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Une équipe libyenne du nom de Binary Brains a remporté ce jour la troisième place du concours Tech4Good de Huawei. Cette compétition est un élément clé du programme de Huawei en matière de RSE, dit Seeds for the Future.
Au total, 79 équipes se disputaient le podium. Le programme Seeds for the Future de Huawei a été lancé partout dans le monde en 2008, dans l’objectif de développer des talents locaux qualifiés dans le domaine des TIC et de combler les écarts structurels entre les différents pays et cultures.
Dans le cadre de cette initiative, des jeunes du monde entier sont formés aux technologies les plus avancées et participent à des concours leur permettant d’acquérir une expertise et des compétences indispensables dans le monde d’aujourd’hui.
Le programme 2021 a ainsi enregistré un nombre record de 3 500 participants issus de 117 pays, ce qui porte le nombre total d’inscrits au cours des 13 dernières années à 9 000 étudiants, représentant 131 pays et régions.
Lors de son discours d'ouverture de la cérémonie de remise des prix, Catherine Chen, Vice-Présidente et Directrice du Conseil d’Administration de Huawei, a évoqué les raisons pour lesquelles l’édition 2021 a constitué un succès particulier :
"En plus de nos classes virtuelles de qualité et des échanges noués par des experts de premier plan, nous avons pu ajouter une nouvelle section au programme Seeds for the Future : le concours mondial Tech4Good. A travers cette compétition, les participants ont été encouragés à faire équipe et à répondre, par une solution technologique, à une problématique sociale ».
L'équipe libyenne, qui a remporté la troisième place, a choisi d'axer son projet autour d’une technologie de la santé qui assiste les bébés nés prématurément. Dans le cadre de ce prix, les membres de l’équipe ont remporté des produits de leur choix à hauteur de 10000 USD, une session de coaching en développement de carrière professionnelle par des experts en RH de Huawei, ainsi que l’accès à des sessions de mentorat après le concours d'une valeur de 10 000 USD.
De plus, leurs noms seront affichés sur le site web de Huawei, de même qu’ils auront la possibilité d'être invités à prendre la parole lors d'un événement régional de Huawei.
Catherine Chen a également présenté l'objectif du programme, qui est de favoriser l'unité et la coopération dans un environnement international complexe en répondant, grâce à la tech, à des problématiques sociales d’envergure.
« Dans le programme Seeds for the Future de cette année, plus de la moitié des participants sont des femmes. Une preuve que la technologie n'a pas de genre, et qu’un monde diversifié, inclusif et Press Release innovant a besoin des perspectives et de la force des femmes. Nous sommes ainsi impatients de voir davantage de femmes participer aux avancées de la science et la technologie dans les années à venir. »
Cette annonce fait suite à la nouvelle initiative Women in Tech de Huawei, qui a été lancée pour encourager davantage de femmes à rejoindre l'industrie technologique et à occuper des postes de direction.
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Le très controversé “pass vaccinal”, dispositif mis en place par le gouvernement français pour lutter contre la pandémie du Covid-19, est entré en vigueur ce lundi 24 janvier 2022.
Le “pass vaccinal” remplace ainsi le “pass sanitaire” et devient obligatoire pour les personnes de plus de 16 ans souhaitant se rendre au restaurant ou prendre le train pour des déplacements interrégionaux.
Adopté définitivement le 16 janvier par le Parlement au terme de plusieurs semaines de débats, son entrée en vigueur intervient après le feu vert vendredi du Conseil constitutionnel, qui avait été saisi par une soixantaine de parlementaires de l’opposition qui dénonçaient un dispositif portant atteinte aux libertés fondamentales et qui n’avait pas prouvé son efficacité pour freiner la propagation de la pandémie du Covid-19.
Le Conseil a validé la plupart des dispositions du projet de loi, à l’exception de la possibilité d’exiger un pass sanitaire lors de meetings politiques.
Dès ce lundi, il faut justifier désormais pour les plus de 16 ans d’un statut vaccinal contre le Covid-19 afin d’avoir accès aux activités de loisirs, restaurants et bars (sauf restauration collective), foires ou transports publics interrégionaux (avions, trains, cars).
Un test négatif n’est plus suffisant sauf pour accéder aux établissements et services de santé.
En dévoilant jeudi dernier le calendrier de “levée progressive” des mesures restrictives prises pour contenir la propagation de l’épidémie du Covid-19, le Premier ministre français Jean Castex a annoncé que le dispositif du “pass vaccinal” pourrait être levé, en fonction de la pression hospitalière.
