontre «ont tous salué cette initiative et promis d’en rendre compte à leurs pays respectifs avant d’insister sur l’importance de la communication et la nécessité de maintenir le dialogue au niveau national et avec les partenaires notamment la CEDEAO, l’Union Africaine et les Nations unies à travers un cadre d’échange régulier», ajoute encore la même source.

Le ministre malien a, enfin, assuré les ambassadeurs africains d’avoir pris bonne note de leurs préoccupations et attentes et s’est engagé à maintenir et poursuivre cette dynamique de dialogue constructif en vue de trouver une solution consensuelle et africaine à l’abri de toute ingérence extérieure.

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lundi, 22 novembre 2021 21:57

Tunisie: Un cellule terroriste démantelée

Les autorités tunisiennes ont annoncé, samedi 20 novembre 2021, avoir démantelé une cellule terroriste dans le gouvernorat de Jendouba (nord).

L’activité de la cellule, composée de 20 individus, s’est concentrée sur le repérage de certaines institutions vitales de la région ainsi que du déploiement des unités de sécurité, a précisé le ministère tunisien de l’Intérieur dans un communiqué.

La même source a ajouté que les membres du réseau se réunissaient quotidiennement en groupes après que certains d’entre eux aient purgé des peines de prison pour leur implication dans des affaires terroristes.

La menace terroriste a considérablement baissé en Tunisie depuis les attentats sanglants de 2015 et la grande offensive contre la ville de Ben Guerdane, en mars 2016, à la faveur du démantèlement de dizaines de cellules dormantes et des opérations préventives dans les milieux extrémistes.

L’activité des groupes armés est, actuellement, confinée dans les zones montagneuses, proches de la frontière algérienne, où des incidents sont signalés par moment.

Les montagnes avoisinantes les frontières algériennes sont le théâtre depuis 2012 d’affrontements entre l’armée tunisienne et les groupes armés, en particulier la phalange Oqba Ibn Nafie, branche locale d’Aqmi, tenue pour responsable de plusieurs attaques dans le pays.

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L’Agence européenne des médicaments (EMA) a annoncé vendredi 19 novembre 2021 avoir entamé l’examen de la pilule anti-Covid de Pfizer, connue sous le nom de PF-07321332 ou Paxlovid, pour pouvoir recommander son utilisation, en cas d’urgence, aux Etats membres de l’UE.

“L’EMA examine les données actuellement disponibles sur l’utilisation de Paxlovid (PF-07321332), un traitement oral pour contre le Covid-19 développé par Pfizer”, indique l’Agence dans un communiqué, notant que cet examen vise à aider les autorités nationales qui peuvent décider de l’utilisation “précoce” de cette pilule contre le Covid-19, avant son autorisation au sein de l’UE.

Le comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’EMA examinera les données d’une étude dont les résultats préliminaires indiquent que le Paxlovid a réduit le risque d’hospitalisation ou de décès lorsque le traitement est administré dans les 3 ou 5 jours suivant le début des symptômes, précise l’EMA.

Le CHMP examinera également les données sur la qualité et la sécurité du médicament, ajoute-t-on.

Alors qu’un examen continu plus complet devrait commencer avant une éventuelle demande d’autorisation de mise sur le marché, la procédure d’examen actuelle fournira des recommandations à l’échelle de l’UE dans les plus brefs délais afin qu’elles puissent être utilisées par les autorités nationales qui souhaitent prendre des décisions pour l’utilisation précoce du médicament, souligne l’Agence.

“Les autorités de l’UE restent déterminées à accélérer l’évaluation des traitements et vaccins Covid-19 indispensables, tout en veillant à ce qu’ils répondent aux normes élevées de sécurité et d’efficacité de l’UE”, insiste l’EMA.

Administré dans les trois jours suivant l’apparition des symptômes, le Paxlovid réduit de près de 90% le risque d’hospitalisation chez les patients contaminés particulièrement susceptibles de développer une forme sévère de Covid-19, en empêchant la multiplication du coronavirus SARS-CoV-2 dans l’organisme, selon Pfizer.

Le géant pharmaceutique américain précise que ce traitement doit être complété par la prise concomitante d’une faible dose de ritonavir, un antirétroviral qui permet d’accentuer l’efficacité du Paxlovid.

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Le Premier ministre Abdallah Hamdok, écarté lors du coup d’Etat militaire au Soudan, a retrouvé dimanche 21 novembre 2021 son poste après un accord avec le Président du Conseil de Souveraineté Abdel Fattah Al Burhane.

Au palais présidentiel à Khartoum, M. Hamdok et le général  Abdel Fatah Al Burhan ont signé l’accord pour partager ensemble le pouvoir, promettant de remettre la transition vers la démocratie sur les rails.

Le Président de la Commission de l’Union Africaine, Moussa Faki Mahamat, a dit avoir appris avec satisfaction la signature de l’accord,  indique un communiqué de la Commission de l’UA.

Le président de la Commission de l’Union Africaine apprécie ce pas important vers le retour à l’ordre constitutionnel consacré par les accords de Khartoum du 19 Août 2019 qui encadrent la transition consensuelle et démocratique au Soudan, souligne le communiqué.

Il encourage tous les acteurs politiques et sociaux, civils et militaires à approfondir cette orientation et à l’appliquer de façon inclusive et avec efficacité, dans un climat de paix et de réconciliation nationale, ajoute la même source.

Le Président de la Commission appelle la communauté internationale à renouveler son engagement solidaire avec le Soudan afin qu’il retrouve la paix et prépare, dans le consensus démocratique, les élections régulières et libres, seules à même de mettre définitivement fin à la tourmente institutionnelle au pays et d’en assurer le développement durable, note le communiqué.

hn

 
 

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