Samedi, de nouvelles manifestations contre ce dispositif ont été organisées dans plusieurs villes de France, réunissant des milliers de personnes notamment à Paris.
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Emmanuel Macron, qui n’a toujours pas officialisé sa candidature pour les prochaines élections présidentielles en France, reste en tête des intentions de vote au premier tour prévu le 10 avril prochain, selon un nouveau sondage publié samedi 22 janvier 2022.
Le sondage, conduit par Ipsos-Sopra Steria pour Le Monde, la Fondation Jean-Jaurès et le Cevipof (le centre de recherches politiques de Sciences Po), auprès d’un panel fort de 12.500 personnes montre qu’Emmanuel Macron arriverait largement en tête du premier tour du scrutin, avec 25% des intentions de vote, devant Valérie Pécresse, la candidate des Républicains (LR), et Marine Le Pen, celle du Rassemblement National (RN), qui se trouvent à égalité à 15,5%.
Au second tour, le président sortant l’emporterait face à Valérie Pécresse (54% contre 46%), et plus largement contre Marine Le Pen (57% contre 43%), toujours selon ce sondage.
Le polémiste Eric Zemmour obtiendrait quant à lui 13% des intentions de vote au premier tour.
À gauche, aucun candidat n’atteindrait la barre des 10% des voix. Ainsi, Jean-Luc Mélenchon (LFI) arriverait en tête des intentions de vote avec 8%, devant Yannick Jadot (EELV, 7%), Christiane Taubira (5%) et Anne Hidalgo (PS, 3,5%).
Ce sondage a été réalisé du 14 au 17 janvier auprès d’un échantillon de 12.542 personnes inscrites sur les listes électorales. Sa marge d’erreur est comprise entre 0,2 et 0,9 point.
Les intentions de vote ne constituent pas une prévision du résultat du scrutin. Elles donnent une indication des rapports de force et des dynamiques au jour de la réalisation du sondage, tiennent à souligner les auteurs du sondage.
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Malgré les nouvelles maladies qui agitent l’arène de la santé publique, la Côte d’Ivoire ne perd pas de vue son objectif d’éradiquer le paludisme d’ici à 2030.
En Côte d’Ivoire, le nombre de décès dus au paludisme est passé de 3 222 en 2017 à 1 316 en 2020. Soit un taux de mortalité en baisse d’environ 50%. En dépit de cette régression, le paludisme reste un défi majeur de santé publique. En effet, cette infection demeure la première cause des consultations dans le pays.
Cette maladie, perçue comme bénigne, parce que trop familière, tue chaque jour en Côte d’Ivoire quatre personnes, dont trois enfants de moins de 05 ans.
Alors, les autorités sanitaires sont en première ligne de cette lutte. Mieux, la lutte s’intensifie. Au Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP), les initiatives se multiplient.
Ainsi, le directeur du PNLP, Antoine Méa Tanoh, a annoncé, en août 2021, que la lutte contre le paludisme sera intensifiée dans neuf zones endémiques, notamment dans les régions du Moronou, de l’Indénié-Djuablin, du N’Zi, du Bélier, du Bounkani, du Folon, du Cavally, du Guémon et du Bafing.
Les recommandations de l’OMS et les directives nationales de prise en charge correcte du paludisme sont régulièrement rappelées aux responsables des districts sanitaires, aux médecins des hôpitaux de référence et aux pédiatres des zones les plus endémiques.
La stratégie nationale de prévention du paludisme pendant la grossesse, par exemple, prévoit la fourniture de moustiquaires imprégnées d’insecticides, lors de la première consultation prénatale et un traitement préventif intermittent pour les femmes enceintes.
Dans le cadre du programme de la gratuité ciblée retenu dans le premier Programme social du gouvernement (PSGouv 2019-2020), 1 957 719 divers produits ont été distribués pour la prise en charge des cas de paludisme grave entre janvier 2019 et juin 2020.
En Côte d’Ivoire, la lutte contre le paludisme combine l’efficience de la prise en charge dans les centres de santé et la prévention.
La politique préventive repose sur la lutte antivectorielle, à travers la distribution de moustiquaires imprégnées d’insecticides à longue durée d’action (MILDA). Faisant le bilan de la 4ème campagne de distribution MILDA, le mardi 15 juin 2021, le ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, Pierre Dimba, a indiqué que près de 19 millions de moustiquaires imprégnées ont été gratuitement distribuées aux ménages, soit un taux de couverture de 97%. Il a relevé une bonne prise de conscience de la population. Selon le ministre en charge de la Santé, le taux d’utilisation est passé de 33% en 2012 à 63% en 2020. « Il nous faut atteindre, au moins, un taux de 80% d’utilisation des moustiquaires, pour mieux maîtriser cette maladie », a-t-il dit.
En plus de la distribution de moustiquaires, on note aussi la pulvérisation intra domiciliaire d’insecticides dans les zones les plus endémiques. Une technique qui fait ses preuves dans plusieurs pays africains.
Au nombre des initiatives, le ministère en charge de la Santé a lancé, le jeudi 23 septembre 2021 à Kossihouen (localité située sur l’autoroute du Nord), le projet "Stop Djekoidjo" pour éradiquer le paludisme en Côte d’Ivoire, d’ici à 2030.
Le projet aura pour avantage l’extension du renforcement des capacités techniques des prestataires en matière de diagnostic, de prise en charge des cas et de prévention du paludisme, notamment chez les femmes enceintes et les enfants de moins de 05 ans. Il permettra également le renforcement de la prise en charge intégrée des cas de paludisme, de diarrhée et de pneumonie chez les enfants de moins de 05 ans.
Le projet "Stop Djekoidjo", d’un coût de 10 milliards de FCFA prévu pour une durée de cinq ans, est le principal programme du gouvernement américain pour soutenir les efforts de la Côte d’Ivoire.
Transmis par les moustiques, le paludisme est endémique dans 96 autres pays dans le monde.
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En marge de l’audience qu’il a accordé à une délégation du bureau national du Réseau de la presse touristique et hôtelière de Côte d’Ivoire (Repthoci) le mardi 18 janvier 2022 au siège de ladite institution à Cocody Angré 7ème tranche. Samba Koné, président de l’Autorité nationale de la presse (Anp), s’est prononcé sur les crise qui secoue et qui menace le secteur de la presse ivoirienne de disparition selon les éditeurs.
« C’est un sujet assez vaste. Nous n’avons été saisi par les éditeurs, mais, ce que j’ai cru comprendre, nous l’avons en même temps que vous dans les journaux, que ce disent les éditeurs. Cependant les augmentations ne sont propres au secteur des média, ni à la Côte d’Ivoire. Pas plus tard que la semaine dernière, les journaux français ont augmenté leur prix de vente eu égard à l’augmentation des matières premières de l’ordre de 50%. Evidemment, le papier entrant dans la production des journaux, il est impératif que les éditeurs connaissent une augmentation de revient. C’est au groupement des éditeurs d’envisager les réformes nécessaires en leur sein pour pouvoir faire face à ces augmentations. Il y a plusieurs secteurs de l’économie qui accusent des augmentations. Il y a une brasserie qui a fait une augmentation. Il y a des négociations à faire et des négociations s’imposent. Quand les matières premières augmentent, qu’est-ce que je fais dans ce cas en tant que producteur de matière première, fournisseur de support d’information. C’est un secteur qui est sinistré c’est vrai, en même temps qui a une activité sociale importante qu’il faut soutenir » a-t-il indiqué non sans mettre les éditeurs devant leurs responsabilités de manager.
« En même temps les éditeurs sont des entrepreneurs privés. On se lève on veut créer une entreprise de presse, cela suppose qu’on d’abord fait une étude de marché, un certain nombre d’état des lieux pour voir si le produit qu’on va mettre sur le marché est intéressant ou pas. Si le produit que vous mettez sur le marché n’est pas intéressant, vous risquez de faire banqueroute rapidement. Donc c’est un ensemble de facteurs. On parle de distribution, du coût d’impression, mais il y a aussi le contenu. Il faut une concertation élargie pour que chacun puisse trouver son compte. Mais, l’augmentation, je ne dirai pas qu’elle s’impose, mais elle est inéluctable eu égard au coût des intrants » a-t-il conclu.
Correspondance particulière
Des coups de feu ont été entendus ce dimanche 23 Janvier aux environs de 22heures dans le quartier résidentiel de Roch Marc Christian Kaboré, a appris Oméga de plusieurs riverains. Interrogé par oméga média, un responsable de la sécurité présidentielle a confirmé les tirs mais a précisé “qu’il s’agit de tirs de sommation parce qu’il y a des mouvements suspects dans la zone “. Le rayon de la résidence privée du président Kaboré et les quartiers patte d’oie et ouaga 2000 sont actuellement survolés actuellement par des hélicoptères.
Des tirs ont été entendus plus tôt dimanche nuit dans le camp Sangoulé Lamizana où des militaires avaient pris des armes vers 4h du matin pour tirer en l’air et barricader les voies aux alentours du camp. Depuis, le calme était revenu dans la journée. On n’a encore une situation exacte sur les leaders du mouvement encore moins une idée claire des motivations du mouvement. Le ministre des armées le Général Barthelemy Simporé avait fait une brève apparition à la télévision nationale promettant un communiqué du gouvernement. Un communiqué du porte parole du gouvernement est venu confirmer les tirs sans dire plus sur les motivations et les dégâts plausibles de ces manifestations.
Radio Oméga
Le nombre d’assujettis à la déclaration de patrimoines est passé à 7 000 en 2021 contre 5 000 en 2020, a annoncé le secrétaire général de la Haute autorité pour la Bonne gouvernance, Henri Augustin Aka.
Il a livré cette information au cours d’une séance de travail relative à la mise en place d’une plateforme collaborative entre la Haute autorité pour la Bonne gouvernance (HABG) et l’Observatoire du Service public (OSEP), le 20 janvier 2022 à Abidjan.
« La déclaration de patrimoines est un moyen de prévention dans le contexte de la lutte contre la corruption. Cette opération a été lancée en 2015. En 2020, nous avons identifié 5 000 assujettis, ce nombre est passé à 7 000 en 2021. Nous avons un taux de déclaration de l’ordre de 79% », a indiqué Henri Augustin Aka.
Selon le secrétaire général de la HABG, certaines catégories d’assujettis sont en bonne position. Notamment les membres du gouvernement, les gouverneurs et les vice-gouverneurs.
Evoquant le bien fondé du partenariat entre la HABG et l’OSEP, Henri Augustin Aka a souligné que ces deux structures œuvrent pour la transparence de l’administration publique. D’où la nécessité de définir un bon cadre de coopération. Il s’agira pour l’OSEP de remonter des dénonciations, des données ou des informations des usagers en lien avec la mauvaise gouvernance ou la lutte contre la corruption. Chose qui, selon lui, va permettre d’accélérer les traitements des dossiers et d’adresser toutes les questions spécifiques.
« L’OSEP sera un pont, une courroie entre les usagers et la HABG », a assuré la secrétaire permanente de l’OSEP, Roxane Kouadio. La collaboration nous permettra de mieux appréhender les missions et le fonctionnement de la HABG afin de relayer les informations utiles aux populations qui ont besoin d’être orientées.
Elle a fait savoir que l’Observatoire a pour mission de recueillir les demandes d’informations, les plaintes, les observations à l’endroit du service public et les acheminer vers les différents ministères techniques concernés. « En 2021, ce sont 56 259 requêtes qui ont été enregistrées contre 7 367 en 2020, soit une progression de 663% », a-t-elle relevé.
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Le tribunal francophone de première instance de Bruxelles a rendu une ordonnance condamnant l’État belge et l’Agence fédérale pour l’accueil des demandeurs d’asile (Fedasil) pour leur mauvaise gestion de l’asile et de l’accueil, ont annoncé, vendredi 21 janvier 2022, les dix associations qui ont intenté l’action en justice en novembre dernier.
L’instance judiciaire a ordonné une astreinte de 5.000 euros par jour ouvrable où “au moins une personne souhaitant présenter une demande de protection internationale se sera vu empêcher d’exercer ce droit”, ont-elles précisé dans un communiqué.
Les organisations à l’initiative de l’action en référé dénonçaient la saturation du réseau d’accueil (constitué notamment par les centres d’hébergement du Samusocial, de la Plateforme citoyenne de soutien aux réfugiés et de la Croix-Rouge de Belgique) et le refus, à l’époque, durant plusieurs semaines, d’enregistrer la majeure partie des demandes d’asile au centre d’arrivée.
“Il appartient à l’État belge de prévoir les structures appropriées pour faire face à des hausses du nombre de demandes qui n’ont, en tant que telles, rien d’extraordinaires et sont récurrentes”, a soulevé le tribunal.
Une astreinte de 5.000 euros par jour ouvrable a également été ordonnée à l’égard de Fedasil dans le cas où “au moins une personne ayant présenté une demande de protection internationale et souhaitant mettre en œuvre son droit à l’accueil se le voit refusé’’.
Les signataires comptent notamment l’Ordre des Barreaux francophones et germanophones (OBFG), Médecins Sans Frontières (MSF), Médecins du Monde, La Ligue des Droits humains (LDH) et la Coordination et Initiatives pour Réfugiés et Étrangers (CIRÉ).
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